Matines de Bruges

MOLITOR, « La loi du 13 mai 1999 relative aux sanctions administratives dans les communes et les pouvoirs de police des autorités communales », in Rev. Dr. Comm., mars 2001, pp. 150-173 ; A. COENEN & al., Les amendes administratives, Vanden Broele, Bruges, 2006, 239 p. © Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale – www.avcb.be 1 Vincent Ramelot – janvier 2008 I. DEFINITION DE LA POLICE ADMINISTRATIVE La police administrative est l’ensemble des pouvoirs

notamment à l’accueil, pour comprendre le fonctionnement de l’agence. J’ai également pu découvrir les différents produits du Crédit Agricole, tant dans le domaine bancaire que celui de l’assurance. Tout au long de mon stage, je vérifiais chaque matin les remises de chèques déposées par les clients: ils doivent être accompagnés d’un bordereau et être signés par l’émetteur au recto et par le bénéficiaire au verso. Enfin, le numéro de compte bancaire doit être lisible. Après vérification, les chèques

populaires ; il s’inscrit ainsi dans une grande tradition picturale belge qui est la peinture des kermesses. Il ne se borne pas à ça, il fait une traversée des expressions artistiques, on le voit dans les premières lignes. C’est la description d’un matin ; c’est ce qu’on aurait dit comme une description d’un spectacle, ce qu’on aurait décrit en terme pictural est dans la description une description en terme musical. A été publié en 1860, une histoire des concours généraux qui reprend les meilleures

PLUSIEURS LABELS POUR LES PETITS COMMERCES DES VILLES N°2 : CREER UNE NOCTURNE HEBDOMADAIRE POUR LES COMMERCES DE CENTRE-VILLE SUR L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE N°3 : AUTORISER L’OUVERTURE DES PETITS ET MOYENS COMMERCES DE CENTRE-VILLE LE DIMANCHE MATIN N°4 : MIEUX CIBLER LA COMMUNICATION NATIONALE POUR ASSURER LA PROMOTION DU COMMERCE EN VILLE N°5 : INSTALLER LA PLACE DES COMMERCES AU CŒUR DE LA REFLEXION URBAINE GRACE AU RENFORCEMENT DES SCHEMAS DEPARTEMENTAUX DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL

détiennent une ou plusieurs boutiques : c'est le cas de Jean-Paul Hévin, chocolatier réputé présent à Paris mais aussi au Japon avec dans ce pays quatre magasins. Les enseignes spécialisées - citons Léonidas et Jeff de Bruges - jouent aussi cette carte du haut de gamme. Jeff de Bruges tente aujourd'hui de faire évoluer le concept en invitant ses clients à multiplier les occasions de consommer. Consulter aussi http://www.chocoland.com Mise à jour mars 2008 40 Marché 3 : les changes bébé en 2006

celui de l'histoire économique. un passage de la Chronique d'Afflighem fit une entrée triomphale dans l'histo­ riographie sous la plume d'lIen ri Pirenne qui y vit une allusion, valable pour les années 1075-1100, à l'existence de la célèbre route Bruges-Cologne, laquelle serait à l'origine de la plupart des villes braban�onnes : et le plus grand des historiens que la Belgique ait connu de décrire « les lourds chariots qui, à travers la plaine, s'ache­ minaient lentement du Rhin à la côte de Flandre

candidat Combien gagnent les franchisés ? (Extraits de l’enquête FRANCHISE MAGAZINE, mai 2002) Résultats des unités franchisées après trois ans d’activité minimum CA HT en Enseignes 8 A HUIT Superette LA MIE CÂLINE Pain et viennoiserie JEFF DE BRUGES Chocolats JACADI Prêt à porter SAINT KARL Coiffure NOCIBE Parfumerie CUISINES PLUS Ameublement LA FOIR’FOUILLE Solderie L’ESPACE ENCHANTÉ Jardinage KODAK EXPRESS Photo 5 À SEC Pressing LAFORÊT Immobilier FEU VERT Centres auto Moyen 915 000 651 000

vitrine, où étaient exposées des confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines

vitrine, où étaient exposées des confections pour dames. Chez Cornaille, à Valognes, elle était spécialement chargée des confections. Et jamais elle n'avait vu cela, une admiration la clouait sur le trottoir. Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les

charité : les Frères de Saint Jean de Dieu, les Sœurs de l’Enfance de Jésus et les Frères de la Charité[44] qui vont se préoccuper davantage des soins aux personnes âgées et aux malades mentaux[45]. En 1832, ils sont 69 et travaillent à Gand, Froidmont, Bruges, Anvers et Louvain. En 1865, au moment où quatre d’entre eux partent travailler dans un refuge pour marginaux à Montréal, ils sont 223. En 1908, pour leur premier centenaire, ils sont environ 1000 à s’occuper de quelque 7000 malades et 1000 enfants