Margaret Sullavan

d'Obama et sur la notion de discrimination positive. - Barack Obama's State of the Union Address - 2010  - Barack Obama's State of the Union Address - 2011  - The US presidential elections: how does it work?  Quelle est l'empreinte laissée par Margaret Thatcher sur la société britannique? Pourquoi parle-t-on encore de la Dame de Fer aujourd'hui? Peut-on parler de mythe politique?   - Financialisation and the Thatcher Governments  Un article de John Grahl - Le néolibéralisme et l'opinion britannique

Match éliminatoire 3 Manchette Equipe A 1-Quelle ancien premier ministre de la Grande Bretagne a rendu l’âme en Avril 2013 ? Margaret Thatcher Equipe B 2-Qui est le nouveau dirigeant de la Centrafrique ? Michel Diatodia QUESTIONS DE COURS 1-En économie, à quel terme correspond une hausse brusque et généralisée des prix ? Inflation 2-Quelle poème de Rimbaud se clos sur cette phrase : il a deux trous rouges au côté droit ? Le dormeur du val 3-Quelles couleurs confond un individu atteint de

à compter du 1er janvier 2015, de participer beaucoup plus fortement au budget européen, le gouvernement britannique remet en question sa participation à cette union. L’esprit du célèbre "I want my money back" (Je veux récupérer mon argent) de Margaret Thatcher, qui obtint, dans les années 1980, un rabais à la contribution de son pays au budget européen, est de retour. Par ailleurs le Royaume Uni n'a jamais adhéré à la monnaie unique car son système économique est basé sur la finance et la spéculation

les mêmes centre d'interêts que sa famille, et des types de discussion généralement différents, il pourra alors être tiraillé entre ses normes et valeurs d'origines et celles qu'ils souhaitent adopter. Un second exemple plus concret, l'exemple de Margaret Thatcher, femme britannique issue d'un milieu modeste, fille d'épicier et de couturière qui poursuit des études supérieures à l'aide des bourses et réussi à devenir la dirigeante du parti conservateur de 1975 à 1990 et à acquérir le poste de « First

dirigeants syndicaux, notamment ceux qui se réclament de la gauche. Ces leçons sont toujours d’actualité pour tous les travailleurs, en France comme en Grande-Bretagne. Aux origines de la grève Crise économique oblige, la Grande-Bretagne de Margaret Thatcher s’est lancée dans une vague de restructurations néo-libérales. Dans une offensive sans précédant, toutes les dépenses étatiques sont visées, à commencer par celles qui concernent le secteur public. Cette politique conduit, vers la fin

profits et investissements. S’imposent alors une modernisation des techniques de production par l’électronique et un retour au libéralisme. Le retour en force du libéralisme. En 1979 les pays développés font un retour général au libéralisme. Margaret Thatcher et Ronald Reagan souhaitent la dérégulation donc supprimer les réglementations paralysantes pour l’activité économique. En Allemagne le chancelier Helmut Schmidt insiste sur l’investissement créateur d’emplois. En France, Raymond Barre

aux mains du secteur privé, allant rejoindre les rangs d'une vingtaine d'entreprises privées de taille plus modeste responsables de 20 % de l'approvisionnement en eau potable. La privatisation de l’eau en Grande-Bretagne, sous le gouvernement de Margaret Thatcher, a vite démarré la mode des privatisations des services aux pays anglo-saxons, puis à l'ensemble des pays industrialisés. Le Canada n'a pas échappé à la tendance globale. Sous les administrations Mulroney et Chrétien, le gouvernement fédéral

recyclage des pétrodollars, qui facilite le financement des déficits budgétaires. Par contrecoup au keynésianisme, le courant libéral resurgit. Au tournant de 1980, la vague libérale part de l’Amérique de Ronald Reagan, submerge la Grande-Bretagne de Margaret Thatcher, gagne le reste de l’Europe, s’étend au Japon, puis aux pays émergents dans les années 1990. La vague libérale ne se limite pas aux pays industrialisés. Sous la houlette du grand gendarme financier international, à savoir le Fonds monétaire

dans l’action où elle démontre du courage, de la détermination, etc. alors non ce n’est pas elle, c’est son animus qui la domine! L’anima, dominant chez un homme, le rend sensible, émotif, irréfléchi, capricieux… Spontanément, l’exemple de Margaret Thatcher, dont le surnom était ‘’la dame de fer’’, me vient en tête. Je pourrais même aller jusqu’à dire que cette dame avait une grosse paire de c******* (organe masculin). Une maîtrise de soi rarement prise en défaut, une volonté inflexible et

marquent la fin d’une longue période de croissance basée sur la diffusion du progrès technique et l’efficience des politiques keynésiennes de consommation. L’Etat providence est endetté et ne parvient plus à contrôler l’inflation. Le Royaume-Uni de Margaret Thatcher et les Etats-Unis de Ronald Reagan dans les années quatre-vingt choisissent de déréglementer les règles des marchés pour se financer directement et plus facilement avec des capitaux étrangers. L’intermédiation opérée par les établissements