Maximiser La Rentabilite D Un Lineaire

sur deux types d'étude de rentabilité : la rentabilité économique e la rentabilité financière. 1. Choix des investissements et rentabilité économique :  Quatre méthodes s'offrent à nous pour apprécier la rentabilité économique d'un investissement : * La valeur actuelle nette (VAN) ; * Le taux interne de rentabilité (TIR) ; * Le délai de récupération d'un capital investi (DR) ; * L'indice de profitabilité (IP). Ces méthodes permettent de déterminer la rentabilité économique des investissements

prise en compte d’un nouvel ensemble de facteurs clés de succès. C’est une stratégie risquée puisqu’elle nécessite d’acquérir de nouvelles compétences, de former et d’impliquer le personnel. Les entreprises se diversifient pour améliorer leur rentabilité en investissant dans des secteurs plus rentables mais aussi pour limiter les risques du marché en se constituant un portefeuille d’activités qui leur permettra de mieux gérer le cycle de vie des produits en s’orientant vers de nouvelles activités

qualité basse, etc. Composition de la gamme Cela correspond à l’analyse des produits qui la compose et à leur chiffre d’affaires. Outils d’analyse d’une gamme :  Les produits leaders qui ont le plus gros chiffre d’affaires et la plus forte rentabilité. Ce sont sur eux que repose l’image de l’entreprise.  Les produits d’appels qui sont des produits premier prix dont le but est d’attirer les clients et de faire vendre les autres produits d’entreprises comme les produits leader.   

nouvelles pratiques de Revenue management, c’est l’exemple notamment des restaurants à consommation illimitée pour une durée déterminée (1h par ex) à tarif fixe et avec la facturation des boissons à des prix élevés pour augmenter le niveau de la rentabilité. Les demandes par segment étant aléatoires, il existe une probabilité qu’un segment de clientèle consomme un espace qui serait utilisé de manière plus efficiente par une autre catégorie de clients plus rentable. La segmentation de la clientèle

récence, fréquence d’achat, typologie de produits …) et qualitatives (goûts, croyance, attractivité des marques, analyses géomercatiques …) Le « trade-off » est donc un compromis que fait le consommateur en renonçant à certains critères pour en maximiser d’autres (privilégier le prix le plus bas au détriment de la qualité et du service par exemple) ➢ Le benchmarking C’est un processus continu et systématique d’évaluation – dans le but de les améliorer – des produits, services et méthodes

dirigeants. D’autre part, le choix d’une politique de financement a une incidence sur la structure du capital de l’entreprise. Ainsi, si l’on tient compte de la rentabilité requise par les apporteurs de fonds propres et du coût de la dette, une structure de financement optimale serait celle qui permet aux actionnaires de maximiser la valeur de leurs fonds propres compte tenu du risque financier lié à l’endettement. Le tableau de financement du Plan Comptable Général nous donne les différentes

en valeur des produits sur les lieux de vente. Ainsi défini, le merchandising d’un produit recouvre les principales décisions suivantes :  Le choix de l’emplacement où sera vendu le produit dans le magasin.  Importance de la surface de vente (ou linéaire) qui lui serra attribuée.  Quantité de produit qui sera présentée en rayon.  Mode de rangement (ou disposition) des produits.  Matériel de présentation utilisé : étagères, casiers, bancs, palettes au sol…  Nature du matériel de signalisation

2) le réseau long associé des chaînes volontaires une chaîne volontaire est donc un groupement de grossistes et de détaillants crée à l'imitative d'un, ou le plus souvent, de plusieurs grossistes, dans le but d'accroître la productivité, et la rentabilité des entreprise des gros de détail, affiliée grâce à une organisation commune des achats, de la gestion et de la vente tout en respectant l'indépendance juridiques et financière de chacune d'entre elles * le commerce de détail INSEE( international

vente) met en œuvre 3 logistiques : * Une logistique amont depuis le fournisseur jusqu’à la GMS en passant éventuellement par une ou plusieurs plates-formes, * Une logistique intermédiaire de « decopacking » des produits puis de mise en linéaire depuis un arrière magasin ou une plate-forme rapprochée, * Une logistique aval de picking et transport depuis la GMS jusqu’au domicile du consommateur, logistique assurée le plus souvent par le consommateur lui même ; cette logistique est réduite

de produits ( marché des transports, des boissons ...) marché générique : marché de réference mais pour des besoins homogènes d'un groupe de conso les couples produit-marché concourrent à la réalisation des grands objectifs de l'entreprise: rentabilité, croissance, flexibilité, stabilité des ventes. les couples produit-marché peuvent aussi permettre à l'entreprise de réaliser des objectifs non économiques (qualité, bien-être des conso, image de l'entreprise...) ==>produits-marché à la base