Marc Aurèle Désir De Gloire

lot se réduit à ceci : être lu en 1935 ». Stendhal, Vie de Henry Brulard, chapitre XXIII « éprouvait pour ce géniteur considérable et encombrant des sentiments véhémentement contradictoires. Il l’admirait. Il en enviait la vigueur et la gloire. Il aurait aimé l’aimer. Il le détestait. Le père jugeait le fils indigne de lui, et il ne s’en cachait guère ; le fils souffrait de son indignité, souffrait de la reconnaître, souffrait qu’on ne se souciât aucunement (et bien au contraire) de la

se soutenir au-dessus (ce sont ses propres expressions). Comment expliquer ce moment d’angoisse ? Peut-être par la présence de désirs conflictuels chez Descartes. D’un côté il n’est pas satisfait des systèmes de pensée de son temps et il éprouve le désir d’en fonder un sur des bases sûres, indiscutables ; d’un autre côté il est conscient que la destruction des repères conceptuels de son époque peut le faire basculer dans un abîme, de sorte que sa vie ne soit plus vivable, et cet état de choses n’est

 pour un sculpteur du Roi au XVIIIe siècle, était le moyen essentiel de  parvenir à la gloire. Les œuvres exécutées pour le Roi sont commandées, et payées par  l’administration des Bâtiments du Roi à la tête de laquelle on trouve un directeur, assisté  dans sa tâche par plusieurs commis. Il joue donc un rôle primordial d’organisateur et de  mécène. Ces commandes nous sont connues par l’inventaire qu’en a dressé Marc Furcy‐ Raynaud en 1927. Elles varient en fonction des directeurs. Le XVIIIe siècle s’ouvre avec 

idéal cosmopolite parce que l’empire est brisé. Idéal universaliste. Pas de différence entre le maître et l’esclave. Le maître peut être vertueux et l’esclave aussi. Les différences sociales s’effondrent. École où un grand penseur fut empereur (Marc-Aurèle) et un aussi grand penseur esclave (Epictète). La cité est le monde et les hommes sont citoyens et les dieux magistrats. — L’épicurisme: recherche plutôt petites communautés. La grande vertu est l’amitié. Il faut vivre à l’écart des foules. Le sage

Dieu l’a-t-il exalté et lui a-t-il donné le Nom qui est au-dessus de tout nom, pour que tout au nom de Jésus, s’agenouille, au plus haut des cieux, sur la terre et dans les enfers, et que toute langue proclame de Jésus-Christ qu’il est SEIGNEUR à la gloire de Dieu le Père (Phil 2, 9-11). Comme le montre d’innombrables exemples dans la sainte Écriture (Act 3, 6 ; 4, 7, 10, 30 ; 10, 43 ; 16, 18 ; 19, 13, etc.) et dans les Vies des saints, c’est par le Nom de Jésus invoqué avec foi que les miracles s’accomplissent

tout le reste. De plus, la volonté du peuple signifie dans le sens pratique la volonté de la portion la plus nombreuse et la plus active du peuple, la majorité, ou ceux qui réussissent à se faire accepter pour tels. Par conséquent le peuple ’peut désirer opprimer une partie de lui-même, et les précautions sont aussi utiles là contre, que contre aucun autre abus de pouvoir. C’est pourquoi il est toujours important de limiter le pouvoir du gouvernement sur les individus, même quand les gouvernants sont

les artistes et les écrivains remplissent deux grandes fonctions : divertir le prince et servir l’Etat qu’il incarne. Ils préparent des spectacles (ballets, opéras, entrées royales) et participent à l’organisation des fêtes. Ils contribuent à la gloire du prince qui leur fournit du travail et des moyens de subsistance et leur demande de louer sa personne et les vertus de son gouvernement. Si au XVIIIe siècle la production des idées est progressivement conçue comme une activité libre, pour les artistes

juste. Ce sont certes de bonnes raisons pour lui faire des remontrances, le raisonner, le persuader ou le supplier, mais non pour le contraindre ou lui causer du tort s'il agit autrement. La contrainte ne se justifie que lorsque la conduite dont on désire détourner cet homme risque de nuire à quelqu'un d'autre. Le seul aspect de la conduite d'un individu qui soit du ressort de la société est celui qui concerne les autres. Mais pour ce qui ne concerne que lui, son indépendance est, de droit, absolue

allitérations/assonances… • Ponctuation expressive : exclamations, points de suspension… > Le registre épique Associé au mot "épopée", le registre épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice de victimes, la gloire de Dieu. On peut le reconnaître par : • Une forme de récit descriptif : point de vue omniscient et parfois recours au merveilleux. • Des figures de style : hyperboles, effets de gradation et d’ accumulation, répétitions. • Des formes elliptiques

juste. Ce sont certes de bonnes raisons pour lui faire des remontrances, le raisonner, le persuader ou le supplier, mais non pour le contraindre ou lui causer du tort s'il agit autrement. La contrainte ne se justifie que lorsque la conduite dont on désire détourner cet homme risque de nuire à quelqu'un d'autre. Le seul aspect de la conduite d'un individu qui soit du ressort de la société est celui qui concerne les autres. Mais pour ce qui ne concerne que lui, son indépendance est, de droit, absolue