Macareux moine

passer leur temps à faire des pèlerinages (chapitre 36). Rabelais remet donc en cause les doctrines de l'Eglise et les « faux » devoirs religieux qu'elle impose à ses fidèles. Par ailleurs, les personnages critiquent à plusieurs reprises l'état de moine. Ils jugent les moines « rejetés du monde » (chapitre 38) et ils déplorent leur mode de vie triste, organisé par des lois imposées par l'Eglise. Ainsi, Rabelais nous propose son utopie de la religion avec l'exemple de l'abbaye de Thélème. Lieu de liberté

une seule règle : « Fais ce que voudras », règle démontrée par l’énumération des verbes d’action tels que « manger », « boire », « dormir », « chasser » ou encore « jouer ». ----Rabelais veut construire « l’anti-couvent » : c'est la réaction d'un moine émancipé, contre l’ascétisme et la discipline monacale. Au chapitre LII, tout est conçu au rebours des abbayes véritables : Thélème n'a de l’abbaye que le nom. Il y a là cependant autre chose que la satire médiévale bien connue des moines (Jean de

type de réforme : réforme du clergé régulier Idée qu’il faut retourner à la règle dans sa simplicité pour mépriser le monde. Etre pauvre, ne pas se mêler tp au monde. Rétablissement de la chasteté. Ces réformes entendent réhabiliter l’idéal du bon moine. Les gens qui ont fait vœux de chasteté ont bien plus de chances de faire le salut que si ils ou elle se marient. Idée qu’il y a des états de perfection hiérarchisés. Ces réformes ont un certain succès. Le cloitre réforme est tenu pour l’anti

se côtoyer sans raison apparente « un moine [expirant] » (l 13), « une jeune fille […] pendue» (l 14) et le poète-narrateur lui-même: «– et moi le bourreau liait échevelé sur les rayons de la roue » (l 15-16). Enfin, si les tirets disparaissent par la suite, l'impression d'étrangeté ne disparaît pas pour autant: certes, la logique du récit commence à s'éclaircir grâce à certains indices («Dom Augustin, le prieur défunt» ligne 17 est sans aucun doute le moine agonisant lignes 13-14; la défunte « Marguerite

de l'Ordre qu'il a lui-même rédigée [pic] Saint François donne son manteau à un pauvre. 4 Quel signe est ici donné parle tableau de Saint François aux moines franciscains ? ……….. 5 A quoi voit on qu’il est «  saint  » ? … [pic] Moine copiste dans un scriptorium (atelier dans lequel les moines réalisaient les copies manuscrites) [pic] Manuscrit de l'hôpital Notre-Dame à Tournai - XVe siècle [pic] Salle d'un hôpital du Moyen Age 6 Quelles sont les activités

Le clergé hiérarchisé: Au sommet, le pape considéré comme un successeur de Saint Pierre qui était un des 12 apôtres de Jesus. On le reconnaît à la Tiare qu'il porte sur la tête et aux clés qui symbolisent les clés du royaume de dieu.En dessous du pape, il y a les cardinaux et les évêques. La cardinal élit le pape. L'évêques officie dans une cathédrale et administre un diocèse. Les deux personnages portent La Mitre.Ils sont tous représentés avec une crosse qui symbolise leur autorité sur les hommes

n'osant pas mouiller son vêtement pour traverser. Le vieux moine propose à la jeune femme de l'aider à franchir la rivière en la portant sur son dos. Une fois l'autre rive atteinte, les deux moines continuent de marcher en silence jusqu'à la tombée de la nuit. Le plus jeune rompt le silence et dit à l'ancien : « N'es-tu point honteux d'avoir porté sur ton dos une jeune femme si peu vêtue alors que tu as fait vœu de chasteté ? » Le vieux moine lui répond : « Je l'ai porté trente secondes sur mon dos

moines travaillent les terres du monastère et recopient les manuscrits dans le scriptorium. Ils prient tout au long de la journée. Ils suivent une règle de vie comme celle de St Benoît qui leur impose la chasteté, l’obéissance et la pauvreté. Ex. de moine célèbre : Bernard de Clairvaux au XIIe s. Au XIIIe s. François d’Assise fonde l’ordre des Franciscains (frères mendiants parcourant les villes). Au Moyen âge notamment au XIIIème siècle, à la suite de difficulté de l’Eglise (oubli des vœux de chasteté

Une religion se conçoit le plus souvent comme un système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté, mais il n'y a pas de définition qui soit reconnue comme valable pour tout ce que l'usage permet aujourd'hui d'appeler religion1. Le terme latin religio a été défini pour la première fois par Cicéron comme « le fait de s'occuper d'une nature supérieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte »2. Dans les langues où le terme est issu du latin, la religion est souvent envisagée

sur l’épaule d’un moine parlant au peuple. L’auditoire est désordonné, semble distrait .Le pape est corrompus, on le voit vendre des indulgences. Du coté protestant on aperçoit un baptême, tandis que du côté catholique, l’extrême onction (la mort), est représenté. Un jeu de carte tombe de la poche d’un moine. Dans la partie protestante, la gradation : Dieu - Christ – Saint Esprit – Peuple (étage inférieur) est opposé au catholicisme ou l’on voit le peuple, à l’égal d’un moine et d’un Dieu horrifié