Médecine physique et de réadaptation

Lausanne et Secrétaire général de l’Institut La Source de Paris. Il est également chargé de cours à l’Université Dauphine (Paris) dans la Maîtrise de Gestion Hospitalière ainsi qu’à l’Université de Haute Alsace dans le D.U de Soins infirmiers de Réadaptation. Conférencier et membre de plusieurs organismes internationaux, il a rédigé de nombreux ouvrages et articles relatifs au soin, à la santé et à la qualité de la pratique soignante. Il est membre fondateur et Rédacteur en chef de la revue Perspective

Sémiologie L’hypocondrie est reliée à l’interprétation erronée de sensations et de signes physiques comme preuve de la présence d’une maladie. Cette pathologie est caractérisée par la crainte de contracter une maladie sévère. Ainsi, l’une des principales expressions de l’hypocondrie est l’anxiété, mais à un degré différent des autres troubles anxieux. Pour un hypocondriaque, n’importe quelle sensation physique peut provoquer un sentiment d’anxiété. Il en vient parfois à se préoccuper de façon exagérée

écarts entre les recommandations et la pratique professionnelle (réalité du terrain) afin de développer une démarche réflexive sur notre positionnement en tant que futur professionnel. Ayant effectuée un stage au cours du semestre 6 dans un service de médecine de neurologie j’ai pu constatée que c’était un service très condensé au niveau du rythme de travail, l’organisation du service nécessite une rapidité dans les soins, cette rapidité et le manque de temps des soignants, plus précisément des infirmières

l’association Les Amis de l’Atelier. Je travaille dans cet établissement depuis février 2004, en qualité d’Aide Médico-psychologique. Il s’agit d’une structure d’hébergement en internat. Elle accueil des adultes âgés de 30 à 65 ans atteints de handicaps physiques et/ou psychique. Lise à 52 ans, lorsqu’en 2002 la Mas André Berge reçoit une autorisation pour accueillir 45 résidents en internat. Lise communique en phrases partielles. Elle parait plus petite que sa taille, elle se tient voutée. Sa silhouette

Michel PROSPER Le syndrome d’hyperventilation (SHV) est un ‘symptôme caractérisé par une variété de signes somatiques, affectant plusieurs systèmes, induit par une hyperventilation et reproductible par une hyperventilation volontaire’ (1) Si les Médecins évoquent souvent aisément un processus neurotonique, au moins dans les formes florides, l’étape suivante de confirmation diagnostique par test d’hyperventilation volontaire pourtant contenue dans la définition de LEWIS est en règle oubliée. Le patient

Vu la multiplicité des domaines dans lesquels le case management est appliqué, le profil des compétences du case manager est encore mal défini. On privilégiera ainsi un juriste, un économiste, un gestionnaire de sinistres, une infirmière voire un médecin, un éducateur, un assistant social, un ergothérapeute, un psychologue, un conseiller en orientation, en fonction du champ d’intervention. Un mot revient en permanence dans la littérature, celui de l’interdisciplinarité et la capacité à surpasser le

présence d'ordonnance ou de compte rendu du médecin dans le dossier médical est obligatoire. Ces deux exemples nous montrent que les paroles rapportées restent les sources d'information les moins fiables. La troisième source est le dossier médical. Peut être informatisé ou sur papier et se trouver généralement dans le bureau du médecin ou dans la salle des soins. Tout dépend du service. Léa : « Dans mon tout premier stage en médecin physique et réadaptation, les dossiers médicaux se trouvaient dans

En effet les étudiants sont confrontés à un processus réflexif. Ils sont acteurs de leur formation. Les études infirmières comprennent deux versants qui sont : - la théorie : une partie des savoirs est dispensé par les cadres formateurs, des médecins, des universitaires, des infirmiers diplômés d’état etc. et l’autre par les recherches personnelles de l’étudiant en soins infirmiers (ESI). - la pratique des soins techniques et relationnels est apprise lors des travaux pratiques à l’institut

sens de la présente loi, toute D limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant. » 4  es soins courants représentent l’ensemble des besoins et pratiques de santé qui ne sont pas spécifiques à la limitation d’autonomie

contrôle des hôpitaux sur l’efficience et la qualité 67 Renforcer l’attractivité des métiers de l’hôpital 68 Permettre aux hôpitaux de développer une gestion dynamique des ressources humaines 68 Offrir un cadre plus simple et plus souple pour les médecins 69 Ouvrir des perspectives au personnel non médical 71 Chapitre 4 Développer l’enseignement et la recherche 73 Les constats : les lacunes de l’organisation de l’enseignement et de la recherche 75 Un émiettement et un défaut de pilotage 75