Mécanique quantique

nanomètre ont été mises au point à la fin du XXème - début du XXIème. Celles-ci sont devenues très importantes dans le domaine médical (on parle de nanobiologie et de nanomédecine) mais aussi dans le domaine de l’optique, de la chimie et même de la mécanique. Ces nombreuses découvertes font naître beaucoup de questions et nous sommes amenés à nous demander si les nanotechnologies sont oui ou non un avantage pour notre société ou si elles pourraient devenir un risque pour nous et notre environnement

cas contraire (gageons pour la majorité des spectateurs) l'incompréhension la plus totale risque de régner parmi ceux pour qui le terme "séquence" ne renferme d'autre signification que cinématographique. Il est ainsi question dans ce film de mécanique quantique, de la théorie du chaos ou de l'étrange équation d'une spirale... Peut-être que le fait de ne pas comprendre grand-chose à l'histoire transforme le c ur même de la quête de Max (et des autres protagonistes) en simple McGuffin avec pour effet

partie, on pourra s’appuyer sur le livre de Béatrice Poinssac, Collection : Que sais-je ?, Titre : L’infographie. Généralités sur les matrices Introduction historique En 1925, Heisenberg utilise la théorie des matrices pour formuler la mécanique quantique, c’est grâce à cela qu’il réussit à convaincre les mathématiciens des avantages de cet outil de calcul et de modélisation, et prouver aux physiciens de l'efficacité et la rapidité de son utilisation. Dans les années qui suivent, de nombreux

distinction. Albert Einstein [pic] Albert Einstein (1879-1955), physicien allemand qui a publié la théorie de la relativité restreinte et une théorie de la gravité dite relativité générale. Il a largement contribué au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie. Il a reçu le prix Nobel de physique pour son explication de l’effet photoélectrique. Son travail est notamment connu pour l’équation E=mc² qui quantifie l’énergie disponible dans la matière. Biographie Né à Ulm, Albert

accroissement de connaissance mais c’est aussi la découverte d’un nouvel obstacle qui peut paraitre même plus grand encore que le précédent. La loi de la relativité générale d’Einstein semblait être l’avancée majeure du siècle d’une part et celle de la mécanique quantique en était une autre d’autre part. Ces théories, peuvent toutes les deux témoigner d’un progrès des sciences, elles tentent toutes les deux d’expliquer le réel en plus de détail mais pourtant avec leurs découvertes s’accompagne un nouvel obstacle

provoquant un effet de vibration. La surface divisionniste reste selon le mot de Matisse «  sautillante ». on retrouve l'étude du discontinu et de sa relation avec le continu fin 19è-début du 20è(théorie de la lumière, structure de l'atome, mécanique quantique), ou dans la linguistique Saussurienne qui envisage la langue comme un système de divisions... le cubisme « analytique » est aussi un divisionnisme. Mais chez Seurat, ce n'est pas seulement les unités minimales qui sont dissociées et articulées ;

consiste dans le remplacement de certaines parties du système par des circuits électriques équivalents. Ainsi, un transistor, dont le fonctionnement interne est régi par des phénomènes très compliqués (qui nécessitent même le recours à la mécanique quantique), peut être modélisé par un circuit électrique équivalent (fig. 1.1), composé seulement d’éléments de circuit idéaux (résistances, condensateurs, sources), connectés entre eux par des conducteurs supposés idéaux. Fig.1.1 Transistor

et µ = j d’où µ = h’I avec est le rapport gyromagnétique de l’élément considéré. et h’ est la constante de Planck réduite (h’ = h2). I et µ sont quantifiés et ne peuvent pas prendre n’importe quelle valeur. Les lois de la mécanique quantique permettent de démontrer que µ ne peut adopter que 2I + 1, valeurs discontinues égales à µ = hm avec m variant entre –I et I par pas d’unité. Par exemple : * si I = ½, m = ½.  * si I = 1, m = -1, 0 ou 1. Cas du proton (I = ½) :

nombres complexes ». x+5=2 2x=−3 1 x2 = 2 x2 =− 2 Outre la résolution d’équations, les nombres complexes s’appliquent à la trigonométrie, à la géométrie (comme nous le verrons dans ce chapitre) mais aussi à l’électronique, à la mécanique quantique, etc. 1 1 1.1 Les nombres complexes Définition iR Définition 1. Un nombre complexe est un couple (a, b) ∈ R2 que l’on notera a + ib b i a + ib 0 1 a R Cela revient à identifier 1 avec le vecteur (1, 0) de R2 ,

adjacents soit parallèlement, soit anti-parallèlement selon la structure cristallographique et l’élément de transition impliqué (minéral ferro-, ferri- ou antiferro-magnétique, Fig. I-2). Ce phénomène de couplage est expliqué par le principe de mécanique quantique de Pauli (voir Kittel, 1969 pour plus de détails). Ces minéraux sont alors dits ferromagnétiques (au sens large). Ces propriétés magnétiques des minéraux nous permettent d’introduire les deux outils magnétiques principaux°: • Le paléomagnétisme