Malines Verlaine

doute . Fictions: construction de l'imagination grâce à laquelle on pense pouvoir résoudre un problème: la réponse à votre sujet se trouve dans cette définition! Voir la fiction du malin génie de Descartes et le problème qu'elle permet de résoudre.. Pour pousser le doute à son plus haut degré: même si un malin génie trompeur, rusé, intelligent me trompe, le cogito résiste comme un point fixe et assuré, indubitable: "qu'il me trompe tant qu'il voudra, il ne saurait jamais faire que je ne sois

métaphysique, Descartes fait l'hypothèse de l'existence d'un dieu exerçant sa toute-puissance dans le seul but de nous tromper. Il va même jusqu'à imaginer l'existence d'un " malin génie " qui est sensé " employer toute son industrie à le tromper ", ainsi qu'il l'explique lui-même dans sa première Méditation. Imaginer un tel malin génie a en effet pour but de soutenir psychologiquement les efforts d'un doute qui se voudrait absolu. Malgré toutes ses tentatives et ses efforts pour douter de tout, Descartes

raisonnements revient à douter de la raison. C’est alors le concept de Dieu trompeur, car Dieu peut tout, donc nous induire en erreur. Il n’y a alors ni vrai ni faux. Descartes propose alors «  Le Malin Génie ». C’est la puissance infinie de Dieu sans la bonté. Dieu est conçu comme infiniment bon pour nous, alors que le Malin génie peut nous tromper sans scrupules. Le monde matériel devient une illusion, il est alors douteux. Rien ne résiste au doute. On doute de nos sens, et de notre raison. Tout est faux

trompeurs(illusions d'optiques),il faut s'en méfier toujours.L'instrument est lui même douteux.Quand nous rêvons par ex nous croyons que ce que nous rêvons soit la réalité. -des véritées scientifiques -des véritées mathématiques. Comme au 17ème s , rumeur-->malin génie-->paroxisme du doute. *Qu'est-ce qui peut nous assurer que la raison/esprit soit une faculté plus fiable que les sens ? -Les certitudes rationnelles soit pas plus fiable que par l'esprit.Ce que je sent et ce que je conçois--> à éliminer.

évidentes. Exemple : les vérités mathématiques ou les principes logiques (comme le principe de non-contradiction) : au moment où je les pense, claires et distinctes, ces idées m'apparaissent comme ne pouvant être autres qu'elles ne sont, et même le malin génie que j'imagine n'y change rien (cf. Méditations, III, § 4). L'enchaînement logique de deux idées n'est lui-même saisi comme valable qu'à travers une intuition qui en perçoit l'évidence. L'évidence est décidément centrale, qui découvre aussi la

doute hyperbolique est une de ceux la. Le doute hyperbolique consiste à douter à l’excès. C’est-à-dire que chaque chose existante et que les gens prennent pour acquises et à en douter pour s’assurer de la certitude. Descartes donne l’exemple d’un malin génie, qui s’amuserait à crée des illusions pour tromper tout le monde, ce qui les pousserait à suspendre leurs jugements pour pouvoir éclaircir la véracité des choses. Il explique que si nous pouvons douter d’une chose, elle n’est pas un fondement

l'inconscience total face a la gravité de leurs actes , cela démontre bien leurs états d'esprit durant tout le livre . Si le livre n'aurait pas de titre , je proposerais ? -Le trio crapuleux ; Pour leur idées malfaisantes , pour leurs complicités et le malin plaisir qu'il ont a tuer les hommes que séduit Valérie. Ils sont fière de leurs coups et inséparable. Autoportrait d'un personnage : -Je m'appelle Valérie. J'ai 18 ans à l'époque des faits, je prend des cours d'esthéticienne et travaille dans

sur la réalité. Même si ces choses font imaginaire, la nature corporelle de ces choses est surement vraie. Les disciplines comme l'arithmétique et la géométrie ne peuvent donc qu'être vraies. Pourtant, René Descartes a dans l'esprit qu'il existe un malin génie, un Dieu qui l'aurait créé tel qu'il est et qui le tromperait a chaque instant. C'est après être contraint d'avouer que tout ce qu'il croyait réel est peut-être faux qu'il réalise que ses réflexions existent et qu’il doit donc exister lui aussi :

une longue tirade faites de remontrances, Dom Juan se permet de répondre par une réplique très pauvre en contenu n’ayant aucun rapport avec ce qui vient d’être dit : « Monsieur, si vous étiez assis, vous en seriez mieux pour parler. » De plus, le malin plaisir qu’il éprouve à se jouer des deux paysannes auxquelles il a promit le mariage montre bien son attitude immature et provocante. Les rapports de Dom Juan avec les personnages de la pièce sont toujours assez tendus, le plaçant donc seul face

proviennent de figures d’autorité, les connaissances sensibles ne sont pas fiables en raison des hypothèses des hallucinations, de la folie et de la possibilité du rêve, les connaissances formelles sont originaires de l’image d’un Dieu peut-être trompeur (malin génie); tous ces facteurs font que ces connaissances ne respectent pas le critère de l’évidence, donc qu’il est impératif de les rejeter. Le doute ressentit envers tout ce qui n’est pas évident permet à Descartes, de savoir que, même lorsqu’il se trompe