Manifeste Du Symbolisme

« En quoi l’ouvrage, La Préface de Cromwell, peut-il être considéré plus comme un « manifeste » que comme une « préface » ? » « Un manifeste est une communication faite au monde entier, dont les seules prétentions sont de découvrir un remède instantané à la syphilis politique, astronomique, artistique, parlementaire, agronomique, et littéraire. Il peut être agréable. Il a toujours raison. Il est fort, plein de vigueur et logique. A propos de logique, je me trouve très sympathique. »

Théodore Géricault     (1791 – 1824) : officiers de chasseurs à cheval (1812) radeau de la méduse (1817), l’aliéné cleptomane (1822). Eugène Delacroix (1798 – 1863) : le massacre de Scio (1824), la Liberté guidant le peuple (1830) III) Symbolisme : mouvement artistique et littéraire qui débute en France au XIX° siècle et qui encourage les artistes à exprimer leurs idées, leurs sentiments et leurs valeurs au moyen de symboles plutôt que de déclarations explicites. À travers une esthétique

est enfin développé dans le contraste entre 2 tableaux : * celui de la jeunesse '' que ton teint de rose " qui est idéalisé, * celui de la vieillesse d'un réalisme cru qui touche à la caricature : " très sournois... avachi " 3) Des influences manifestes qui font penser à un "pastiche'' (imitation spirituelle d'un style) - Thème extrêmement traditionnel, topos, traité, entre autres par APOLLINAIRE, LAMARTINE - Mais c'est surtout un souvenir de RONSARD, lui-même inspiré de HORACE et de son Carpe

l’auteur, qui leur confère un symbolisme chrétien. La littérature celtique était en effet « un magasin d’accessoires où les conteurs pouvaient toujours puiser de quoi ajouter du pittoresque à leurs inventions et de l’imprévu à leurs intrigues » (Vendryes, 1951, p. 86). Cependant, comme la signification des objets n’est pas transparente, la scène en est d’autant plus mystérieuse. L’autre thème qui se dégage de cet extrait est celui de la merveille, qui se manifeste, d’une part, à travers les richesses

le poète des Syrtes et des Cantilènes, M. Jean Moréas, un des plus en vue parmi ces révolutionnaires des lettres, a formulé, sur notre demande, pour les lecteurs du Supplément, les principes fondamentaux de la nouvelle manifestation d'art. Le Symbolisme par Jean Moréas paru dans Le Figaro, le samedi18 septembre 1886 Supplément littéraire, p.1-2. Comme tous les arts, la littérature évolue : évolution cyclique avec des retours strictement déterminés et qui se compliquent des diverses modifications

Introduction : Le surréalisme est un mouvement artistique qu'André Breton définit dans le premier Manifeste du Surréalisme comme « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale ». « Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines

communs affichés. Les historiens de l'art ou de la littérature utilisent généralement la notion de mouvement lorsque le groupe d'acteurs (auteurs ou artistes) qui y sont associés se revendiquent d'un corpus théorique clairement défini en tant que manifeste. La notion de "courant" est plus floue dans la mesure où elle est utilisée comme outil d'analyse, le plus souvent a posteriori d'une période, pour désigner des tendances (stylistiques ou de démarches). Un courant peut être défini par les artistes

Fleurs du Mal, publié en 1857 par Charles Baudelaire, précurseur du symbolisme. Le poème « Spleen » se situe dans la première partie du recueil, « Spleen et Idéal ». Il est composé de cinq quatrains d’alexandrins à rimes croisées et décrit le mal être du poète. Nous verrons donc comment se manifeste le Spleen chez Baudelaire.

dernier, sa femme, Madeleine, brûla toutes ses lettres, geste vécu par Gide comme une véritable amputation. Les années 1920 furent pour Gide les années de la maturité, marquées par la publication de La Symphonie pastorale (1919), de Corydon (1924), manifeste en faveur de l'homosexualité, de Si le grain ne meurt (1920-1924), récit autobiographique, et des Faux-Monnayeurs (1926), que Gide considérait comme son premier véritable roman. Les Faux-Monnayeurs constituent de ce fait une étape fondamentale de

cadre de la Renaissance et de l'Humanisme. Sous l'impulsion de Ronsard, ce mouvement a pour berceau le collège de Coqueret, sur la montagne Sainte-Geneviève. A Paris, dès 1547, les proches de Ronsard, au premier chef Du Bellay, réfléchissent à un manifeste : La Défense et illustration de la langue française, rédigé par Du Bellay lui-même (1549). La doctrine des hommes de La Pléiade est que la langue française peut égaler en dignité le latin et le grec, il convient de l'illustrer, c'est-à-dire de l'enrichir