Marqueur génétique

Nos aliments ne peuvent changer notre patrimoine génétique. Introduction : Elles seront bientôt dans nos assiettes et pourtant 80% des Suisses disent ne pas vouloir manger de plantes génétiquement modifiées. Nul doute que la peur domine. Les modifications génétiques peuvent-elles se transmettre à d'autres organismes ? Ces nouveaux aliments sont-ils toxiques ? Allons-nous développer plus d'allergies ? A toutes ces questions, la majorité des scientifiques répondent que les risques sont pratiquement

INTRODUCTION A LA TRANSFORMATION GENETIQUE DES PLANTES Mastère INAT 2009-2010 Module Génie Génétique et Biotechnologie Végétales Walid Hamada (Maître assistant à l’INAT) PLAN DU COURS 1. Introduction aux plantes transgéniques (historique et rappels de génétique moléculaire) 2. Principe de la transgenèse : construction du vecteur d’expression 3. Techniques de la transformation génétique chez les plantes 4. Caractérisation des plantes transgéniques 5. Applications de la transgenèse chez les

désormais d’établir les différences génétiques qui existent entre ces deux sous-espèces. Cette découverte a largement facilité les recherches sur le riz mais il reste encore beaucoup à faire car le riz présente une grande diversité génétique. L’International Rice Genebank de l’IRRI conserve à elle seule 109, 000 types de riz parmi lesquels des espèces sauvages, des ancêtres du riz, et des variétés modernes (IRRI, 2009). L’exploitation de cette diversité génétique nécessite la connaissance du génome

COURS 9– Montrer que LE GENE est l’unité d’information en relation avec les caractères héréditaires Les informations génétiques sont nombreuses mais doivent être réparties sur seulement 46 chromosomes III. Chaque chromosome porte plusieurs informations génétiques Document 1 : Lorsqu’on étudie les caryotypes d’individus de sexe mâles de l’espèce humaine, on rencontre deux types de caryotypes. Le caryotype des hommes A (syndrome de la Chapelle) est peu fréquent (1/20 000 naissances de garçons)

TUBE n°6 ------------------------------------------------- TP 4 : Microbiologie ------------------------------------------------- Conjugaison bactérienne Introduction La conjugaison est un transfert génétique à sens unique nécessitant un contact grâce aux pilis sexuels entre une bactérie donneuse F+ (qui possède le facteur F) et une bactérie receveuse F-. Elle permet la transmission de plasmides de conjugaison, en l’occurrence le facteur de fertilité F, et son intégration dans le génome de

bis Stock: 22 8. Développement du Lot 1 bis Stock : 23 V. Projet : Laboratoire d’empreintes génétiques Marcel Mérieux 26 A. Contexte scientifique 26 1. La science forensique 26 2. Présentation du laboratoire d’empreintes génétiques Marcel Mérieux 27 B. Le projet LEG 28 1. Présentation de la gestion administrative 28 2. Présentation de l’élaboration d’un profil génétique (chaînes « individu » et « Trace ») 30 C. Les différentes missions effectuées 33 1. Réunion

2. Les déterminants génétiques. L’idée que les caractéristiques physiques et mentales puissent être sujettes a une transmission héréditaires n’est pas nouvelle on la trouve implicitement dans de très vieilles pratiquent d’élevages des animaux et des plantes. Les travaux qu’à mené Mendel ont permis a ces déterminants d’avoir une connotation scientifique car il a découvert deux lois fondamentales en génétique. La première, la loi de la ségrégation, signifie que les caractères unis dans l’organisme

à des épimutations. 2 notions :  il n’y a PAS de relation entre le nombre de mutations et le nombre de caractéristiques.  L’instabilité génétique favorise l’acquisition des caractéristiques des cellules cancéreuses. la probabilité d’avoir une mutation, dans une cellule normale, est très faible. Dans les cellules tumorales : instabilité génétique   risque de mutation. PROTÉINE P53 — est un facteur de transcription impliqué dans la régulation du cycle cellulaire (par modification de

végétal, bactérie) dont on a modifié le matériel génétique (ensemble de gènes) par une technique nouvelle dite de "génie génétique" pour lui conférer une caractéristique nouvelle. Ce processus s'inspire des techniques de sélection ou de mutation, qui existent déjà dans le monde agricole. Les trente dernières années ont vu se développer des techniques modernes de "génie génétique", consistant à introduire un ou plusieurs gènes dans le patrimoine génétique d'un organisme et de construire des organismes

maladie auto-immune (c'est-à-dire que le système immunitaire cible les molécules du soi) et multigénique, impliquant plusieurs gènes à la fois et par conséquent plusieurs allèles. C'est une maladie multifactorielle faisant intervenir des facteurs génétiques et environnementaux. Le but du projet est de localiser le gêne d'intérêt contrôlant le phénotype de la maladie. Du fait de la nature multigénique de la maladie, il s'agit de localiser le ou les gènes d'intérêt contrôlant l'un des caractères phénotypiques