Macrofonctions Linguistiques

: peut être permise par la langue) Voit la langue comme un système. Approches Synchroniques/Diachroniques Approche dite diachronique s'intéresse à l'histoire de la langue et étudie ses évolutions (étymologie, évolutions phonétiques). Ex : La linguistique comparée. Approche dite synchronique s'intéresse à une langue à un moment précis de son histoire ; ex : La grammaire scolaire est pour l'essentiel synchronique : elle indique quelles sont les normes considérées comme des règles d'une langue,

abondance de définitions sans qu’il y ait toujours consensus entre elles. Pour ces raisons, on ne peut prétendre ici à une présentation exhaustive. Néanmoins, la plus répandue du bilinguisme se fonde sur les aptitudes et non pas sur les politiques linguistiques ou éducatives. Il s’agit d’une aptitude facultative ou nécessaire, pour que communiquent entre eux des interlocuteurs de deux mondes dont les langues présentent entre elles une différence telle que la communication peut en être rendue difficile

traitement des informations linguistiques Trouble expressif, spécifique du langage ! Entre 7 et 8% d’enfants Trouble qui génère essentiellement des difficultés au niveau de la syntaxe La surdité verbale : bonne audition, cependant pas de traitement ou segmentation et donc aucun sens Hypothèses étiologiques Neuropsychologique : anomalie de l’organisation cérébrale (Galaburda, Habib) et hypothèses génétiques Neuropsychologiques et linguistiques : troubles de l’input

enseignement grammatical (grammaire explicite) ou d’une composante grammaticale implicite. 3. L’utilisation de supports (dialogues, textes fabriqués à des fins pédagogiques où des documents bruts soient écrits ou oraux) 4. Le choix d’une progression linguistique rigoureuse, ou d’un ordre de présentation “souple”, essentiellement pragmatique, ajoutant le choix des savoirs et des savoir- faire privilégiés par les activités d’apprentissage, essentiellement grammaticaux, lexicaux et phonétiques ou bien plus

étude de la poétique postcoloniale de la perte. Notre but a été, plus précisément, de comparer trois esthétiques d’écritures où la perte agit comme moteur central de création scriptuaire et de relever une série de relations existant au niveau linguistique et textuel qui participent à la poétique de la perte, ainsi que de construire une “théorie interne”( David Fontaine, La poétique, Paris: Editions Nathan, 1993, p.8.) des textes de ces auteurs. Dès le début de notre analyse, nous nous sommes heurtés

Cette intuition de la linguistique moderne rejoint la tradition de l'interprétation de la Bible, qui considère que tout texte biblique doit recevoir une interprétation, fruit d'une démarche personnelle ou communautaire, qui considère le texte à la fois dans sa littéralité et dans sa portée spirituelle ou existentielle. La tradition théologique distingue en effet depuis toujours une approche littérale et une approche spirituelle des textes bibliques. De même, la linguistique distingue un sens direct

personnalité on a trois personnalités : parent, adulte, enfant. En vendeur on se positionne en adulte et pas en parent (ne pas donner d ordre), pas en enfant (pas sens des responsabilités, je fais ce que je veux). _ PNL : (programmation neuro linguistique) : essayer de comprendre et se positionner par rapport a la personne, s adapter a sa façon de pensée selon 2 techniques : * Les yeux : regard a gauche=faire appel a sa mémoire au niveau des sons, regard a droite=ne pas a faire a sa mémoire

du langage, de la poésie et de l'art. Il est un membre éminent du Cercle linguistique moscovite et participe à la vie de l'avant-garde moscovite de l'art et de la poésie. Jakobson, qui a eu connaissance des travaux de Ferdinand de Saussure, développe une approche qui se concentre sur la manière par laquelle la structure du langage elle-même permet de communiquer. Le texte « Poétique » est tiré de son « Essais de linguistique générale » de 1963. Dans ce texte sont reprises ses principales idées illustrées

les recherches du zoologiste autrichien Karl von Frisch, il observe que la communication animale est stéréotypée (le signal a toujours la même signification), héréditaire ( le signal est inné, transmis génétiquement) et ne permet pas l'échange linguistique (les abeilles ne "dialoguent" pas mais répondent à un signal par une action ; exemple : aller chercher la nourriture). On ne peut donc pas parler d'un langage animal. Des études scientifiques montrent actuellement que les choses ne sont pas si

souvent à se cacher dans l’ombre, de telle manière que même la théorie littéraire les omette. Le sujet de l’énonciation est perçu comme un point de départ du procédé herméneutique que l’auteur appelle analyse sémio-linguistique teintée de philosophie phénoménologique. Linguistique, car les textes sont faits de la matière « langue », de morphèmes et non de couleurs, de teintes. Sémiotique, car l’analyse doit se concentrer sur la quête du sens et non sur les significations lexématiques et syntaxiques