Maupassant Lit 29

la vie, s'ils ne parviennent pas à nous y faire boire avec plus d'avidité ? Henry MILLER Table des matières Prologue ------------------------------------------------------------ 7 La maison sur l'océan -------------------------------------------29 Deux amis---------------------------------------------------------- 35 L'homme dévoré -------------------------------------------------44 Le monde du dedans ---------------------------------------------54 Les lambeaux de paradis----------------------------------------68

lesquelles on désire bannir cette envie. Nous disons aussi des femmes que leurs intérêts sociaux sont plus faibles que ceux des hommes et que leur faculté de sublimer leurs pulsions est moindre. 1 Un peu comme être moche et pauvre, et oser lire au lit à côté de Claudia Schiffer. 2 L’Essai sur les femmes de Schopenhauer n’est qu’un petit texte d’humeur d’une vingtaine de pages. 3 Sexe et caractère, Otto Weininger, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1975. 15 Dans une démonstration assez parfaite de

quatrième titre traduit en français d’une série commencée en 1991 par Carole Nelson Douglas. _________________________________________________________________________________ “The red-headed league” (août 1891) “La ligue des rouquins” Nouvelle de 29 pages Un rouquin, qui a une boutique dans la City, vient se plaindre à Sherlock Holmes d'avoir soudain perdu l'emploi que son commis, qui acceptait un demi-salaire, lui avait obtenu à la Ligue des Rouquins. Elle est organisée par un certain Ezéchiel

quatrième titre traduit en français d’une série commencée en 1991 par Carole Nelson Douglas. _________________________________________________________________________________ “The red-headed league” (août 1891) “La ligue des rouquins” Nouvelle de 29 pages Un rouquin, qui a une boutique dans la City, vient se plaindre à Sherlock Holmes d'avoir soudain perdu l'emploi que son commis, qui acceptait un demi-salaire, lui avait obtenu à la Ligue des Rouquins. Elle est organisée par un certain Ezéchiel

moi, ne l'avais-je pas toujours su ? Même pas cap ! J'avalai la poignée de pilules comme une échappatoire. J'eus du mal à déglutir, mais une gorgée d'eau minérale fit passer le tout. Je me traînai alors jusqu'à ma chambre et m'écroulai sur le lit. L'espace était vide et froid, bordé par un immense mur de panneaux de verre luminescent couleur turquoise, suffisamment transparent pour laisser passer la lumière du jour. Je me recroquevillai sur mon matelas, terrassé par mes pensées morbides

fond de moi, ne l'avais-je pas toujours su ? Même pas cap ! J'avalai la poignée de pilules comme une échappatoire. J'eus du mal à déglutir, mais une gorgée d'eau minérale fit passer le tout. Je me traînai alors jusqu'à ma chambre et m'écroulai sur le lit. L'espace était vide et froid, bordé par un immense mur de panneaux de verre luminescent couleur turquoise, suffisamment transparent pour laisser passer la lumière du jour. Je me recroquevillai sur mon matelas, terrassé par mes pensées morbides. Accrochés

théâtre va le fasciner très tôt. Lahorie lui offrira un volume du théâtre de Voltaire. Il va manifester pour le philosophe Voltaire une certaine aversion, au départ, il est terriblement marqué par le théâtre du patriarche de Ferney. Si aujourd’hui on ne lit plus le théâtre de Voltaire, il était considéré comme le grand tragédien du XVIIIe siècle. Il était donc logique que le jeune Hugo y trouve un modèle de versification et de construction de l’intrigue. Il se lance dans la création dramatique. Première

le Dublin de Joyce, le Berlin de Döblin, le Vienne de Musil ou le New York de Dos Passos.1 Nous trouvons ce thème chez des écrivains français qui célèbrent leur ville natale comme le Nantes de Jules Verne, le Rouen de Flaubert, la Normandie de Maupassant, et les Provence de Marcel Pagnol Mais Pagnol a surtout réussi à exprimer une certaine image de la Provence et, à travers elle, un passé folklorique, peut-être trop idyllique, fait de plaisirs simples et de souffrances atténuées par un fatalisme

déductions incertaines (Lyons 1978/1990:416 sq.). Pour décrire la différence entre les deux types de lectures, Lyons fait appel aux notions de tropique et neustique de Hare1 et introduit la notation ● ● p, où le premier point symbolise le neustique et se lit "je dis telle ou telle chose" (à remplacer par la notation "?" dans le cas des interrogatives) et le deuxième, le tropique "il en est ainsi" (à remplacer par la notation "!" pour les injonctives) (Lyons 1978/1990:421 sq.). Cette notation à deux places

hallucinations auditives. Ils mangèrent du bois vermoulu, du cuir, de la toile. Le cadavre de Chaval vint les dégoûter de boire de l’eau. Regrettant l’amour qu’ils n’avaient pas vécu, ils eurent enfin «_leur nuit de noces, au fond de cette tombe, sur ce lit de boue, le besoin de ne pas mourir avant d’avoir eu le bonheur, l’obstiné besoin de vivre, de faire de la vie une dernière fois. Ils s’aimèrent dans le désespoir de tout, dans la mort_.» (page 489). Mais Catherine en mourut. Quelques jours plus tard