Mac Mahon 16 Mai 1877

peu, le peuple accepte la Republique : la majorité républicaine progresse. Elle vote l’Instauration de la IIIe Republique avec trois lois constitutionnelles. 24 fevrier 1875 :concernant le Sénat, 25 fevrier 1875 : organisation des pouvoirs publics, 16 juillet 1875 : rapport des pouvoirs publics entre eux. Ce n'est donc pas une constitution à proprement parler, (et c'est une première pour la France) ces textes se caractérisent donc par la modestie de leurs prétentions. C'est une sorte de « constitution »

complémentaires du 16 avril (50 000 électeurs sur 258 000 inscrits) · Mais la répression finit par triompher· Thiers souhaite rassurer sa majorité monarchiste en lien avec le « pacte de Bordeaux »· Offensive fédérée sur Versailles facilement vaincue le 2 avril 1871 qui convainc Thiers de rechercher une solution militaire.· Le 11 avril, la seconde bataille de Paris commence· 200 000 Gardes nationaux armés mais seulement 60 000 en position de combattre contre 130 000 Versaillais sous le commandement de Mac-Mahon·

ministre est bien issu de la majorité parlementaire c'est pour éviter de retomber dans la crise stupéfiante du 16 mai 1877. En effet, le président Mac-Mahon avait contraint son 1er ministre Jules Simon, issu de la majorité républicaine, de démissionner pour le remplacer par un 1er ministre conservateur, Albert de Broglie. La chambre renversa alors le gouvernement, puis fut dissoute par Mac-Mahon qui ne fut cependant pas soutint par l'électorat, étant donné que les élections législatives furent emportées

ce que l’on a appelé la « constitution de 1875 » : la loi constitutionnelle du 25 février 1875 relative à l’organisation du sénat , la loi constitutionnelle du 25 février 1875 sur l’organisation des pouvoirs publics , et la loi constitutionnelle du 16 juillet 1875 sur les rapports des pouvoirs publics. Il existe une Séparation des pouvoirs souple qu’ il est possible de voir à travers la totale dépendance de l'exécutif à l'égard des chambres qui composent le pouvoir législatif. Le pouvoir législatif

Paris. Seule une Assemblée Nationale, élue par tous les Français, serait habilitée à traiter au nom des Français. Bismarck autorise la tenue de ces élections. Les élections ont lieu le 8 février 1871, et l'Assemblée Nationale élue ratifiera , le 10 mai 1871, le traité de Francfort: La France doit verser à la Prusse 5 milliards de francs or, et céder l'Alsace et la Moselle, soit 1,5 Millions d'habitants qui deviennent prussiens en raison de la conception germanique de la nationalité allemande. Toute

Chronologie 1789 5 mai : Ouverture des États généraux. 17 juin : Le Tiers État se proclame Assemblée nationale. 20 juin : Serment du Jeu de Paume. 27 juin : La noblesse et le clergé rejoignent le Tiers Etat. 9 juillet : L’Assemblée nationale se proclame Assemblée nationale constituante. 14 juillet : Prise de la Bastille. 4 août : Abolition des privilèges. 26 août : Fin du débat sur la Déclaration des droits. 17 articles ont été adoptés. A cette date, elle est considérée comme inachevée

(Sadowa, 1866) débouchant sur la formation d’une puissante et hostile confédération en Allemagne du Nord, hésitations en Italie par la défense du pape face à l’unification italienne. L’empereur décide d’assouplir le régime. Il légalise ainsi le 2 mai 1864, le droit de grève en abrogeant la vieille loi Le Chapelier. En revanche, il maintien l’interdiction des syndicats. L’évolution du mouvement ouvrier ne permit cependant pas à Napoléon de profiter du soutien de cette catégorie de la population

sur la société et l’école en particulier. A. La République de l’ordre moral. Le 24 mai 1873, Thiers est renversé et c’est le Général Mac Mahon qui le remplace. Mac Mahon est plutôt légitimiste mais ce n’est pas véritablement un homme politique. Il nomme donc Albert de Broglie comme vice président du conseil des ministres afin qu’il dirige effectivement le ministère. Dès le lendemain, Mac Mahon définit la politique qu’il entend suivre en disant : « Avec l’aide de Dieu, nous continuerons

contre-révolutionnaire partout ». Guizot refuse tout abaissement du cens (« réforme électorale ») et l’inéligibilité des fonctionnaires (« réforme parlementaire »). LA REVOLUTION DE FEVRIER 1848. La crise de 1846 renforce la misère du peuple. De mai 1847 à février 1848, des « banquets » où sont dénoncées les insuffisances de la politique de Guizot sont organisés. Le 22 février 1848, un banquet parisien est interdit ce qui déclenche une manifestation. Le 23, les troubles persistent, une réforme

école littéraire ?) qui, dans les dernières décennies du XIXe siècle, cherche à introduire dans l’art la méthode des sciences expérimentales appliquées à la biologie par Claude Bernard.  Cela conduit à des œuvres très construites tels l’Assommoir (1877) de Zola ou les Soirées de Médan (1880) de Huysmans et naturellement Pierre et Jean (1888) de Maupassant. (Le naturalisme français semble se limiter, en dehors de Zola, à Guy de Maupassant, à Vallès, aux frères Goncourt et peut-être à Alphonse Daudet(1840-1897))