Ma Morts Des Amants

mot “fer” s'attribue à l'épée d'H avec laquelle elle avait pensé se donner la mort). L'allusion a médée rappelle la monstruosité qui la caractérise en se référant à Médée, mère homicide de Ph. ② vers 20: “Par un chemin plus lent descendre chez les morts.” ↦ périphrase du suicide par le poison (euphémisme, registre pathétique) ⤇ Phèdre envisage la mort comme le juste châtiment de leurs fautes : « Elle s’en est punie » « un supplice», c'est une justice compensatrice. Phèdre et Œnone se sont donc administrées

surnommé Saintair, Herman Sartini. Il écrit cinq romans avec son aide. (photo)  il recommence à écrire seul , à 23 ans ,il obtient le Grand Prix du roman d’aventures avec ″Six Hommes Morts″.  A 21 ans, il recommence à écrire seul et deux ans après, il obtient le Grand Prix du roman d’aventures avec ″Six Hommes Morts″.  Cette récompense l’encourage et ces années sont très productives pour lui : il écrit une douzaine de livres.  C’est même durant ces années qu’il conçoit son héros préféré :

notamment financièrement, son frère malade. Elle eu un amant, avec lequel elle eu une relation. Mais elle le quitta car il voulait un enfant alors qu'elle refusait. Elle racontait avoir été conduite en enfer car elle avait gâché sa jeunesse. Seulement, Inès ne la croit pas. Ainsi, avec la relation que cette dernière va créer avec Garcin, Estelle va révéler son caractère et son véritable crime. Elle raconte alors avoir tué le bébé devant son amant, en le jetant par une fenêtre. Celui-ci se suicida. Ceci

marie (paysanne) et aussi, de Marie de Clèves (amante d'Henri III) Comment ce poème rend il hommage à la femme aimée? Nous allons pour répondre à cela parler du deuil du poète et de la célèbration de la beautée de la femme Axes : (fait par ma prof) I Situation présente : Le deuil du poète - champs lexicals de la mort - allusion à la parque (antiquitée --> la peiade) - destinataire : Marie (titre du receuil) - V13 : offrande du culte des morts --> antiquitée - chagrin, tristesse --> poème

narcissisme primitif est l’illusion de toute-puissance. L’enfant attribue, ensuite, la toute-puissance à sa mère mais elle est à son service ; il récupère donc sa toute-puissance, c’est l’enfant-roi. Enfin, il découvre que le père et la mère sont amants. Il est absent de la relation. C’est un tiers, cela crée le complexe d’Oedipe. Il veut garder sa mère pour lui. Il préfère penser que le père fait souffrir la mère. Il dévalorise ainsi son rival, le père.Il y a un lien entre la jalousie du narrateur

partisan de la « littérature putride » Zola écrit en 1868 Madeleine Férat qui marque peu de progrès dans sa réussite (Madeleine Férat devient la maîtresse de Guillaume de Viargues. Au bout de 6 mois, elle découvre qu’il est l’ami intime de son premier amant, Jacques, un étudiant en médecine parti comme Chirurgien en Cochinchine, dont le bateau a sombré et que l’on croit mort. Après le décès de son père, Guillaume revient dans la maison familiale et épouse Madeleine. Ils ont une fille, Lucie. Suivent 4

A Paris, la famille Raquin tient une boutique dans le passage du pont neuf. Thérèse pour qui les parents sont morts est marié avec son cousin Camille qui est maladif et chétif et la mère de celui-ci, Mme.Raquin. Tous les jeudis, les Raquins reçoivent des amis qu'il invitent à manger. Un de ces jeudi, Camille invite Laurent à manger, un ami d'enfance qu'il n'avait pas vu depuis bien longtemps. Mme. Raquin qui ne l'avait pas vu depuis vingt ans, adopte une attitude maternelle avec lui. Thérèse

- Les personnages : - Estelle voit ce qu’elle décrit comme son enterrement ce qui rappelle Hamm racontant son roman. Elle était adultrice et tomba enceinte de son amant qui désirait un enfant. Elle n’en voulait pas et décida de le jeter dans un lac. Le père de l’enfant de suicida. Estelle est donc responsable de ces deux morts. - Garcin est un pacifiste brésilien, marié mais trompeur. Prenant plaisir à voir sa femme souffrir de ses ecarts conjugaux. Il dit mourir en heros et contre son gouvernement

tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons : Monsieur le Mort, laissez-nous faire, On vous en donnera de toutes les façons ;

Rimbaud, Morts de Quatre-vingt-douze. Morts de Quatre-vingt-douze et de Quatre-vingt-treize,Qui, pâles du baiser fort de la liberté,Calmes, sous vos sabots, brisiez le joug qui pèseSur l'âme et sur le front de toute humanité ;Hommes extasiés et grands dans la tourmente,Vous dont les coeurs sautaient d'amour sous les haillons,Ô Soldats que la Mort a semés, noble Amante,Pour les régénérer, dans tous les vieux sillons ;Vous dont le sang lavait toute grandeur salie,Morts de Valmy, Morts de Fleurus