Maximisation Du Profit Des Banques

 Théorie des organisations : L’école néo-classique Plan Introduction II. Les théoriciens de l’école néoclassique PETER FERDINAND DRUCKER ALFRED PRITCHARD SLOAN OCTAVE GELINIER I. Les Principes de l’école néoclassique Maximisation du profil Décentralisation L’éventail de subordination Direction par objectif Le contrôle, l’autocontrôle, et le principe d’exception La compétitivité et la motivation Synthèse ---------------------------------------------------------------------------------------

portée de l’étude – Compétences 1. ENTREPRENDRE ET DIRIGER 1.2. Finaliser, mobiliser et évaluer – La finalité de l’entreprise – La responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) L’entreprise a une finalité qui ne peut se réduire à la maximisation du profit. Elle reflète les aspirations de la communauté humaine qui constitue l’entreprise et se décline également en termes de biens et services offerts à la clientèle. La mise en œuvre de cette finalité pose la question de la responsabilité

dire sans tenir compte des prix des biens 1 et 2 et du budget initial ), le consommateur représenté par cette fonction d’utilité préfère le bien 1 au bien 2. Cependant cette préférence absolue n’implique pas pour autant le rejet total du bien 2 au profit du bien 1, en raison de l’existence de la propriété d’utilité marginale décroissante ( l’ effet de saturation ). Nous pouvons donc affirmer sans risque d’erreur que notre consommateur consommera une certaine combinaison non nulle de biens 1 et 2 (

peut augmenter Un avantage pour le consommateur : il y a tout de même plus de choix dans les produits, plus de qualité. ➢ la transparence du marché: les brevets préservent les innovations Un désavantage pour les offreurs: l’innovation ne profite qu’à une seule entreprise, l’entreprise va par conséquent augmenter ses prix Un avantage pour les offreurs : l’innovation coûte cher et les brevets garantissent l’innovation |CONDITION |STRATÉGIE DE CONTOURNEMENT

Fonction de coˆt: u C = co + aq + bq 2 + dq 3 avec co > 0 (coˆts fixes) u a, d > 0 ; b < 0 ; b2 < 3ad Coˆt moyen et marginal: u o CM = cq + a + bq + dq 2 Cm = a + 2bq + 3dq 2 Le coˆt moyen variable est: u CM V = a + bq + dq 2 Le profit de l’entreprise est: Π=R−C La maximisation du profit donne: dΠ dq = Rm − Cm = 0 Condition de premier ordre: Rm = Cm Condition de deuxi`me ordre: e d2 Π = dRm − dCm < 0 dq 2 dq dq Dans le graphique ci-joint on a pris: C = 8 + 5q − q 2 + 0.1q 3 et p = 5.7 10 Coˆ t total, moyen

soucis de réalisme (la contrainte financière) et de simplification (Incalculable si trop de variables) les finalités sont réduites en une seule: La maximisation du profit pour l'entreprise et la maximisation de l'utilité sous contrainte pour le consommateur. Or il existe des finalités internes ( les actionnaires, les dirigeants) et externes (les banques, les clients, les fournisseurs) qui vont agir sur la politique de l'entreprise et qui font qu'elles sont plus difficiles à cerner que le modèle standard

3 LES THÉORIES MANAGÉRIALES I. Évolution des objectifs et des modalités de contrôle de l’organisation * Modèles de non maximisation du profit : * Berle &amp; Means : entreprise à contrôle managérial ou contrôle interne * Baumol : maximisation des ventes versus maximisation du profit * Marris : satisfaction du dirigent suppose la maximisation du taux de croissance * Williamson : modèle discrétionnaire (slack organisationnel) * Jennon &amp; Meckling : théorie de l’agence

est profondément rationnel. Il prend donc les bonnes décisions au bon moment. Il a toutes les informations, qu’il va traiter, et il va prendre la bonne décision. Pour les néo-classiques, l’agent économique est continuellement à la recherche de la maximisation de son utilité, de ses objectifs, de sa satisfaction. L’économie néo-classique est réduite à un ensemble d’équations mathématiques orientées systématiquement vers la recherche d’équilibre ou d’optimum. L’entrée des mathématiques dans l’économie

| |Résultat Courant Avant |Entre 5 et 10%.Pour les TPE c’est souvent l’objectif de valeur patrimoniale qui prime par rapport à | |Impôt |l’objectif de maximisation des profits. | |RCAI/CA | | INFORMATIONS EN VITRINE

entreprises sont liées par des rapports contractuels : stratégies d’alliance ou de partenariat. Cette stratégie a pour but de concrétiser les objectifs communs aux entreprises : il s’agit essentiellement d’élargir les parts de marché, et de dégager plus de profit. 2.1.2 Les modalités d’impartition  -La sous-traitance : C’est le contrat par lequel une entreprise (donneuse d’ordres) confie à des partenaires extérieurs (sous-traitants) la réalisation de certaines de ses activités suivant un cahier des