Maitre Derville

de Rastignac Jean-Joachim Goriot Jacques Collin, alias Vautrin ou Trompe-la-Mort Delphine de Nucingen Anastasie de Restaud Vicomtesse de Beauséant Horace Bianchon Madame Vauquer, la maîtresse de la pension a une cinquantaine d'années, Maître Derville, l’avoué du père Goriot, Sylvie la cuisinière de la pension et Christophe, jeune garçon travaillant à la pension Vauquer, Madame Couture, veuve d'un commissaire-ordonnateur, Victorine Taillefer .Poiret, un pensionnaire rentier épris de mademoiselle

inguérissable. » (site : AlaLettre) 1816 : Ensuite, il étudie le droit pour passer son baccalauréat et son père l’envoi chez un ami de la famille pour qui il travaille comme clerc de notaire (il s’inspirera de cet ami avoué pour son personnage Maître Derville dans Le colonel Chabert). A 2o ans, Balzac affirme sa vocation littéraire à ses parents qui lui laissent 2 ans pour arriver à vivre du métier d’écrivain sinon quoi, il reprendra le travail de son père. Ils l’installent dans une mansarde (rue

finale : le divertissement, le pouvoir de séduction du roman. Paragraphe n°2. dégagez l’organisation (le plan) de ce § Balzac n’hésite pas à grossir les traits de ses personnages. Ainsi, la description qu’il fait des petits clercs de l’étude de Maître Derville est féroce. Il nous les montre comme des gamins arriérés, complètement dénués d’intelligence. Ils se caractérisent surtout par leur méchanceté puisqu’ils aiment à se moquer des clients ou des pauvres gens qui viennent les voir. Ils ne s’impliquent

dans quelques instants nous allions être rue d'Artois ? - Eh ! mon père, est-on maître de son premier mouvement dans une catastrophe ? je suis folle ! Votre avoué nous a fait découvrir un peu plus tôt le malheur qui sans doute éclatera plus tard. Votre vieille expérience commerciale va nous devenir nécessaire et je suis accourue vous chercher comme on s'accroche à une branche quand on se noie. Lorsque monsieur Derville a vu Nucingen lui opposer mille chicanes, il l'a menacé d'un procès en lui disant

lettres. Le jeune homme exerce le métier de clerc de notaire dans cette étude où Jules Janin était déjà « saute-ruisseau » (jeune clerc de notaire ou d’avoué chargé de faire les courses). Il utilisera cette expérience pour créer le personnage de Maître Derville et l’ambiance chahuteuse des « saute-ruisseau » d’une étude d’avoué dans le Colonel Chabert. ------------------------------------------------- Les œuvres de jeunesse C’est en fréquentant la Sorbonne que le jeune Balzac s’éprend aussi de philosophie

l’histoire de Hyacinthe Chabert qui est un colonel napoléonien qui est laissé pour mort a la bataille d’Eylau mais il ne l’est pas puisque qu’il a survécu a cette dernière, il cherche a récupérer sa gloire et ses titres avec l’aide d’un jeune avoué nommé Derville .Cette nouvelle suit le mouvement littéraire que Balzac a suivi pour écrire ses œuvres c'est-à-dire le mouvement réaliste. Nous allons chercher en quoi le colonel Chabert est une nouvelle réaliste. Nous allons tout d’abord chercher les lieux et

l’avenir et la fortune d’une jeune fille » (l.24-27). - Qui ? La vicomtesse de Grandlieu ; le jeune comte de Restaud qui sort à la 4e ligne, Camille de Grandlieu la fille de la vicomtesse de Grandlieu, Derville, un avoué proche de la famille, l’oncle de Camille. Ce sont bien les héros du livre puisque Derville deviendra personnage-narrateur & qu’il s’agira du mariage de Camille et du comte de Restaud, à l’exception de Gobseck, personnage éponyme étrangement absent…

Hyacinthe Chabert La comtesse Ferraud Derville Les clercs Simonnin, Godeschal, Boucard, Desroches, Huré Vergniaud Delbecq Résumé : Laissé pour mort sur le champ de bataille à Eylau, le colonel Chabert réussi malgré tout à s‘extraire de l’énorme couche de cadavres amassée sur lui, que tout le monde croit mort. Après 10 ans d’errance, Chabert retourne à Paris (désormais sous la restauration) et va voir Derville, un avoué. Il lui raconta son histoire que Derville prit très au sérieux (la première

titre de la Transaction mais sort soussa forme définitive en 1844. L'histoire peut paraître surnaturelle puisque l'on présente le Colonel Chabert comme un « mort vivant » pourtant elle ne l'est pas. Contexte : Lieux : lecabinet du docteur Derville à Paris ainsi que d'autres endroits de la ville ( le tribunal par exemple ) puis la maison de campagne le la comtesse Ferraud à Groslay. Période : Les années 1820. Doncenviron dix ans avant l'écriture de l'ouvrage. Contexte historique : l'histoire

que le colonel Chabert fait à Derville, son avoué, contrairement au film. Celui-ci représente cinq représentations de cette bataille notamment au début et à la fin du film. Ces cinq représentations ne sont pas dans l'ordre chronologique, la première montre la fin de la bataille, tous les morts jonchés sur le sol puis amenés dans la fosse aux morts. Il la repasse quand Chabert fait sont récit à Derville, c'est la deuxième représentation. Après son entrevue avec Derville, Chabert sort de l'étude avec