Malines Verlaine

qui perturbe la pensée. La première affirme que les sens sont trompeurs et qu’elle ne corresponde pas à la réalité. Le second est plutôt le rêve comme étant une incertitude sur l’existence réelle du monde extérieur ou matérielles et pour finir le malin génie est caractérise par le doute de nos essences.

pousse le doute jusqu’à douter de la fiabilité de ses pensées : C’est l’hypothèse du malin génie ou du Dieu trompeur, mais justement dans la seconde Méditation, la première certitude « je suis j’existe » surgit au sein de ce doute radical : Ce que je pense peut-être faux mais il est absolument certain que je ne peux penser sans être. La certitude de l’existence du sujet pensant surgit du sein du doute : « le malin génie » n’étant finalement qu’une manifestation de la volonté de Descartes de douter

du monde - Réalités rationnelles • Il y a un Dieu tout puissant qui peut faire que je croie à ce qui n'est pas -> doute sur réalité des essences mathématiques et sur raisonnement. • Je suis enclin à retomber dans la crédulité -> argument du malin génie ==> doute sur tout. b) ... en l'absence de fondement assuré. Cf. Discours I: Descartes déçu par ce qu'on lui a enseigné, tissu de vraisemblances. Descartes dépassera le cap du doute, sera à nouveau assuré de l'existence du monde extérieur

serait réel. Descartes doutera aussi des Mathématiques. Pour cela il prend l'exemple du Dieu trompeur et du Malin génie qui nous introduirait intentionnellement en erreur et donc influait même sur les mathématiques. Enfin il dira qu'il est impossible de douter sans être. Nous pouvons nous tromper sur certaines de nos pensées mais cela ne supprime pas la réalité de nos pensées. Même le malin Génie ne peut mettre en doute mon existence. De plus on ne peut pas tromper un être qui n'existe pas. Descartes

trompent, comme le dis Descartes, à cause d’un certain malin génie qui prend plaisir à me voir douter. Sur quoi d’autre pourrais-je me fier pour prouver mon existence alors ? Disons que je n’ai plus aucun sens. C’est le noir total je ne peux plus rien faire. Mensonge, la seule chose qui m’est possible de faire à présent est de penser. Si je pense, cela signifie qu’il existe un « je » et ce je c’est moi donc j’existe je suis bien réel. Mais revenons au malin génie qui me trompe. Il faut que j’existe pour

personnes. Il faut aussi être doté d'une patience très grande car, remettre en question chacune de ses opinions est une tâche bien fastidieuse. Aussi la fatigue peut se faire ressentir peu à peu, c'est pourquoi Descartes donne l'hypothèse d'un " Malin Génie qui nous trompe" : comme tout ce nous croyons vrai est faux, il est impossible d'avoir de certitude. Vu les compétences requises pour ce faire, il est possible que n'importe quel individu voulant réellement remettre tout en question en est

fausses s’il désire trouver quelque chose de constant et d’assuré dans les sciences. Il suposera alors, qu’il y a un mauvais génie. Alors, chaque fois qu’une proposition donnée se présentera comme candidate à la certitude, Descartes se demandera si le malin génie peut le tromper concernant qu’on répond oui, alors, c’est que ce n’est pas certain et indubitable. Puis, Descartes émètera une objection dans laquelle le mauvais génis existe même s’il se trompe, parce que si on pense être trompé part le mauvais

manifeste la liberté de l’esprit tant qu’il peu se débarrasser de tous les opinions et préjugés qui l’habitent. Il s’agit donc d’une entreprise de destruction nécessité par une volonté de vérité. Il fera l’hypothèse fictionnelle de l’existence d’un « malin génie » qui cherche constamment à le tromper. Remettant tout en doute, Descartes ce rend compte dans son Discours de la méthode que la pensée est consciente d’elle-même et en arrive à une proposition qu’il ne peut pas nier « je pense donc je suis

ainsi faire abstraction de tous les objets et même personnes qui nous entourent, car leur existence est douteuse, étants peut-être dans un rêve. Enfin, il émet l’hypothèse de la présence d’un « Malin Génie » qui contrôlerait nos vies. Selon lui, cela ne l’empêcherait pas d’exister car il pense et le malin génie ne peut pas le faire penser s’il n’existe pas. Ainsi, Descartes arrive à la conclusion très célèbre « Cogito ergo sum », « Je pense donc je suis ». Il n’affirme cela que pour lui, et nous

m’étaient jamais entrées en l’esprit n’étaient non plus vraies que les illusions de mes songes." * Le corps peut être une illusion dans la mesure où je suis berné par le mauvais génie. Descartes ne croit pas réellement en l’existence d’un malin génie mais pose cette hypothèse comme un moyen de douter. « Je supposerai donc qu’il y a, non point un vrai Dieu, qui est la souveraine source de vérité, mais un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant qui a employé toute son