Maximiser La Rentabilite D Un Lineaire

relationnel : (1) L’établissement d’une communication personnalisée et régulière avec les consommateurs revient très cher : coût d’achat de la base ou saisie des noms, coût de l’informatique, coût des medias (mailing, serveurs vocaux…). La rentabilité n’est pas immédiate car on ne cherche pas à court terme à générer des ventes. Tout les produits ne se prêtent pas a cette forme de communication : il faut que l’achat soit impliquant (avion, voiture) et que le prix unitaire du produit et sa

(P 1,…, P n; R) : x n = x n (P 1,…, P n; R) Fonction de demande La résolution du programme du consommateur va passer par la technique de Lagrangien. Le Lagrangien est une fonction qui rassemble la fonction objectif (celle que l’on cherche à maximiser ou minimiser) et la contrainte. L (variables de contrôle, λ) = Fonction objectif + λ * (contrainte budgétaire saturée) λ : multiplicateur de Lagrange Contrainte budgétaire saturée : on utilise la totalité du revenu L(x 1,…,x n; λ) = U (x 1,…,x n)

chiffre d’affaires. Figure 1 : le chiffre d’affaires d’une entreprise résulte des parts de marché, mais aussi de la part de client et de la rétention des clients . 16la fidélisation des clients 1.2. La fidélisation est un levier d’accroissement de la rentabilité a. Il est moins coûteux de conserver des clients que d’en acquérir. Il est généralement beaucoup moins coûteux pour une entreprise de conserver un client existant que d’acquérir un nouveau client. Le rapport des coûts de fidélisation aux coûts de

créant de la valeur pour ceux-ci et a nouer avec eux des relations durables tout en étant dans la logique de la stratégie de l’entreprise B) Les approches marketing - Approche production Améliorer la productivité, minimiser ses couts et maximiser son rendement puisque le consommateur choisit en fonction du prix. - Approche produit : Améliorer les qualités de son produits car le consommateur cherche les meilleurs performances - Approche vente : On stimule le consommateur afin qu’il achète

cette relation n'est pas chose facile. Le faire en créant un véritable attachement à la marque dans des budgets acceptables, est un enjeu où seuls les plus performants réussissent, assurant ainsi l'augmentation de leur chiffre d'affaires et de leur rentabilité. Dans le même temps, la promotion n'a pas perdu de son intérêt auprès des acteurs du marché, toujours aussi présente, elle est également un levier indispensable pour la pérennité d'une marque. Cependant, ces deux outils du marketing cohabitent sans

consultants appelle également une formation supplémentaire des managers, formation visant à leur apprendre cette gestion et implémentation des conclusions d’une mission. Devoir de conseil et nécessité d’appropriation doivent ainsi se répondre si l’on veut maximiser la création de valeur sur le long terme. de management plus large, de définition de stratégies et d’allocation de ressources. Par ailleurs, les consultants existaient déjà lorsque les entreprises actuelles sont nées, il y a 50, 70 ou 100 ans ;

marketing Vise à satisfaire le consommateur (qualité et prix) et assurer la profitabilité de l’entreprise. Importance du marketing Pour le client  Satisfaire ses besoins - Concevoir le produit - Fixer un prix raisonnable Pour l’entreprise  Maximiser son profit - Promouvoir le produit en jouant sur les désirs pour qu’il soit préféré à celui des concurrents - Distribuer et échanger Evolution du marketing Phase 1 : avant-guerre Croissance des industries manufacturières Premières études de

07/03/11 CHAPITRE 3 : ANALYSE DE LA RENTABILITE Cette analyse permet d’apprécier les résultats obtenus par rapport aux moyens engagé tant au niveau de l’exploitation qu’au niveau financier I. Charges par variabilité et compte de résultat Les entreprises qui ne tienne pas de comptabilité analytique peuvent analyser les charges de la comptabilité générale en les classant en charge fixes et charges variables et ceux afin de déterminer un seuil de rentabilité A. Variabilité des charges

erreurs de prévision . . . . . . 1.7.2 Décomposition de l’ erreur de prévision . . . 1.8 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Enoncés des exercices iv 3 Corrigés des exercices Table des matières 73 II La Programmation Linéaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

du risque opérationnel doit être basée sur trois facteurs : le gain, les coûts et le risque de production des services. Figure 1 : Le Champ du risque bancaire Exposition au risque bancaire Risques financiers Structure du bilan Structure / rentabilité du compte de résultat Solvabilité et Adéquation des fonds propres Risques opérationnels Fraude interne Fraude externe Risques d’exploitation Politique macroéconomique Risques accidentels Politique Infrastructure Pratiques en matière