Maximisation Du Profit Des Banques

ann´ees 1970 semble toucher `a son terme. La remont´ee du taux de profit depuis le milieu des ann´ees 1980 signale l’entr´ee dans une nouvelle phase. Simultan´ement, s’est affirm´e un nouveau pouvoir financier dans le n´eolib´eralisme et la mondialisation n´eolib´erale. Ces ´evolutions ne font que rendre plus ´evidente la n´ecessit´e de la r´ef´erence aux outils que Marx nous a l´egu´es dans Le Capital. La centralit´e du taux de profit, l’analyse de ses mouvements et de ses cons´equences, est un premier

fait selon 2 angles: angle micro-économique et angle macro-économique. La micro économie étudie les comportements individuels au moment de la prise de décision et selon une structure logique de calcul qui se résument à un problème mathématique de maximisation sous contrainte. Elle s'occupe des comportements des unités de base dans une société que sont: le consommateur et le producteur. Mais elle s'occupe aussi des problèmes de marché, des problèmes de détermination de prix et des problèmes d'équilibre

AVANTAGES COMPARATIFS DE ISLAMIQUE BANQUE ET FINANCE Siddiqi Nejatullah Mohammad e-mail: mnsiddiqi@hotmail.com mns /: Web http:// www.siddiqi.com [Présenté à Harvard Université Forum sur la finance islamique, 6 avril 2002 ] Il est plus que un quart de siècle maintenant, quand la pratique de la bancaires et financiers islamiques a commencé pour de bon. La banque islamique de Dubaï, une société privée, ainsi que la Banque islamique de développement, un symbole de la

CALIBRI 12, CENTRE, INTERLIGNE SIMPLERevue du Contrôle de la Comptabilité et de l’Audit ISSN: 2550-469X Numéro 9 : Juin 2019 Hosting by COPERNICUS www.revuecca.com Page 698 La Gouvernance au sein des Banques Participatives au Maroc : Conception et pratiques The Corporate Governance into the Participating Banks in Morocco: Definition and practices LALLA NEZHA LAKMITI Doctorante à la Faculté Polydisciplinaire de Beni-Mellal Sultan My Slimane

santé et d'assurance sont possédées par les assurés sociétaires qui ont la même fonction que les compagnies d'assurance (MAAF, MAIF, CAMIF). Les banques mutualistes sont détenus par leurs clients sociétaires et occupent une place prépondérante dans le système bancaire (caisse locale du crédit agricole, le crédit maritime, le crédit mutuel, la banque populaire et le crédit mutuel). Les sociétés coopératives agricoles regroupent des agriculteurs et ont pour objet l'utilisation en commun de tous les

1 :L’économie de marché en concurrence pure et parfaite 1) Hypothèse fondamentales Homoeconomicus : pour eux l’homme est agent -autonome (agent poursuit son intérêt propre « égoïste », consommateur : maximiser son plaisir, entreprise : maximiser son profit). -rationnel (toute décision prises par un acteur est calculé « calculateur » ce n’est pas un acte spontané) 2) Le comportement des consommateurs 2-1 .Le comportement individuel Objectif : maximiser son plaisir 2-2.La demande collective Demande collective=

être considéré comme un individu, on l’appelle alors le planificateur social bénévole. Pour maximiser sa réélection, il souhaite le bien des autres individus. NB2  Il existe plusieurs types d’entreprises privées : - les entreprises financières (banques, assurances, etc…) - les entreprises non financières, créatrices de biens réels. Ces biens sont : - matériels : ils ont une consistance - immatériels : ils n’ont pas de consistance (ex : la connaissance). NB3 Il existe plusieurs types d’entreprises

financiers et comportements micro-économiques des banques marocaines       Depuis maintenant presque vingt ans, le Maroc, à l'image de nombreux pays en développement, s'est engagé dans des programmes de stabilisation et d'ajustement visant à corriger les déséquilibres dont souffre l'économie et à encourager le processus d'industrialisation. De 1983 à 1993 ces réformes étaient mises en place sous l'impulsion des institutions de Bretton Wood (FMI 1  et Banque Mondiale) dans le cadre de Programmes d'Ajustements

de cette notion dans la théorie économique néoclassique traditionnelle, laquelle confond propriété et pouvoir, tout en limitant la conception de la firme à une fonction de production transformant des inputs en outputs dans le but de maximiser les profits. Or, propriété et pouvoir ne peuvent pas toujours être confondus pour analyser l’entreprise, qui correspond à une réunion de moyens matériels, humains et financiers dans le but de produire et de vendre. C’est pourquoi nous allons ici chercher à définir

sur l’hypothèse d’agents économiques, preneurs de prix où en réalité les agents ont une influence sur les prix et peuvent proposer un produit différencié. Les entreprises essaient de se différencier, de cloisonner leur marché pour ne pas voir leurs profits s’éroder, ce qui explique les brevets. Dans l’équilibre global, la variable qui compte est le prix, les entreprises vont essayer d’avoir beaucoup de variables sur lesquelles elles peuvent agir notamment la publicité, la qualité, les dépenses de recherche