Machiavel Humaniste Le Prince

par le papier. L’impression concerne dans un premier temps les textes religieux en latin, mais progressivement, elle s’étend aux écrits des humanistes. b. Trois enjeux artistiques et philosophiques à retenir ■ L’infl uence de l’Antiquité Les savoirs du Moyen Âge reposaient sur des commentaires et des interprétations des textes grecs et latins. Les humanistes redécouvrent les textes d’origine et s’emploient à étudier ces langues. Ils relisent le philosophe Platon (ve-ive siècles av. J.-C.), qui

éditions pour Venise 1480 : 593 éditions pour Venise 1500 : 4000 éditions pour 150 imprimeurs à Venise Depuis 1455 : Evolution de l’imprimerie grâce à des tentatives improvisées 1558 : Création du Gymnase de Strasbourg, centre d’enseignement humaniste 1542 : Meilleure connaissance de l’anatomie humaine grâce à André Vésale 1492 – 1522 : Meilleure connaissance de la Terre 1492 : 4 grands voyages de Colomb vers les Indes, mais qui l’amènent aux Amériques. 1498 : Magellan atteint les Indes en

cette période, certains des changements politiques importants ont eu lieu. Troisièmement, certains des idéaux les plus nobles de l'époque ont été mieux exprimée par le mouvement connu sous le nom humanisme. Quatrièmement, et connecté aux idéaux humanistes, était la doctrine littéraire d '«imitation», importante pour ses idées sur la façon dont les œuvres littéraires doivent être créés. Enfin, ce qui plus tard est devenu sans doute une influence encore plus profonde, à la fois sur la création littéraire

fait haïr les choses vraisemblable quand on me les présente comme infaillible. » Montaigne. C’est un philosophe sceptique qui utilise le doute comme principe philosophique, la liberté de conscience et la critique sont les chevaux de courses des humanistes contre le dogmatisme religieux. Chez ces auteurs ce créés une critique de la religion, en créant une attitude antidogmatique. Rabhé a été considéré comme un hérétique à son époque, comme un traite à la religion. Il était le seul non croyant à son

plus respectueuse des libertés individuelles. Quelques exemples de cette progression : 1. Nicolas MACHIAVEL (1469-1527) : Dans « Le Prince » (1513), il développe une vision pragmatique de la politique, dans laquelle il donne naissance au concept moderne de la « raison d’Etat ». La politique a une fin (le bien général) et cette fin justifie les moyens qui vont être employés pour l’atteindre. Machiavel prône un gouvernement pragmatique, détaché de la morale et de la religion, ayant parfois recours

est l’Eglise latine. Mais les XIVe-XVe siècles connaissent la division de la papauté (Grand Schisme), une querelle entre les conciles et le pape. La papauté, fixée à Rome, est restaurée, mais le conciliarisme reste fort à l’Université et chez les princes. Une Cour se développe à Rome avec le Sacré Collège (cardinaux, conseillers et électeurs du pape), la Chancellerie (correspondance, secrétariat, diplomatie), la Chambre apostolique (finances), etc. Il y a bien un Etat centralisé, moderne, avec une

autres rois à l’assister à la guerre (Achille, Ajax, Ménélas,…, Ulysse). Ces rois doivent venir à la guerre avec armes et soldats. Ces rois se réunissent en assemblée et dans celle-ci, Agamemnon prononce des discours politiques (opinions) et les princes s’expriment. De mm, dans cette assemblée politique, le Roi reçoit des ambassadeurs étrangers et il y a échanges de discours. La composition de l’assemblée varie selon le sujet : aepistes, héros, ambassadeurs,…   Il y a donc un certain pluralisme

3. St Bernard De Clervaux (1090-1153) C’est un personnage important du Moyen Age parce que il est le fondateur de l’abbaye de Clervaux et, il va jouer un grand rôle dans les affaires religieuses et politique en tant que conciliateur entre les Princes et les clercs. Son œuvre est très abondante, essentiellement religieuse même un peu de morale, elle lui assure une grande notoriété, mais elle n’est pas d’une grande originalité. Il s’agit pour lui avant tout d’assurer l’unité de la chrétienté. Les

ambitions d’un État plus puissant, le mécanisme enclenché échappe aux volontés individuelles ou collectives. Aussi le chef d’État ne peut-il éviter de se préparer au conflit armé, quand bien même il désirerait le règne de la paix. Machiavel peut ainsi écrire qu’ « un prince ne doit avoir d’autre objet ni d’autre pensée, ni choisir d’autre chose quant à son métier, hors de la guerre, des institutions et de la discipline militaire ». Il ne s'agit pas toujours chez lui de soif de puissance ou de conquête

| ------------------------------------------------- Libertinage intellectuel du xviie siècle[modifier] Relecture des théories du philosophe grec Épicure, le libertinage est un courant de pensée né au xvie siècle en Italie (Cardan, Paracelse, Machiavel), puis au siècle suivant Gassendi). Affirmant l’autonomie morale de l’homme face à l’autorité religieuse (aspect surtout spéculatif de la liberté d’esprit), il débouche au xviiie siècle sur la forme moderne de l’esprit critique : appliqué à la réalité