Matif

Finances et afin de contribuer à moderniser la place financière parisienne, le MATIF (Marché A Terme d'Instruments Financiers) est ouvert le 20 février 1986 offrant à la négociation des contrats à terme sur emprunts d’état (le Notionnel). Un an plus tard, le 10 septembre 1987, le MONEP (Marché des Options NEgociables de Paris) ouvre à son tour donnant la possibilité de négocier des dérivés sur actions. En 1988, le MATIF étend sa gamme de produits aux contrats sur marchandises et devient le Marché

Conclusion 39 XV. La taxe sur les transactions financières 39 Quel montant et quels produits ? 40 Exemple : 40 Quelles opérations ne donnent pas lieu à la taxe ? 40 Conclusion 40 XVI. Organisation de la bourse de paris 41 NYSE-Euronext 41 MATIF S.A. 41 L'Autorité des Marchés Financiers (AMF) 41 XVII. La cotation des actions 42 Le calcul du cours 42 Les différentes techniques de cotation 43 Le déroulement d'une séance sur un marché en continu 44 Les variations maximales autorisées

lécythe (Antiq. gr. petit vase à corps cylindrique) un longane (fruit comestible du longanier) un maiche (Louisiane, marécage sans arbres, le long de la mer) un makila (mot basque bâton ferré) un mannose (glucide du groupe des hexoses) un MATIF (marché à terme) un microlite (petit cristal allongé, dans une roche volcanique) un microlithe (Préhist. petite pierre taillée) un moxa (bâton d’armoise incandescent pour la moxibustion) un noucle (Acadie, nœud) un orge mondé (grain d’orge débarrassé

échéance déterminée une certaine quantité d'un actif à un prix (= le cours) fixé à l'avance. C'est un moyen pour les entreprises de se couvrir face aux changements de cours… Ces contrats sont côtés sur un marché dérivé du comptant qu'on appelle le MATIF (= marché à terme international de France). L'option : elle donne le droit et non plus l'obligation d'acheter ou de vendre une quantité déterminée d'un actif à un prix (= le cours) fixé à l'avance à une échéance déterminée. Les options d'achat sont

conférence en gestion 29/06/2006 Finance d’entreprise Chapitre 1 La place des décisions financières dans le circuit financier Cette diversification des titres s'est accompagnée de l'extension des marchés : création du second marché en 1983, du MATIF en 1986, du MONEP en 1987, du nouveaux marchés et du marché libre en 1996. Une conséquence importante de la multiplication des produits et de l'ouverture des marchés a été le phénomène de désintermédiation, c'est-à-dire la possibilité de réaliser directement

moins-values nettes à long terme ; – le déficit fiscal et moins-values à long terme subis dans le secteur d’activité exonéré d’une zone d’entreprise ; – les régularisations résultant de certaines opérations sur le marché à terme d’instruments financiers (MATIF) : en cas de positions symétriques, cette ligne comprend la fraction de la perte sur une position qui n’excède pas les gains non encore imposés sur les positions prises en sens inverse. En cas d’opérations de couverture au sens de l’article 38.6.3°

mars N+1 au cours de 1 € = 1,24 $ puis sur le marché du Matif effectue une vente à terme échéance mars N+1 de 6 contrats d’emprunt notionnel Euro Matif Notional au cours de 97,94. Elle verse au Matif un acompte de 9 000 €. Enfin, pour se couvrir d’une baisse de taux d’intérêt, la société Gamma effectue l’acquisition de 6 options d’achat de taux d’intérêt assimilable à un « floor » échéance mars N+1 au cours de 0,90. Au 2 octobre N, le cours du Matif notionnel était de 98,14. Le 1er novembre N, la société

Les investissements permettent de produire d’avantage. 2ème facteur de crise= essor des marchés dérivés : Ce sont des marchés qui reposent sur des engagements et pas sur les actifs eux-mêmes. En France ils datent des années 80 avec l’ouverture du MATIF et du MONEP.3 types de marchés de dérivés= de dérivés de crédits ouvert récemment. Ces marches ont pour caractéristiques d’avoir un impact sur les marchés d’actifs en mobilisant peu de fonds au départ, permettent aux agents de prendre des prises de

de nouveaux titres tels que les Obligations assimilables du Trésor (OAT), les Actions à bon de souscription d'actions (ABSA), les certificats d'investissement, les titres participatifs..., mais également de nouveaux marchés (second marché en 1983, MATIF en 1986 et MONEP en 1987), développement des Organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM)... (18) En 2004, 11,2 millions de Français détenaient des valeurs mobilières. Ils sont 10,9 millions en 2005. (19) Par exemple, fin 2004

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