Marivaux Coquetterie

Comédie Classique, éclot au XVIIème siècle, et donne enfin au genre, ses lettres de noblesse. Les représentations de Grands Artistes comme Molière et Corneille, commencent à illustrer le miroir critique de la société contemporaine. Les Comédies de Marivaux et de Beaumarchais, au XVIIe et XVIIIe siècle, sont, de manière générale, des comédies sentimentales qui mettent à l'épreuve le sentiment amoureux à l'aide de stratagèmes et de déguisements. Elles confèrent également à la comédie d'intrigue, une

Lecture analytique , L'ile des esclaves scène 1, Marivaux Introduction : Comédie de Marivaux, publiée en 1725 met en place une utopie : celle de l'échange des rôles entre maîtres et serviteurs. Ce renversement des situations se produit à l'arivée des personnages sur une île, vers Athènes, dans une grève de conventions qui masque la société française du 18èm siècle. Dans la scène 1, Iphicrate orend conscience d'être en danger en abordant l'île des esclaves. Arlequin manifeste sa liberté en remettant

MARIVAUX, L'Île des esclaves, « Le portrait d'Euphrosine par Cléanthis » (scène 3) Commentaire texte 16 pour l'oral Introduction : L'Île des esclaves est une courte pièce de Marivaux datée de 1725, en pleines prémisses des Lumières, ne comportant pas d'actes mais onze scènes de longueur variable, mettant en place une utopie : sur cette île, ce sont des esclaves qui règnent et font les lois, proposant une sorte de « thérapie psychologique » aux anciens maîtres. Il s'agit de placer ces derniers

B) Parler pour communiquer Parler pour ne rien dire, c’est aussi, dans un sens moins philosophique, se contenter de bavarder pour ne pas s’ennuyer, pour communiquer sans se soucier du contenu de la parole. C’est le cas d’Arlequin dans la pièce de Marivaux : ce personnage de valet comique, issu de la tradition de la Commedia del Arte, est en effet un grand bavard qui parle à tort et à travers pour passer le temps et « désennuyer » son auditeur. La parole a ici une pure fonction phatique (fonction du

accompagnées de schémas * Exposé, devant la classe, de deux mises en scène, imaginées par des élèves Lecture cursive de 1) Au choix : Le songe d’une nuit d’été de Shakespeare, L’Impromptu de Versailles de Molière, Les acteurs de bonne foi de Marivaux ou encore Six personnages en quête d’auteurs 2) un extrait de Miles gloriosus (le soldat fanfaron) de Plaute, donné dans le prolongement de l’étude du personnage de Matamore) 3) un extrait de La République de Platon, "le mythe de la caverne"

familière pleine d’humour. Marivaux:- Ecrivain, journaliste romancier et surtout dramaturge fécond, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est considéré comme un véritable rénovateur de la comédie. Epris par le théâtre et la vérité, Marivaux a créé la comédie amoureuse où il a fait de l’amour le thème unique de toutes ses pièces. En outre, son théâtre a appliqué la devise de la comédie prônant de « corriger les mœurs par le rire ». Maître du masque et du mensonge, Marivaux a pris le langage pour principal

font de l'improvisation a partir d'intrigues. En France, au XVIIeme siècle , Molière est le plus célèbre auteur de comédie ,il emprunte en premier les ressorts .Il intègre dans ses pièces des éléments de registre comique . Au XVIIIeme siècle ,avec Marivaux ,la comédie s'oriente vers l'analyse psychologique et n'utilise plus l'improvisation du théâtre italien et conserve ses personnages (joués par des italiens), ils gardent des noms qui rappelle la Commedia dell'arte .A la même époque , Beaumarchais

Les Fausses Confidences, de Marivaux (1737) En 1737, la littérature s'adapte à une époque moderne durant laquelle Marivaux, grand auteur dramatique s'initie à la préciosité d'un courant littéraire qui repose sur l'idéalisation de l'amour. Au XVIII ème siècle, les remises en questions, le libertinage, l'amour prend toute la place et deviennent des sujets dont on parle. Très rapidement celui ci se démarque de Molière et des autres Grands auteurs du siècle en orientant son écriture vers un sujet

Question du Corpus Ce corpus comporte cinq textes, Madame de la Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 ; Alain Robbe-Grillet, Les Gommes, 1953, Éditions de Minuit et Emile Zola, L’Assommoir, 1877 avec Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, La Vie de Marianne, 1742 suivie de Philippe Claudel, Les Âmes grises, 2003, Stock. Dans leur manière d’introduire les personnages ses textes cherchent t’ils à donner l’illusion du réel ? Je vais premièrement analyser les textes de Mme de la Fayette, et Alain

« Mamamouchi » lors d’une cérémonie turque burlesque. Le spectateur est prévenu que le fils du Grand Turc n’est rien d’autre que Cléonte. Il est donc dans la confidence. Le public est complice et il rit au détriment de M Jourdain. Dans la comédie de Marivaux, Le Jeu de l’Amour et du Hasard, par exemple, nous avons le comique de mots. Dans cette pièce, le valet prend la place de son maître et le maître prend la place de son valet. Ce travestissement amène les personnages à parler un langage qui n’est