Machiavel Le Prince Fortune Vertu

avec ce que l’intérêt prescrit, afin que la justice et l’utilité ne se trouvent point divisées. J’entre en matière sans prouver l’importance de mon sujet. On me demandera si je suis prince ou législateur pour écrire sur la politique. Je réponds que non, et que c’est pour cela que j’écris sur la politique. Si j’étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu’il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais. Né citoyen d’un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence

Point de vue discutable, affirme que c’est une science que seul les philosophes détiennent , seulement il y a des préférence, des arbitrages, des choix à faire. Aristote pense qu’il y a une vertu du peuple qui peut être intéressante en politique, le peuple n’est pas toujours aveuglé. !: Il n’est pas pour autant démocrate, il n’est pas question pour lui de donner tout le pouvoir au peuple (considère que ce serait donner

faible politiquement jusqu’à Philippe II. Philippe II n’est pas destiné au pouv, puisque qu’il ne l’atteint qu’après la mort de ses frères ainés. Il cherche d’abord à renforcer son pouv puis à moderniser le pays. Il soumet d’abords les nobles et les princes de Haute Macédoine pour éviter la fraction politique. Il crée un système de cour qui lui permet d’avoir ses nobles au près de lui en tant que compagnons et conseillés pour éviter la rébellion (= comme Loulou !). Il cherche a dvlp les infrastructures

Nicolas Machiavel (1469-1527), est un penseur italien de la Renaissance, l’autre, Carl von Clausewitz (1780-1831), est un officier militaire prussien. La principale thèse de Machiavel peut se résumer en la formule : « Toute guerre est juste dès qu’elle est nécessaire ». Il est partisan de la « guerre préventive » qu’il juge la seule vraiment raisonnable. Quant aux règles d’humanité, celui-ci se montre sans illusion à leur propos : « Un prince (…) ne peut exercer impunément toutes les vertus parce

nostalgique de la République. Il a une vision assez critique de l’histoire. Dans Germanie il décrit les mœurs des barbares germains mais il montre qu’ils sont pauvres mais libre et c’est toute la différence par rapport aux romains qui ont perdus cette vertu. Ce texte a joué un grand rôle pour les allemands. Suétone 70 128 Les vies des 12 césars. Il décrit la vie des premiers empereurs romains mais d’une façon extrêmement négative (Caligula et Néron.) Là encore l’objectif est la critique de l’empire

caractéristique de cette période : une coutume qui se crée appelé celle de l’équilibre européen à une coutume de droit qui a été réfléchie depuis le 15ème siècle par des penseurs italiens (la renaissance naît de l’apport des auteurs, penseurs italiens). Machiavel est le plus réaliste de tous les penseurs, qui inventent la raison d’Etat, notion qui explique les Etats doivent défendre leurs intérêts pour survivre, de faire en sorte de s’allier entre puissances lorsque l’une d’entre elles débordent. Lorsque

divisions politiques et religieuses + traduit l’ essor du capitalisme + et l’apparition de l’ère de l’imprimerie , en effet qui dit livre dit « imprimé » . - Un luth avec une corde cassée, emblème des divisions entre les princes italiens. A travers ce luth il invite les grands princes de son temps à mettre fin au conflit + allusion au nouvel art qu’est la perspective (Albrecht Dürer utilise un luth comme objet à dessiner en perspective) - Un globe : c’est la référence a ce que l’on appelle les grandes

siècle. 10 2.1.2.1. Paragraphe 1 : J.B. Bossuet (1627-XVII04) 10 2.1.2.1.1. Eléments de biographie 10 2.1.2.1.2. L’apologiste de la monarchie de droit divin 10 2.1.2.1.3. Bossuet prédicateur des devoirs des sujets et des princes. 11 2.1.2.2. Paragraphe 2 : L’absolutisme, les leçons de l’expérience politique, le testament politique de Richelieu, et les mémoires de Louis XIV. 12 2.1.2.2.1. Richelieu (1585-1614 ) 12 2.1.2.2.2. La majesté du roi, la grandeur

beauté, par la jeunesse, par la célébrité, par le mérite, par quelques-unes des splendeurs qui nous éblouissent au point de nous faire tout oublier, même notre âge. Si vous avez cinquante mille livres de rente, votre âge contre-balance bien votre fortune ; ainsi de tout ce qu’une femme exige, vous ne possédez rien… – Et l’amour ? dit le garde national en se levant et s’avançant, un amour qui… – Non, monsieur, de l’entêtement ! dit la baronne en l’interrompant pour en finir avec cette ridiculité. –

trouve des collèges, des nations, et des facultés. Ces trois éléments, au 13ème siècle, époque de grand rayonnement, se caractérisent par le cosmopolitisme de leur recrutement. Les collèges sont des fondations privées destinées aux étudiants peu fortunés. On en comptait 45 en 1413 installés pour la plupart sur les flancs de la montagne sainte Geneviève. La plupart de ces collèges étaient de simples internats pour boursiers, mais d’autre tels le collège de la Sorbonne peuvent être aussi le siège d’exercice