Maupassant Le Merveilleux

 Guy de Maupassant : Bel-Ami Première partie I (juin): Georges Duroy est un jeune homme originaire de Rouen employé aux bureaux du chemin de fer du Nord, anciennement sous-officier de l'armée. Ses maigres revenus ne font qu'accentuer son obsession pour l'argent. Alors qu'il flâne à Paris un soir d'été, il rencontre par hasard un ancien camarade, Forestier. Ils discutent et Duroy ne lui cache pas sa difficile situation financière. Forestier décide donc le prendre, en quelques sortes, sous son

royaume sont issus d’anciennes légendes celtes. A noter qu'Arthur ne vieillit pas d'un roman à l'autre, ressemble physiquement aux chevaliers du 12e siècle, se démarque par les nombreuses épreuves qu'il lui faut surmonter, relevant pour la plupart du merveilleux. Il en est de même dans « Le Chevalier à la charrette » avec le protagoniste Lancelot à qui rien n'est impossible. Au 16e siècle, les romans de Rabelais font preuve d'une imagination encore plus débridée. Ils mettent en scène des géants pour le

mode était Octave Feuillet. Dans les cabinets de lecture, on demandait les romans d'Edmond About, de Jules Sandeau et de Victor Cherbuliez. L'Assommoir était une heureuse réaction contre cette "littérature à talons coquets" que fustigeait Guy de Maupassant. Dans Germinie Lacerteux, les Goncourt avaient peint les faubourgs; mais les faubourgs n'avaient point lu Germinie. La doctrine naturaliste     C'est autour des querelles suscitées par L'Assommoir qu'a commencé à se développer une campagne en

scènes, d'où un vaste public. La doctrine naturaliste : Développement d'une campagne en faveur du naturalisme à la suite des querelles suscitées par l'Assomoir : groupement de jeunes écrivains autour de Zola : Huysmans, Céard, Alexis, Mirbeau, Maupassant, qui voyaient en Zola le continuateur de Flaubert et des Goncourt. => 1880, publication d'un ouvrage collectif : Les Soirées de Médan. Manifestation éclatante de l'école groupée autour de Zola. Zola publie alors coup sur coup Le roman expérimental

facteurs : — la narration qui relie fortement l’histoire à l’imagination du conteur ; — la nature même des éléments narrés — un passé intemporel (Il était une fois), un lieu imaginaire (le château de Peau d’Âne, par exemple), des événements merveilleux qui sont le fait de puissances surnaturelles comme les génies ou les fées, etc. ■ D description La description nous donne à voir des lieux, des scènes, des personnes. Elle fait partie du récit au même titre que l’histoire racontée et que

Le roman et la nouvelle réalistes au XIXe siècle Sommaire Introduction 1. Découvrir les caractéristiques du roman et de la nouvelle réalistes Fiche Méthode : Histoire du roman Corrigés des exercices 2. Corpus de textes  Le réalisme de Balzac à Maupassant Fiche Méthode : La situation d’énonciation Fiche Méthode : Expliquer un texte narratif Fiche Méthode : La lecture analytique Fiche Méthode : Replacer le réalisme dans l’histoire culturelle du XIXe siecle Corrigés des exercices 3. Du réalisme

et la nouvelle réalistes au XIXe siècle Sommaire Introduction 1. D  écouvrir les caractéristiques du roman et de la nouvelle réalistes Fiche méthode : Histoire du roman Corrigés des exercices 2. Corpus de textes  Le réalisme de Balzac à Maupassant Fiche méthode : La situation d’énonciation Fiche méthode : Expliquer un texte narratif Fiche méthode : La lecture analytique Fiche méthode : Replacer le réalisme dans l’histoire culturelle du XIXe siecle Corrigés des exercices 3. Du réalisme

affronter et dépasser l’hostilité et la tristesse du monde quotidien. Le deuxième type, tout aussi répandu, est le rêve d’amour, celui qui consiste à rêver d’être avec quelqu’un. À partir notamment de l’examen des textes de Paul Verlaine, Guy de Maupassant ou encore de Pascal Quignard, cette sousÉditions Hatier 2013 12 Classiques & Cie BTS Cette part de rêve que chacun porte en soi partie dévoile combien l’idéal romantique d’une passion amoureuse permet de sublimer l’ordinaire. Enfin

dans la vie réelle. Il a le désir de peindre non seulement l’homme mais aussi ses instincts, ses passions de la manière la plus vraie possible. Il veut une imitation du réel (il recherche la crédibilité et la vraisemblance), et donc il refuse le merveilleux. Il a recourt à des descriptions. Prévost utilise certains procédés destinés à garantir la réalité de l'histoire : le récit est à la première personne du singulier ce qui installe le lecteur dans un climat de confiance, il s'agit d'une expérience

siècle délaisse l’aventure, l’héroïsme épique ou à l’inverse l’inspiration réaliste « pour se replier dans la chronique du cœur solitaire avec ses propres conflits ». Chaque romancier a donc de son art une vision qui lui est propre, comme l’affirme Maupassant dans « le Roman », texte qui sert de préface à Pierre et Jean : « Tous les écrivains, Victor Hugo comme M. Zola, ont réclamé avec insistance le droit absolu, droit indiscutable, de composer, c’est-à-dire d’imaginer ou d’observer, suivant leur conception