Maquis

forment ce recueil sont tous des poèmes de lutte. Ils doivent entrer dans la mémoire des combattants et soutenir l'espérance de la victoire : comme on le faisait pour les armes et les munitions, le poème Liberté à été, à l'époque, parachuté dans les maquis.

fils n'est pas un gitan Et je ne peux l'accepter ! [Refrain] Le gitan se croyant déshonoré Alla vers sa femme un couteau à la main : De qui est cet enfant ? Tu m'as trompé à ne pas en douter Et à mort il la blessa. Ensuite il gagna le maquis L'enfant dans les bras Et là il l'abandonna. [Refrain] Et les soirs où il y aura la pleine lune Ce sera parce-que l'enfant est bien disposé, Et si l'enfant pleure La lune décroîtra Pour lui faire un berceau. Et si l'enfant pleure La

instant immobilisé (texte court) • événement imprévisible mais majeur 3. Une rencontre à venir ? (« peut-être aurez-vous... ») Deuxième axe de lecture: Portée symbolique du poème: A. Un contexte significatif: 1. Lieu « à flanc de coteau » ( maqui ?). 2. Vocabulaire de la guerre. 3. Rencontre clandestine (« à l'écart » + silence imposé). B. Une personnification: 1. La rencontre de la beauté, atteinte dans la plénitude de l'instant ? 2. L'aube (elle s'en va dans la direction opposée au

forment ce recueil sont tous des poèmes de lutte. Ils doivent entrer dans la mémoire des combattants et soutenir l'espérance de la victoire : comme on le faisait pour les armes et les munitions, le poème Liberté à été, à l'époque, parachuté dans les maquis.  ANALYSE DE L’ŒUVRE Le poème est constitué de vingt-et-un quatrains tous formésl'exception du dernier, sur une structure identique : les trois premiers vers débutent par l'anaphore « Sur... » suivie d'un complément de lieu concret ou imaginaire

mois de domicile afin d’échapper à la Gestapo( police d’Hitler). En effet, Eluard publie clandestinement dans la France occupée de nombreux textes de réconfort et de lutte comme en 1942, le célèbre poème Liberté. Les avions le parachutent dans les maquis à des milliers d’exemplaires, on le diffuse le soir sur les radios clandestines,… Ainsi, les strophes de ce poème sont rapidement sus par cœur... En 1943, avec Jean Lescure, il rassemble les textes de nombreux poètes résistants qu’il publie dans «

chant des partisans : la force des mots : A qui s'adresse ce chant ? «  ami, partisans, ouvriers et paysans, saboteurs, camarades, tueurs,compagnons » sont appelés a résister. La Résistance est l'armée des ombres et le combat s'organise depuis le maquis et avec des réseaux Pourquoi résister ? « Le vol noir des corbeaux sur nos plaines, les cris sourds du pays qu'on enchaîne, l'ennemi, la haine à nos trousses, la faim qui nous pousse, la misère, dans la nuit la liberté nous écoute » sont autant

peins comme un incendie ». Mobilisé dès septembre 1939 dans l'intendance, il s'installe avec Nusch à Paris après l'armistice (22 juin 1940). En janvier 1942, il s'installe chez des amis, Christian et Yvonne Zervos, près de Vézelay à proximité des maquis. Éluard demande sa réinscription, clandestine, au parti communiste. Les vingt et une strophes de Liberté sont parachutées par les avions anglais à des milliers d'exemplaires au-dessus de la France (ce poème est mis en musique par Francis Poulenc dès

occupée par les armées allemandes, Petain dirige le gouvernement de collaboration à Vichy, Ce chant devient l'indicatif des programmes français de la b b c, il se répand dans les milieux de la résistance et devient un signe de reconnaissance dans le maquis,il est chanté lors de la cérémonie de transfert des cendres de Jean moulin au Panthéon en 1964. Le thème musical est composé en 1941 par Anna Marly, ensuite Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon ont écris les paroles. Ce chant devient le chant

destiné à impressionner (et surprendre) la population et (peut-être) calmer l'ardeur des résistants. C'est une méthode que les S.S. ont eu l'habitude de pratiquer sur le front de Russie. Ainsi les Allemands choisissent un village sans passé avec le maquis ou la résistance, un lieu tranquille, pour se "venger". Le choix est aussi fait en fonction de la taille du village et des capacités des

construire avec peu de ressource. Les femmes démontraient une par une leurs capacités à faire le même travail qu’un homme. Le sabotage : Pendant la seconde guerre mondiale, les femmes ont également beaucoup travailler dans l’ombre, elles ont pris le maquis, saboter de nombreuses fois du matériel allemand, et même détruite des voies ferrées pour éviter le rechargement de ceux-ci en nourriture ou armes. Infirmière : Pendant la seconde guerre mondiale, le plus grand rôle occupé par les femmes restait