Matière Vivante Et Inerte

FICHE CHAP 12: La matière et l’esprit Matière : La conception aristotélicienne de la matière (liée à la puissance) a longtemps dominé, jusqu’à Galilée et Descartes. Avec la science moderne se fera jour l’idée de matière comme réalité constitutive des corps (molécules, atomes…) Etymologie : latin materia : « matière » mater : « souche des arbres » ; « mère » ; « cause » ; « origine » grec hylè : « le tronc de l’arbre » ; « bois » ; « matériau

temples, des églises...... La pierre est à l'origine de l'univers, venue des profondeurs, elle a accompagné l'homme au travers des temps et a participé à son évolution. L'homme y a gravé son histoire, ses passions, son adoration à une divinité vivante ou céleste, sa haine aussi, et ses craintes. La pierre tient une grande place dans la symbolique maçonnique , il y est fait souvent allusion lors de nos tenues de façon directe ou indirecte. L'outil lui suggère la notion de travail indispensable

raréfiant, en se refroidissant, en se structurant. L’univers, il y a 10 ou 15 milliards d’année avant, était totalement désorganisé, ne possédait ni galaxies, ni étoiles, ni molécules, ni atomes, ni même de noyaux d’atomes… C’était qu’une bouillie de matière informe portée à des températures de milliards de milliards de degrés = « Big Bang ». Le big bang, limite de nos connaissances L’horizon de nos connaissances. Pour contourner ce casse-tête, pourrait-on alors définir le Big Bang comme le début de

de fonctionnement des cycles écologiques, les activités génèrent de plus en plus de déchets qui ne se recyclent pas tous naturellement. Factures de risques pour les sols, les eaux et la santé, ils représentent également une source de gaspillage de matières premières de l’énergie. Ainsi , la quantité journalières des déchets est passé en moyenne de 0.5 kg/hab .en 1980 dans les villes moyenne à 0.76 kg /hab .voire même 1.2 kg/hab .dans les grandes villes en 2002 .en ce qui concerne les conditions de

nature, l'homme ressent une émotion d'ordre sensible. La combinaison heureuse d'éléments divers au sein des choses, le bon accord des formes ou des couleurs déterminent en nous plaisir ou même joie. C'est de cette émotion engendrée par la beauté vivante qu'est partie la conception qui voit dans l'oeuvre d'art une copie du réel. La beauté naturelle fut antérieure au beau artistique. Dès lors, ne convient-il pas de la copier fidèlement ? L'imitation de la nature a pour fin d'exprimer cette beauté

déroule dans le faubourg de Cormeil au moment de l’arrivée des prussiens, en 1870. c) la folle, 40 ans, seule avec une vieille bonne, seule, folle-défaite M.Mathieu d’Endolin, narrateur vieille bonne, donne a manger Une folle, veuve et seule vivant avec une vieille bonne lui donnant a manger mourra convaincue dans sa bêtise de ne pas bouger, abandonner sur son matelas par les prussiens, se laissant mourir et ensuite dévorée par les loups. M. Mathieu d’Endolin découvrit son cadavre un an plus

circonstance. Mais elle est si petite qu'on pense à une naine de cour habillée de velours carminé. Sur le petit tableau, Rosa, seule, paraît être une merde ou une graine tropicale. Rosa est pernicieuse comme un bijou dont on ne sait s'il est précieux par sa matière, sa forme, ou la place qu'il occupe. Rosa n'est qu'un déchet habillé d'épluchure; elle est triste à mourir, découragée de la perfection de sa rondeur, amante indifférente, narcisse jaloux de sa propre beauté, égoïste Rosa. À vivre quotidiennement

La nature· Environnement · Le vivant/instinct/la sensibilité  · Origine/création· L’essence · Sauvage · Nature -> objet de connaissance Etymologie :Latin -> natura (=l’ensemble de ce qui est) -> nascorGrec : physis : physiqueNature :Sens 1 : C’est un principe actif souvent personnifié qui anime et organise l’ensemble des choses selon un certaine ordre.Sens 2 : L’ensemble des caractères, des propriétés qui définissent un être, une chose concrète ou abstraite.L’artifice : Ce qui est du à la

interne de la science et sur les impacts des développements scientifi ques dans l’évolution de la société. Be rn ar d Fe lt z LA SCIENCE ET LE VIVANT Philosophie des sciences et modernité critique Bernard Feltz SCIVIV ISBN 978-2-8041-7144-5 www.deboeck.comLa science et le vivant Philosophie des sciences et modernité critiqueLa science et le vivant Philosophie des sciences et modernité critique Bernard Feltz 2e édition revue et augmentéeLes droits d’auteur de ce livre seront reversés intégralement

Durkheim et l’analyse des sociétés modernes Il s’auto définit comme sociologue et cherche à imposer la sociologie comme une nouvelle matière. Contrairement à Tocqueville, il considère que le champ scientifique est très vaste t qu’une spécialisation du travail scientifique est nécessaire. Par conséquent il faut identifier une catégorie de phénomènes spécifiques que va étudier la sociologie, pour lui ce sont les faits sociaux. Le progrès dans un domaine de connaissance vient pour lui de la spécialisation