Mathieu Kassovitz

consommée dans les films comme dans « La vie est belle » de Franck Capra en 1946 ou dans « Docteur Folamour » de Kubrick avec la scène du distributeur de Coca-cola en 1963 ou bien « ET » de Spielberg en 1982 et plus récemment dans « Babylon AD » de Mathieu Kassovitz en 2008 ou encore dans le James Bond « Quantum of solace » de Marc Forster en 2008. Christian Polge, président de Coca-cola France, dit que le Coca-cola est un objet emblème de réalité qui apporte donc plus de proximité. Coca-cola va aussi se

thématique des quartiers de banlieue fait par conséquent des Barons un film original, qui s'inscrit en faux contre l'image dramatisée construite par les médias ou même par le cinéma à travers des films comme La Haine, du réalisateur français Mathieu Kassovitz. Ce sont donc principalement les moyens utilisés pour transformer cette image fondée sur le fait divers que nous suggérons d'examiner avec les spectateurs (jeunes ou moins jeunes) au travers des activités proposées ici. Elles sont conçues pour

voitures flambent. Chaque année, depuis 1994, les voitures calcinées du Neuhof (quartier de Strasbourg) annoncent la Saint Sylvestre. Sur les ondes, le « Qu‟est-ce qu‟on attend pour foutre le feu ? » du groupe de rap NTM passe en boucle. À la télé, Mathieu Kassovitz parle de son film « La Haine ». 8 Avec le nouveau millénaire s‟engage une vraie réflexion dans les rédactions. On remarque à présent que le sensationnel et les révélations font vendre, c'est le principe du marché de la presse. Mais aussi

nombreux, tout comme les expéditions en terre inconnue ou les documentaires animaliers, omniprésents sur le petit écran. J’irai dormir chez vous présenté par Antoine de Maximy ou Apocalypse : La seconde Guerre Mondiale réalisé entre autre par Mathieu Kassovitz ont connu un succès immédiat. Les années 2000 sont aussi marquées par l’apparition du docu-fiction mettant en scène une situation possible ou déjà vécue à coups d’images de synthèses et d’acteurs : Paris 2011 : La grande inondation. Ce type est

les autres (le ring de boxe comme champ de bataille). Mais un tournant pris au milieu des années 1970 est à l’origine de la déferlante des films de ces années dont les metteurs en scène cultes sont Quentin Tarentino ou Oliver Stone aux USA, Mathieu Kassovitz ou Luc Besson en France. Progressivement, la violence n’est plus circonscrite à un champ de bataille en même temps que les genres narratifs traditionnels, à commencer par le western à la Ford ou à la Mann, sont remis en cause . La Horde sauvage

organisées par ces auteurs marginaux, avec parfois l'aide des médias locaux ou régionaux. Ces théories sont dénoncées par leurs adversaires comme « hypercritiques », « conspirationnistes », « révisionnistes »[13], voire « négationnistes »[14],[15]. À Mathieu Kassovitz qui pense qu'il est nécessaire de s'interroger sur certains aspects des attentats du 11 septembre 2001 et l'exprime sur le plateau de Ce soir (ou jamais !), le 15 septembre 2009[168], Marin Karmitz répond : « Moi je pense que le conspirationnisme

de Mosco Boucault en 1985 (documentaire sur les souvenirs de résistants), Uranus de Claude Berri en 1990 (avec Gérard Depardieu, Jean-Pierre Marielle, Philippe Noiret et Michel Blanc) et Un héros très discret de Jacques Audiard en 1996 (avec Mathieu Kassovitz). Au mythe d'une France rebelle et debout, majoritairement dressée contre l'occupant et contre Vichy, qui a dominé les années 1950 et 1960, a répondu dans les année 1970 un contre-mythe, celui d'une France abâtardie, égoïste et veule, vivant

s’occupe des patines et des teintures. Par ailleurs, elle assiste Michel Raffaelli, scénographe et costumier, sur de nombreuses créations. Elle travaille aussi à cette époque pour la télévision auprès notamment des réalisateurs Charles Brabant et Peter Kassovitz. Au cinéma, elle assiste Catherine Leterrier sur les films de Claude Lelouch, Richard Effron et Robert Enrico, et plus récemment elle travaille en collaboration avec Olivier Bériot sur les films d’Alain Chabat, Eric Besson, puis avec Sylvie Gautrelet

environnement.  Paradoxalement,  cette  intégration  progressive dans l’industrie culturelle et cette notoriété grandissante sont émaillées  d’une série d’incidents avec la police et la justice.  La compilation La Haine à la sortie du film de Mathieu Kassovitz focalise l’attention  des  médias.  Un  titre  de  Ministère  AMER,  Sacrifice  de  Poulet  est  assigné  en  justice  pour « incitation au meurtre ».  En 1996, NTM connaît des démêlés avec la justice,  suite  à  un  concert  à  la  Seyne‐sur‐Mer

environnement.  Paradoxalement,  cette  intégration  progressive dans l’industrie culturelle et cette notoriété grandissante sont émaillées  d’une série d’incidents avec la police et la justice.  La compilation La Haine à la sortie du film de Mathieu Kassovitz focalise l’attention  des  médias.  Un  titre  de  Ministère  AMER,  Sacrifice  de  Poulet  est  assigné  en  justice  pour « incitation au meurtre ».  En 1996, NTM connaît des démêlés avec la justice,  suite  à  un  concert  à  la  Seyne‐sur‐Mer