Macroéconomie Monétaire

Ce document a été fabriqué par PDFmail (Copyright RTE Multimedia) http://www.pdfmail.com L’OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 1/ La notion de besoin Chaque individu a des besoins qu’il cherche à satisfaire. Ces besoins peuvent être regroupés en différentes catégories : besoins primaires (ou vitaux) : se nourrir, se vêtir, se loger, s’habiller besoins secondaires (ou de civilisation) : avoir un téléphone portable, un ordinateur… Ces besoins peuvent aussi servir à se différencier des autres et répondent

l'idée qu'un système par répartition réduit pour les ménages l'utilité de l'acte d'épargner, alors qu'au contraire un système par capitalisation favorise la formation d'une épargne financière longue. Ainsi, la retraite est un moyen de politique monétaire et financière. 2) La retraite est aussi un moyen de politique de l'emploi, à la fois sur le plan microéconomique (niveau entreprise) et sur le plan macroéconomique (niveau Nation). Au niveau de l'entreprise, la retraite est un instrument de la politique

Année 2013-2014 Elise Hupin Jouan Double licence droit-économie TD2 TD1 - Introduction : Objet et méthode de la macroéconomie Document : évolution tendancielle et évolution cyclique : PIB, chômage, prix et inflation. 1. Caractérisez l’évolution des différentes grandeurs macroéconomiques présentées dans ce document après avoir rappelé leurs définitions. PIB : le PIB est la valeur totale du flux de biens et services finaux produits dans une économie durant une période donnée. On l’appréhende

monnaie donne à l’intérieur du pays où elle circule. De ce point de vue, sa valeur interne peut être affectée par l’évolution du niveau général des prix : ainsi, l’inflation entraîne l’érosion de la valeur interne de la monnaie ; il y a érosion monétaire. L’autre valeur de la monnaie est sa valeur externe : elle correspond au pouvoir d’achat que la monnaie nationnale donne pour se procurer des devises, c’est-à-dire les monnaies qui circulent dans les autres pays. La valeur extenre dune monnaie

La notion d’entreprise L’entreprise est une unité de décision regroupant des moyens matériels, financiers et humains dans le but de produire des biens et services afin de générer un profit. L’entreprise suppose donc la réunion de trois éléments : le capital, le travail et les organes de décision. L’entreprise existe dans un but précis, généralement la production de biens et de services en vue de réaliser un profit. Mais dans tous les cas, l’entreprise doit exercer une activité de manière indépendante

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Les Finances publiques désignent les règles qui gouvernent les finances de l’Etat et des personnes morales de Droit public. Les lois de Finances quant à elles déterminent la nature, le montant et l’application des recettes et dépenses de l’Etat. Les lois de Finances fixent également les objectifs économiques et financiers de la politique de l’Etat et les moyens pour les atteindre. Les lois de Finances sont établies et exécutées suivant des règles précises. I – ETABLISSEMENT DE LA

La consommation ne dépend-elle que du revenu ? Résumé: La consommation joue un rôle essentiel dans l'analyse économique. En effet, elle constitue un élément important de la demande. Source de débouchés pour les entreprises, elle représente un des principaux facteurs du dynamisme d'une économie et donc de la croissance. L'inquiétude actuelle du gouvernement français concerne la baisse de la consommation et de ses conséquences sur l'activité économique.  I. L'influence du revenu sur la consommation 

Classiquement, on distingue dans la science économique deux matières : * La microéconomie : l’objet d’étude est l’individu en tant que consommateur ou producteur. Dans ce cadre on s’intéresse aux effets des décisions individuelles. * La macroéconomie : dans ce cadre, on étudie l’économie dans sa globalité. On s’éloigne donc des décisions individuelles pour avoir une vue d’ensemble. Ex : PIB On fonctionne à l’aide de grandeur globale, ce sont des agrégats. Les agents économiques Un agent

qui pourrait augmenter la consommation de 1,5% par an). En revanche, les risques sont liés à l'inflation (on prévoit +3% en 2010) qui fait baisser la consommation et l’investissement notamment immobilier (taux réels négatifs) et au resserrement monétaire qui en découlerait. M. De Vallerin, met en garde contre un possible risque de crise systémique en Chine lié au trop fort investissement, à la multiplication des créances douteuses et à la forte augmentation des prix de l'immobilier. Toutefois, le