Machiavel Conception Histoire

en société civilisée. On retrouve encore quelques traces timides du rôle de l’imagination philosophique chez MacIntyre, à travers ce qu’il appelle « une proposition dérangeante » : que resterait-il d’une culture si l’on faisait abstraction de son histoire intellectuelle ? Rawls s’était demandé, avec plus d’arrogance imaginative, si, derrière un « voile d’ignorance », quant à leurs intérêts personnels égoïstes, les hommes ne pourraient pas trouver un consensus pour mettre sur pied une société respectueuse

L’étude du pouvoir politiqueB) Le mode d’exercice du pouvoir politiqueC) Le fait de respecter les normes moralesD) L’obéissance irréfléchie aux ordres donnés par un chefE) Le droit applicable aux relations entre apatrides2) Dans quel ouvrage Nicolas Machiavel décrit l’art de gouverner ?A) Guerre et PaixB) Le PrinceC) Le lion, le renard et le loupD) Merci pour ce moment E) De l’art de gouverner3) Quelle est la formule de Carl von Clausewitz pour définir la politique :A) La domination des relations internationales

à partir des fins poursuivis, pour Platon et Aristote la politique se défini par sa finalité c’est à dire le bien. Machiavel nous dit que la politique ce n’est moins l’art de produire une bonne société que l’art de se maintenir au pouvoir, c’est à dire que le prince qui est au pouvoir est constamment menacé, donc il faut avoir l’art de gouverner et l’action politique de Machiavel s’est les moyens mis en place pour garder le pouvoir, il dit quand même que ces moyens c’est au service des fins pour

Histoire Moderne (XVI° - XVII° siècle) ( Un ouvrage de synthèse : François Lebrun L’Europe et le monde, Paris, Armand Colin (5° Edition) Semestre 1, Plan : A) L’émergence d’un véritable système-monde à l’époque moderne 1. Les « grandes découvertes » 2. Des contacts accus entre civilisation 3. Une première mondialisation B) L’Europe, Vieux monde de transformation 1. Inquiétudes spirituelles et réforme du christianisme 2. Une existante fragile et

 Histoire des idées politiques Marc OLLIVIER Docteur en droit public Maître de conférences en droit public à l’UCLy Semestre 6 : février-mai Cours magistral de 42 heures Année 2008-2009 BIBLIOGRAPHIE GENERALE INDICATIVE : BAUDOUIN (J.), Les idées politiques contemporaines, P.U. Rennes, 2002. BRAUD (P.) et BURDEAU (Fr.), Histoire des idées politiques depuis la Révolution, Montchrestien, 1983. CHABOT (J.-L.), Histoire de la pensée politique, Masson, 1988. CHATELET (F.), PISIER

| | | |Nicolas MACHIAVEL (1515) | |

soigner car on ne peut rien faire contre la mort Gouverner : Il consiste à diriger une société (ensemble d’individu, de famille, de classe sociale différent) ce n’est jamais facile de gouverner des humains car ils sont toujours récalcitrant. Machiavel : Le prince princeps : A pour fonction de gouverner tout un peuple, il donne des conseils au gouvernant « Gouverner c’est faire croire ». Il faut faire croire que le gouvernement est une bonne chose. Ce précepte pourrait s’appliquer à ces 3 métiers

diplomate de la renaissance italienne Machiavel (1500), le juriste français Bodin (1550), le moraliste anglais Hobbes (1600), le philosophe allemand Hegel (1800) sont issues de cultures et d'époques différentes, et pourtant, à travers les siècles qui les séparent, n'ont-ils pas une démarche commune, celle de justifier le pouvoir absolu. Il s'agit de légitimer l'autorité, que ce soit le monarque chez Platon, le roi héréditaire chez Bodin, le prince conquérant chez Machiavel, le despote chez Hobbes et l'Etat

mais est en rupture avec la vision religieuse gréco-romaine. L’idée de création est liée à la vision de l’Histoire. Les chrétiens introduisent une vision linéaire de l’Histoire, un temps structuré et une marche vers quelque chose qui s’oppose à la conception du temps des grecs qui était cyclique. Nouvelle vision de l’homme qui est spécifique au christianisme : créature de Dieu, comme fils de Dieu et créé à sa ressemblance mais aussi marqué par le péché originel. Un certain rapport à l’image : représentation

certains concepts restent à expliquer comme celui essentiel de volonté générale on perçoit que Rousseau estime que sa conception propose un idéal tout à fait envisageable. En effet son idéal consiste à ce que les lois soient vraiment élaborées avec le peuple et qu’elles soient vraiment voulues par tous les membres du peuple assemblé. Ce n’est pas une utopie selon lui qu’une telle conception dans la mesure où par le passé les cités de la Grèce et surtout Rome ont procédé à l’élaboration des lois en assemblant