Maupassant Les Epingles

donnaient les premiers soins. Le lendemain, un « officier de santé » examinait l’enfant pour déterminer son sexe et son âge. Ensuite un « commissaire de ville » décrivait « les linges et hardes » qui l’enveloppaient, ainsi que le billet, souvent épinglé sur ses vêtements, indiquant qu’il était baptisé. Il restait alors à lui attribuer un nom. Photo prise de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques (Toulouse) 20 0186-10 Devoir 2 Document 4 Louis CHevalier, Classes laborieuses et classes dangereuses

pour approcher la singularité de la fleur, de la guêpe ou du paysage : « Surgissez, bois de pins, surgissez dans la parole ». La lecture du texte, c’est-à-dire de cette quête d’exactitude, offre à vivre ce surgissement du bois, avec toutes « ses épingles à cheveux odoriférantes ». C Parcours : « Dans l’atelier du poète » • Le poète artisan. Le terme « atelier » rapporté au poète fait de ce dernier un artisan (voir p. 321) : le poète lime les mots, les ajuste, les relie. On pense aux parnassiens

|Avoir |-Qui plus a plus convoite. (XIIIème) | |Baiser |-Un baiser légal ne vaut jamais un baiser volé. Guy de MAUPASSANT , Confession d’une femme. | |Bavardage |-Moins on pense, plus on parle. MONTESQUIEU | |Belle-mère

répondrez à cette question dans un développement organisé. Votre réflexion prendra appui sur l’œuvre de madame de La Fayette au programme, sur le travail mené dans le cadre du parcours associé et sur votre culture littéraire. B- Commentaire Guy de Maupassant, Fort comme la mort, IIème partie, chapitre 2, 1889. Anne de Guilleroy est la maîtresse du peintre Olivier Bertin qu’elle craint de perdre avec le temps. La scène se déroule à la campagne : Anne, vieillie par un deuil familial, vient de prendre

 sur votre copie d’examen  Le jeune Olivier vit chez ses grands­parents et son oncle Victor qui est maréchal­ferrant. Le facteur  apporte une lettre de la tante Victoria, qui habite Paris avec son fils Marceau.  Le pépé ouvrit la lettre au moyen d’une épingle à cheveux. Il lut à haute voix. La tante  Victoria avait accompagné Marceau, ce « pauvre enfant », en Suisse. Le voyage avait été  difficile, mais le professeur du sanatorium Sylvana gardait l’espoir de le guérir « avec  du temps,  du repos, de la patience »

Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU MONDE À CONSULTER • Alain Robbe-Grillet p. 10-11 (Michel Contat, 20 février 2008) • Maupassant, chroniqueur vagabond p. 11 (Robert Solé, 19 décembre 2008) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain Ramsay, 1766. Vers le contemporain Aux xxe et xxie siècles, le roman est toujours un genre particulièrement prisé par les auteurs, comme par

l'asservissement et du totalitarisme le plus aveugle. Ce fantasme est bien caractéristique du pouvoir que détient le mythe de condenser nos terreurs et de nous les renvoyer dans l'espoir de quelque catharsis.  Hermann Mac Coolish Rotenberg Caistria : L’homme épingle (1809) Ernest Théodore Amadeus Hoffmann : L'homme au sable (1817)Mary Shelley : Frankenstein ou le Prométhée moderne (1818)Edward S. Ellis : Steam Man of the Prairies (1865)Luis Senarens : L’Homme électrique (1885)Filippo Tommaso Marinetti : Poupées

toile peut faire penser à une bande dessinée, une mosaïque ou à un collage. Ce dispositif propose une double mise en abyme, celle de la peinture à travers les reproductions d’œuvres et celle du processus créateur, la main d’Erró, en haut à gauche épingle une image. Pollock, en noir et blanc, est présenté en penseur, mais ce portrait est projeté sur le mur de gauche et s’anamorphose. L’angle nettement marqué crée un effet perspectif. L’espace représenté suggère une pièce, la boîte noire de la mémoire

séduisants, ou alors séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu’un personnage de roman doit être séduisant pour susciter l’intérêt du lecteur ? Nous étudierons tout d’abord en quoi les personnages séduisants possèdent

ou alors séduisants tout simplement, malgré eux. Certains même sont devenus des archétypes, comme Valmont, héros des Liaisons dangereuses, et bon nombre de titres de romans arborent leur nom suggestif, tels Lovelace de Richardson, Bel Ami de Maupassant ou Nana de Zola, comme un appel irrésistible à la lecture ! Faut-il pour autant affirmer qu’un personnage de roman doit être séduisant pour susciter l’intérêt du lecteur ? Nous étudierons tout d’abord en quoi les personnages séduisants possèdent