Maladie hémolytique du nouveau-né

· traiter l'excès de cholestérol[->11] en complément d'un régime adapté, · prévenir les accidents cardiovasculaires (infarctus du myocarde[->12], accident vasculaire cérébral[->13]) et diminuer le risque de décès chez les adultes souffrant de maladie cardiaque et dont le taux de cholestérol[->14] est normal ou modérément élevé ou chez les adultes sans antécédent[->15] d'angine de poitrine[->16] mais qui ont un taux de cholestérol[->17] élevé. Il est également utilisé en association aux traitements

Introduire avantage la sonde en même temps - laisser respirer le patient la tête penchée en avant - la sonde doit être introduite d’avantage jusqu’à atteinte de l’estomac (50 cm ) - lors de résistance retirer légèrement la sonde et la repousser à nouveau * Mauvaise introduction de la sonde : - le patient tousse devient cyanosé, retirer la sonde tout de suite - faire attention chez les patients inconscients qui n’ont pas de réflexe de toux (lors de résistance tenir la sonde près de son oreil

polyvalent : il peut être responsable d'infection superficielle cutanée, causer un érythème fessier chez les nouveau-nés, une bronchopneumonie et/ou une pneumonie, une vaginite, une balanite ou être responsable d'infections profondes. C. albicans est un organisme vivant à l'état naturel dans les muqueuses de l'être humain. On le retrouve chez 80 % de la population, et il n'entraine habituellement aucune maladie ou symptôme en particulier. C'est un organisme commensal saprophyte. Au laboratoire médical, la

superficielle à streptocoque β hémolytique du groupe A et/ou staphylocoquedoré - Enfant +++, auto-inoculation, contagieux non immunisant. - Adulte : survient sur lésion préexistante. II. Diagnostic - L’élément Bulle superficielle, très fragile (rarement vue) - Érosion recouverte de croutes jaunâtres à extension A. Forme habituelle de l’enfant centrifuge - Début : périorificiel - Extension : visage et membre supérieur (portage manuel) - Signes généraux : absents - Nouveau né+++ Staphylocoque doré B.

1-Définition d'une maladie 2- Définition de génétique 3- Définition de maladie génétique a- les maladies géniques b- les maladies chromosomiques c- Les fonctions et les organes atteints II-Exemples de deux maladies génétiques 1-Les leucodystrophies a- Les causes des leucodystrophies b- Les mécanismes à l'origine de la maladie leucodystrophie c- Les symptômes de la leucodystrophie et ses manifestations d- Les traitements 2- Le xeroderma pigmentosum: maladies des enfants de la

PEDIATRIE DCEM 3 Responsable de l’enseignement : Professeur P. TOUNIAN -0- Index ACCUEIL ET EXAMEN CLINIQUE DU NOUVEAU NE. ........................................1 ALIMENTATION DU NOURRISSON NORMAL ..............................................118 ANEMIE PAR CARENCE OU DEPERDITION MARTIALE DU NOURRISSON ET DU JEUNE ENFANT ................................................................233 ANOMALIES DE LA MICTION .............140 APPENDICITE AIGUE ET DOULEURS ABDOMINALES

Bactériennes, parasitaires et mycologiques b. Toxiques c. Auto-immunes d. diverses 2) chroniques a. virales (93%) b. auto-immune HEPATITES VIRALES stricto sensu Définition et intérêt de la question Maladies infectieuses aiguës ou chroniques provoquées par 6 virus distincts, A, B, C, D, E et G à tropisme préférentiellement hépatique. On exclue donc de cette étude les viroses où l’atteinte du foie ne constitue que l’un des éléments d’une atteinte multiviscérale

l'indication de transfusions sanguines dépend de plusieurs facteurs : son niveau, le degré de diminution du taux de l'hémoglobine, la vitesse de baisse de ce dernier (une anémie chronique est beaucoup mieux tolérée qu'une anémie aiguë), la présence d'autres maladies, en particulier cardio-vasculaire (limitation de la tolérance). Ainsi un taux d'hémoglobine peut parfois descendre jusqu'à 3g/dl[1], le risque de mortalité se majorant toutefois en deçà de 7g/dl[2]. Causes[modifier | modifier le code] Les anémies

pathogénecollibacilloseEnterite(cv ov cnv)Septicemie( cv bv ov)Avortement(cv ov)Mammite(ov bv)Maladie de loedeme(porc)Maladie respiratoire chronique(oiseaux)Néphrite et cystite(cnv)Homme :*Ecep : diarrhées aigue et chronique*eceh : colite hémorragique : syndrome hémolytique et hémorragique | Prélèvements : –Fèces, sang sur anticoagulant, avorton… –Foie, rate, intestin…•Diagnostic direct :–Isolement –Identification : Biochimique Sérologique (sérovars | Maladies–Colibacillose digestive –Mammite colibacillaire (USA, Canada)•Vaccins–Bactéries

Paludisme responsable du paludisme). Le paludisme (du latin paludis, « marais »1), aussi appelé malaria (de l'italien mal'aria, « mauvais air »2, terme privilégié par les Anglo-Saxons), est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Un Anopheles gambiae (une des espèces d'anophèles, hôtes définitifs du parasite Avec 225 millions de personnes malades et 781 000 décès en 20093, le paludisme demeure la