Ma Robe Est Suspendue Là Bas

le pays des « gringos » dans Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis et dans Ma robe est suspendue là-bas. Malgré son admiration pour le progrès industriel des États-Unis, la nationaliste mexicaine se sent mal à l’aise de l'autre côté du Río Bravo. On retrouve dans les tableaux de Frida Kahlo de nombreux symboles caractéristiques du Mexique. Ma robe est suspendue là bas La Frontière On observe au 1er plan de ce tableau la flore mexicaine ; plantes, maïs , fruits exotiques

découvrons alors un étrange personnage ... Figurez-vous un petit vieillard sec et maigre, vêtu d'une robe en velours noir, serrée autour de ses reins par un gros cordon de soie. Sur sa tête, une calotte en velours également noir laissait passer, de chaque côté de la figure, les longues mèches de ses cheveux blancs et s'appliquaient sur le crâne de manière à rigidement encadrer le front. La robe ensevelissait le corps comme dans un vaste linceul, et ne permettait pas de voir d'autre forme humaine

États-Unis et des Américains alors que son mari, lui, reste fasciné par ce pays et ne veut pas le quitter. Elle exprima son point de vue sur le pays des "gringos" dans Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis et dans Ma robe est suspendue là-bas. Malgré son admiration pour le progrès industriel des États-Unis, la nationaliste mexicaine se sent mal à l’aise de l'autre côté du Río Grande. Entre-temps, la mère de Frida meurt en 1932. Son anti-américanisme instinctif filtre dans quelques

tableaux qui exprimèrent son dégout envers les Américains(Autoportrait à la frontière entre le Mexique et les États-Unis et Ma robe est suspendue là-bas),mais aussi des portaits et des autoportraits représentant son mari,Diego Rivera,et elle(Autoportrait avec des singes,Portrait de Diego Rivera) Observation de l'œuvre : -Au premier plan:on observe une femme,portant une robe et un drapeau(Mexicain),debout sur un piedestrel avec des écritures.A gauche(Méxique),il y a des fleurs dont les racines sont

grande robe noire qui 1'« ensevelissait comme un vaste linceul» (1. 4). Puis la description semble suivre le mouvement naturel du regard d'un spectateur anonyme, (Raphaël ou le lecteur), qui découvre le personnage : en effet, après l'ensemble du corps, le narrateur attire notre attention sur le sommet de la tête, surmontée d'une « calotte en velours également noir » (1. 2), et dont le front est « rigidement encadré» par de « longues mèches» de « cheveux blancs» (l .3) Cette vaste robe ne laisse

« ensevelissait le corps », comparaison « comme dans un vaste linceul », métaphore « son visage aurait paru suspendu dans les airs », « sa face froide ». - Couleurs de la mort « blanc », « noir ». Ses cheveux sont « blancs », mais son visage aussi. Il est également qualifié par l’adjectif qualificatif « pâle ». Ses joues sont « blêmes ». Il porte des vêtements noirs, symbole de la mort : « vêtu d’une robe en velours noir », « une calotte en velours également noir ». - La vie a quitté son corps : « lèvres

tons plutôt chaud : rouge, ocre, marron et est très espacé. Elle représente ses racines mexicaines, ses traditions, son pays natal. On y voit des figurines de Teotihuacan, une tête de mort sculptée, les ruines d'une pyramide ainsi que des plantes en bas. On y voit également le soleil et la lune, qui sont des dieux dans la culture Maya. La partie représentant les Etats-Unis, à droite est plutôt dans les tons froids : bleu, gris, métallique, c'est un espace plus chargé, qui représente la modernité

tableau de la Laitière : La laitière est un tableau de Johannes Vermeer. C’est une huile sur toile qui mesure de Hauteur 45,5 cm et de Longueur 40,6 cm. Ce tableau a été peint vers 1658 et il est exposé depuis 1908 à Rijksmuseum d’Amsterdam au Pays-Bas. Description du tableau de la Laitière : Une femme, représentée debout, au milieu de la toile, est en habit de servante. En bras de chemise, elle incarne le travail domestique, la confection d'un plat à base de lait, dans lequel elle s'absorbe

parfum "Nina" de Nina Ricci. ....Il y a tout d’abord le personnage principal, Nina. Avec son teint de porcelaine et son visage délicat, elle évoque à la fois la jeune femme et la princesse de conte de fées. Impression que viennent confirmer la longue robe haute couture couleur poudrée et l’imaginaire suscité par le décor : les toits illuminés de Paris et cette pièce blanche dont les murs semblent s’étendre à l’infini. Autre élément clé, la pomme, mi objet de plaisir, mi fruit défendu, désirée dès le

à Paris. La Joconde représente le portrait d’une femme sur un fond d’un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. Mona Lisa porte une robe sévère très sombre, plissée sur le devant du buste, le décolleté dégage le cou et la poitrine, elle ne porte aucun bijou. Une écharpe descend sur son épaule gauche et les manches or de sa robe forment de nombreux plis sur ses avant-bras. Ces cheveux sont défaits elle porte un voile, le voile ne doit pas forcément être interpréter comme signe de