Marchiennes

La bête humaine. 18. L’argent. 19. La débâcle. 20. Le docteur Pascal. 3 Germinal 4 Première partie 5 I Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n’avait la sensation de l’immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges

par exemple, l’endroit où se passe l’histoire. Dans Germinal de Zola, le lecteur peut facilement l’imagine . « Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves ». Lorsque l’argumentation de l’auteur est bien construite, sa thèse doit être identifiée de la même façon chez chaque lecteur. Chacun perçoit de la même manière

et familier. La germination est en cours : le combat social se prépare + la nature pcq le printemps. Dans ce roman, on retrouve autant des indications sur l'espace précises (« à 2km de Montsou » ; « il fit environ 100pas » ;...) et réelles (Marchienne est une ville près de Lille) ou inventées (Montsou). Le décors est réaliste (la campagne du nord, càd des plaines rase, pavés, champs de betteraves,...) Au début du roman, la description de la mine se compose comme un tableau où s'opposent la

tirer une impression de malaise, de froid. L'accent est mis sur la misère des ouvriers. 8. Lieux. Quels sont les aspects réaliste et symbolique? Zola décrit tous les lieux avec beaucoup de réalisme, il situe son action par 2 villes réelles (Marchiennes et Lille) et décrit le paysage minier très précisément. Zola a donc situé le roman au niveau géographique, il utilise pour cela les villes, la description du paysage qui fait immanquablement penser au Nord de la France de par sa platitude et ses

à la fin de l’hiver ou au début du printemps, au mois de mars dans le calendrier révolutionnaire. Dans cet incipit descriptif et romanesque, un pauvre personnage inconnu erre sur un chemin qui semble interminable, une route déserte et froide à Marchiennes, Montsou. C’est un ouvrier affamé et mystérieux, le lecteur cherche à en savoir plus. Il n’y a pas de marques temporelles précises, de datation absolue. TEXTE du CONTROLE2 : Emile Zola, célèbre romancier naturaliste également l’auteur de Germinal

soirées toutes les scènes tragiques se déroulent dans le noir.L’hisoire totale se déroulle sur 14 mois mais surtout en hiver on fait des ellipses pour ramener tout à l’hiver dès qu’on parle d’été ellipseL’espace le lieu etcOn parle des mines de marchienne implantation directe au réel mais certaines villes et la mines n’existent pas donc mélenge entre le réel et le fictif.Il y a dichotomie (opposition) entre l’espace de mineurs (mine et corons minuscules) et ceux des bourgeois (la maison des groires

entreprise à la Compagnie des mines de Montsou. Prenant Chaval en tête-à-tête, il lui promet de l'avancement. Celui-ci finit par céder et décide la reprise du travail. Ce même jour, Mme Hennebeau, Cécile Grégoire et les filles Deneulin, vont déjeuner à Marchiennes. Négrel les accompagne. Chap.2  : à la fosse Jean-Bart, au fond, de 8 heures à 11 heures. Lisez ce chapitre. Chap.3  : retour en arrière : même jour, de 8 heures à 11 heures, de Jean-Bart à Montsou. Chap

interne, du point de vue de Gervaise. C’est encore une caractéristique importante du réalisme. Extraits imposés : Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n’avait la sensation de l’immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges

aventure…Alors prévenez-nous et nous trouverons ensemble une solution Comment pouvez-vous nous joindre ? C’est simple : avec un téléphone ! Aux numéros suivants : Akéla : 0477/92.08.29 Muntjac : 0479/76.66.93 Voici notre point de contact à Marchiennes-au-Pont, c’est notre chef d’unité, Christian Frérotte : 071/51.97.17 Note : Avant le camp, vous pouvez abuser et réabuser de ces numéros de téléphone pour poser toutes les questions qui vous trotteraient éventuellement dans la tête Pendant

l'effet de la fatigue et du froid ; il aperçoit quelque chose qui ressemble au feu de l'enfer : «  3 brasiers brulants au plein air et comme suspendus ». Connaître la vie ==> connaître la réalité sociale : Le cadre spatio-temporel est précis : -Marchiennes (l.2) -heure (l.7) -mois (l.4) -moment de la journée Selon toute vraisemblance, la scène se déroule autour de 5 heures du matin. L'attitude et la situation du personnage : -il est peu vêtu -sa veste est usée ( coton aminci) -ouvrier sans travail