Machiavel Conception Histoire

constitution d’une discipline : la science politique 3 .1 : Emergence de la discipline 1871-1945 Pourquoi la faire démarrer aussi tard en 1871 ? (à voir les ouvrages de Platon et de Machiavel on croirait que c’est une ancienne discipline) : comment le prince peut il obtenir le pouvoir ? Le gagner ? Machiavel fait déjà une science de la politique. 1ER Travaux : comment fonctionnent les gouvernements ? Au XIXe siècle, il y a deux auteurs essentiels : Alexis de Tocqueville et Karl Marx. ‘’

père de l’histoire et des sciences politiques. A écrit un ouvrage « enquête » : dans celui-ci il est le 1er à distinguer les différentes formes de gouvernement et les compare (la démocratie, l’aristocratie et la monarchie). Il en a écrit un second « histoire » : il présente la différence fondamentale entre la civilisation grecque et le monde des barbares (les perses…) va mener ensuite une critique : la démocratie et l’oligarchie sont sujettes à la corruption, il préfère alors la monarchie (n’est pas

associe la notion de pouvoir au principe de la coercition physique. Il n’est pas évident que la coercition et l’obéissance soient l’essence du pouvoir politique partout et toujours. Critique que posent les occidentaux sur une société primitive : sans histoire, sans État. Elles sont privées de quelque chose que l’on suppose nécessaire à toute société : elles seraient incomplètes, comme restées à un stade archaïque de développement. L’ethnocentrisme implique qu’il y a aurait une évolution inéluctable pour

souverain bien pour Hobbes est vide, l’homme est engagé dans un désir qui n’a pas de terme. b) Le pouvoir comme pouvoir sur les autres La division du pouvoir est dans un rapport de domination des uns sur les autres. Karl Schmidt envisage ce rapport. Machiavel envisage aussi la politique comme pouvoir, l’Etat doit être capable de gagner des guerres. III. L’essence de l’activité politique, ce qui fait son unité s’apparente bien à la recherche d’un bien commun a) Critique de l’identification politique/recherche

périodes de trouble, de révoltes. L’image de la régence est donc mauvaise. D/ La valeur du sacre Le sacre n’est plus un acte constitutif de la royauté, puisque le roi est roi avant d’avoir reçu le saint chrême. Ce qui fait le roi dans cette conception est son appartenance à la dynastie régnante et du fait qu’il soit aîné. Ce n’est plus le sacre qui fait le roi. Avec le système du sacre anticipé on assistait déjà à principe selon lequel la Divinité avait choisi une lignée, et pas seulement

existe une « ambigüité sémantique » autour de la notion de peuple. Le peuple, composé de citoyens de sexe, d’âge, d’origines, de valeurs, d’histoire, de classes sociales et d’intérêts variés qui décident ensemble de leur mode de vie et partagent une histoire composent ce qu’on appelle une « société ». On peut se poser la question suivante : est ce que la notion du « peuple » se réfère à une masse ou à un tout ? Tous les régimes politiques, quelle que soit l’époque ou le lieu se sont éventuellement demandés

incontestablement des philosophes, qui avaient l'ambition de proposer une certaine forme de gouvernement. Ils ne parlaient pas seulement d’État mais parlaient d’État civil, par opposition à l’État de nature. → Section 1 : De Machiavel à Thomas Hobbes Nicolas MACHIAVEL est né en 1469 à Florence, en Italie, et est mort en 1527. Suite à des études de droit, il a exercé diverses fonctions politiques dans une Italie sujette à nombreuses invasions étrangères. Il a écrit durant cette période, avec

Chute de la démographie. L’Ass. des citoyens passe de 7000 mbres à 400. Guerre civile (soldats partis au front perdent leurs terres). Domination Oligarchique. III. La querelle des meilleurs régimes. A. Hérodote Père de l’histoire, ami de Sophocle. Histoires des guerres médiques. OTANES=Démocratie, MEGABYSE= aristocratie, DARIUS= Monarchie (situé en 522 av JC, il ne variera pas jusqu’en 1789). Otanès c/ la monarchie : pas de frein, insécurité. Démocratie : gvt désigné par le peuple avec isonomie. Megabyse

politique puisque étant reine, l'union de l'Arménie et de la Bithynie fait de l'ombrage aux Romains. La question politique que pose Nicomède est : Jusqu'où doit on aller pour garder le pouvoir, et comment le garder ? Corneille fait échos aux théories de Machiavel, et place son héros comme anti-machiavélien. Pour Nicomède, tout les moyens ne sont pas bons pour avoir le pouvoir et la morale l'emporte sur l'ambition. Le Prince vertueux seul contre un pouvoir dominé par les Romains pouvait peut être renvoyer

politiques des cité-états et définit l’homme-citoyen comme animal politique (une bête qui vit en ville, sociable). 3. Saint Augustin : dualisme entre l’ordre politique et l’ordre religieux. La cité de Dieu est de l’ordre supraterrestre. 4. Machiavel : rupture du lien entre philosophie politique et morale ; scandale car lien sacré, on doit l’analyser les mécanismes du pouvoir. Pas de cité idéale, pas d’ordre juste ( POUVOIR + STRATEGIE => ESSENCE DE LA POLITIQUE MODERNE. C’est le précurseur de