Maupassant Focalisation

Fiche lecture: Bel-Ami 1/Identités du Livre Auteur: Guy de Maupassant Titre: Bel-Ami Date de publication: 1885 Genre: roman 2/contexte: Place du livre dans l'œuvre de l'auteur: Bel-Ami est le 2éme roman de Maupassant il met un ans pour l'écrire et le publier. Lien du livre avec son époque: La majeure partie de l'action dans Bel-Ami se déroule au XIX siècle (siecle de l'auteur), à Paris. On retrouve un contexte historique (les guerres coloniales) et politique (début de

rapporte constamment au réel. Le Rouge et le Noir est inspiré d'un fait divers. Mais il s'agit là plutôt d'un réalisme subjectif. Plus peut-être que la réalité, c'est la vérité des sentiments qui intéresse Stendhal. Il privilégie dans ses romans la focalisation interne, ainsi dans la description de la bataille de Waterloo de La Chartreuse de Parme, Stendhal décrit la guerre par le regard de son héros qui naïf, ne comprend pas les événements qui l'entourent. Stendhal aime le romanesque, contrairement à

le personnage devient riche et réussit tout de manière fulgurante, on peut s'attarder sur Bel-Ami de Guy de Maupassant. Celui-ci a d'ailleurs été écrit à un intervalle très cout du Comte de Monte-Cristo. Dans Bel-Ami, nous observons l'ascension sociale de Georges Duroy. Il devient au court du roman, l'image même de l'aristocrate riche, beau et à qui tout réussi, à l'image de Dantés. Maupassant a donc voulu, comme Dumas d'ailleurs, nous montrer les rêves de son époque, c'est à dire la réussite sociale

Pierre et Jean; l'incipit: I) Réalisme - 1ere phrase: «Zut!» > choquant pour l'époque, ironie de Maupassant, originalité du commencement, interruption du lecteur dans l'histoire. - Cadre familier: scène familière (pèche), décor planté dès les 1eres lignes, lieux réelle (Havre en Normandie) -Détails: panier de poisson, appel aux sens du lecteur II) Indice sur le drame -2 frères: personnages éponymes (Pierre et Jean), rapprochement ("ses deux fils") puis opposé ("l'un à bâbord l'autre à tribord")

obligatoirement par une « matérialisation » du personnage qui puisse le représenter presque « palpable ». Les alternatives sont ici aussi variées. Soit l’établissement d’une véritable fiche d’identité, procédé souvent employé par Balzac, soit à l’aide d’une focalisation interne, soit par l’intermédiaire d’un monologue intérieur, soit enfin par un dialogue qui permette de cerner le personnage par ses paroles. b- Laisser une part d’inconnu Une fois cette identification réussie, il semble souhaitable de

MAUPASSANT Bel-Ami ´ Edition avec dossier d’Adeline Wrona no 1356 / 3,30 € es eleves de premiere doivent desormais aborder l’objet ´` ` ´ d’étude intitule « Le roman et ses personnages : visions ´ de l’homme et du monde ». Les supports ne manquent pas – la profusion en la matiere peut meme devenir facteur ` ˆ d’embarras. Or Bel-Ami, recit d’un seducteur ambitieux qui, ´ ´ grace a son charme, reussit dans les milieux de la presse ´ ˆ ` sous la IIIe Republique, se revele etre un choix pedagogique

ne pense qu'à lui, son ego est surdimensionné. On n'a l'impression qu'il y a un peu de flou dans son esprit. La phrase est longue « il se sentait......ses égards », il ressent quelque chose de vaguement sentimentale, mais rien n'est sincère. Maupassant fait aussi une critique de l'Eglise (ensemble des chrétiens). L'Eglise est offerte à quelqu'un qui n'a aucune morale. Bel- Ami ne mérite pas tous ces égards, il n'a aucun « titre ». Le commentateur se pose une question : l'Eglise se ferait elle

3°2 Collège SAINT-EXUPERY Français Mme DKHISSI M.C. FICHE DE LECTURE Nom et prénom de l’auteur : Guy de Maupassant ( 1850-1893) Titre : Les contes de la Bécasse (1883) Genre : Conte 1. Références Générales : Edition : Livre de Poche Collection : Les classiques de Poche Date de première parution : 1883 3. Hypothèses de Lecture : Titre : « Contes de la Bécasse » laisse penser que le livre parle de gibier puisque « Bécasse »

l’inconscience de la victime est fréquemment employé dans les récits ou les films d’épouvante. Les mots du champ lexical de la peur deviennent nombreux à partir du § 7 : « effrayante », « [une] épouvante » (noter l'emploi récurrent, chez Zola comme chez Maupassant, de l'article indéfini avec le nom d'une émotion : les émotions s'analysant comme des substances chimiques), « horrible ». Le meurtre se passe presque sans bruit : au début, Camille « voulut crier », mais vainement, et les deux appels à Thérèse

atmosphère propice au passage dans le fantastique : lorsque tout est flou, les repères disparaissent, les personnages sont fragilisés et la porte s'ouvre à tous les possibles.  4. Un voyage au bout de l'angoisse et de l'imagination- Un récit en focalisation interne : les sentiments du narrateur sont rapportés par des notations subjectives.- Le champ lexical de la peur : " yeux affolés, ne pas oser (2 fois), dévorer, Comme j'eus peur !, épouvante, frissonner ". Une ambiance est créée où tout peut devenir