Marcel Aymé

La peine de mort -La peine de mort est utiliser dans certain pays pour les grands criminels, Mais quel est vraiment inutilités de la peine de mort ? *Ils y a des gens qui sont pour la peine de mort car ils essayent de dissuader les criminelles de commettre des crimes. *Mais de nos jours la peine de mort n'effraye aucun criminelles car il y a pas assez de médiatisation autour de cette acte pour sensibiliser les gens mais surtout choquer les criminelles. *Depuis l'abolition de la peine

Uranus, Marcel Aymé, 1948 Dans ce roman, l’auteur raconte comment, à la fin de la deuxième guerre mondiale, un cafetier, Léopold, accueille dans son café un professeur et ses élèves, qui récitent maladroitement des vers d’Andromaque. Il se prend de passion pour la pièce et pour le personnage éponyme, qui lui permettent d’oublier ses soucis de tous les jours. Tout en marchant, Léopold se laissa distraire de sa colère par le souvenir d’Andromaque. Ces gens qui tournaient autour

Quand une jument verte nait dans une famille de paysans français jusque là sans histoire, ça ne peut manquer de faire des vagues. La jument fait d'ailleurs une très courte apparition, physiquement parlant, mais sa présence est notoire tout le long du roman, du tableau où elle est peinte, par les commentaires et les récits qu'elle fait, virtuellement, sur les coutumes et pratiques sexuelles de deux familles rivales. Ce livre est une satyre sans pitié dépeignant une certaine tranche de la société

Analyse de texte de la nouvelle  « Le passe muraille  » Introduction Le passe muraille est un recueil de nouvelles composées par Marcel Aymé (1902-1967), écrivain d’origine française. Il l’a publié la première fois à Paris, aux éditions Gallimard, en 1943, soit pendant la Deuxième Guerre mondiale, dont on ressent beaucoup d’influence dans les nouvelles. On retrouve dans plusieurs de ses nouvelles des composantes fantastiques et

sur un tableau. On trouve le champ lexical de l’assiduité : «travaillant nuit et jour », « à la longue », « bien des semaines furent passées » qui se traduit presque comme une forme de folie : «  devenu fou par l’ardeur de son travail ». 2. Marcel Aymé «  l’huissier » 1 .On trouve le registre satirique : saint Pierre fait tout pour dévaloriser le métier d’huissier, il dit que ce métier rend des gens triste, et il ne cherche pas à savoir si Malicorne a commit ou non des pêché, pour lui le métier

humains en difficultés, en souffrance. Il prétend aussi être le produit de ses livres et déclare qu'il ne faut pas voir dans ses livres le produit de sa vie. Il cite pour maîtres d'écriture de grandes figures de la littérature français et notamment Marcel Aymé et Romain Gary. Didier Van Cauwelaert a également travaillé pour le cinéma en tant que scénariste et a réalisé deux films. En mars 2009, il est candidat à l'Académie française au fauteuil de Maurice Rheims. Les Immortels lui préfèrent François Weyergans

Victor Hugo Le chien de Baskerville : Conan Doyle Le passe-muraille : Marcel Aymé Le vieil homme et la mer : Ernest Hemingway L’île au trésor : Robert Louis Stevenson Les contes de Charles Perrault Le parfum : Patrick Süskind Poil de carotte : Jules Renard La machine infernale : Jean Cocteau Les fourberies de Scapin : Molière L’amant : Marguerite Duras L’étranger : Albert Camus La gloire de mon père : Marcel Pagnol Harry Potter à l'école des sorciers : J.K. Rowling Sa majesté

Weulersse -Les douze travaux d’Hercule/Gabriel Aymé -J’ai bien connu Icare/Hans Baumann -L’aigle de la 9e légion / Rosemary Sutcliff -L’Odyssée/Homère ( Folio junior) · 10 -2 0 11 Récits de voyage et aventure : -L’élue/Lois Lowry -Le poney rouge/John Steinbeck -Le palais japonais / José Mauro de Vasconcelos -L’enfant noir/Camara Laye -20 000 lieues sous les mers / Jules verne -La gloire de mon père / Marcel Pagnol -Le château de ma mère / Marcel Pagnol -Le petit prince /Antoine de Saint-Exupéry

l’interrogation morale et métaphysique avec Georges Bernanos (Sous le soleil de Satan, 1926) ou François Mauriac (Thérèse Desqueyroux, 1927)). Le roman d'approfondissement psychologique initié par Maurice Barrès ou Paul Bourget, va trouver deux maîtres avec Marcel Proust et son œuvre fondatrice sur la fonction du roman et le jeu de la mémoire (À la recherche du temps perdu, 1913-1927), et André Gide, également poète (Les Nourritures terrestres, 1895) et autobiographe (Si le grain ne meurt, 1920-1924) qui met

sera donc décerné en 1903 à John-Antoine Nau pour son livre intitulé Force ennemie. Depuis la création du prix Goncourt, pas moins de 108 ouvrages ont ainsi été couronnés. Parmi eux on peut citer par exemple A l'ombre des jeunes filles en fleur de Marcel Proust (1919), La condition humaine d'André Malraux (1933), Week-end à Zuydcoote de Robert Merle (1949), Les racines du ciel de Romain Gary (1956), suivi de La vie devant soi où il se fait appeler Emil Ajar (1975). Il y a eu aussi L'amant de Marguerite