Ma Morts Des Amants

- Vers 637 : «du Dieu des morts déshonorer la couche» : On disait que Thésée devait aider Pirithoüs à enlever Proserpine, épouse du dieu des Enfers, Hadès (Pluton). Par la mention de cette infidélité, Phèdre montre sa désaffection, son mépris pour le vil séducteur qu’est son époux. Mais ces débordements lui offrent aussi l’occasion d’une sorte de justification du sien. - Vers 638 : Ce sont les mots mêmes qui désignaient Hippolyte : ce «fier ennemi» (vers 203). -Cet amant idéal est différent de Thésée

extraits:ligne 1 à 30:"L'hirondelle"...On voit de nombreux indices spatio-temporels. -Composants: 1°)Espace-temps:Espace ouvert, Tostes,Yonville,Rouen,la campagne. Temps:une partie d'une vie de Charles(enfance et son mariage avec Emma), jusqu'aux morts prématurées de Emma et de Charles. 2°)Personnages: Madame Bovary: Flaubert ne trace pas dès le début de son roman un portrait physique défini de son héroïne. Elle n’apparaît qu’au deuxième chapitre, décrite à travers le regard de Charles Bovary

demi-boiteuse,             Droit au logis s'en retourna :             Que bien, que mal  elle arriva             Sans autre aventure fâcheuse. Voilà nos gens rejoints ; et je laisse à juger De combien de plaisirs ils payèrent leurs peines. Amants, heureux amants , voulez-vous voyager?             Que ce soit aux rives prochaines ; Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau,             Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste. J'ai quelquefois

de mauvaises augures, est le cheminement naturel de la vie, que tout le monde est en droit d’attendre, ou, du moins, d’espérer.  La maison des morts Une morte assise sur un banc Près d’un buisson d’épine-vinette Laissait un étudiant Agenouillé à ses pieds Lui parler de fiançailles  Cet extrait nous parle de l’amour entre morts et vivants, et qui nous prouve, que, quoi que nous fassions, l’amour est, et restera à jamais éternel. Marizibill Elle se mettait sur la paille

: il est à l 'égal d'Orphée, il est en communication avec les morts. Vers 9 : ce sont des amants malheureux. " Biron " était un ami d'Henry 4. " Lusignan " est le vrai mari de Mélusine. Ce sont quatre images de l'amour malheureux. c) manque de vie Références à la mort très importantes. On ne sait si le poète est sorti du monde des vivants : " j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron ". Il a gardé des contacts avec les morts. Nerval a perdu sa mère très jeune. Absence de couleur : " ténébreux

amour les mène à la mort // on peut le voir avec l’exclamation : « Oui tu mourus, enfant, par un fleuve emporté ! » dans le poème de Rimbaud et avec le distique : « Mon cœur devient si doux c’est mon amant qui vient / Elle se penche alors et tombe dans le Rhin ». Les deux femmes ont également des morts similaires. Elles sont toutes les deux mortes dans un fleuve emportées par leur amour. Ondine et Mélusine quant à elles sont évoquées avec le champ lexical de la nature : « gouttes, lac, courant, sentier

ROBERT : voisin de Sganarelle, * VALÈRE : domestique de Géronte, * LUCAS : mari de Jacqueline, * GÉRONTE : père de Lucinde, * JACQUELINE : nourrice chez Géronte et femme de Lucas, * LUCINDE : fille de Géronte, * LÉANDRE : amant de Lucinde, * THIBAUT : père de Perrin, * YAHS : fils de Thibaut, paysan, * GAREFIEL : fils de jonny et d un paysan. * Jonny : Ami de Léandre et père de Garefiel Le premier acte se passe dans une clairière près de la maison de

terreur suscitée par les crimes. Tout d’abord ces deux extraits présentent des similitudes. En effet, ils représentent tous deux une scène de meurtre. Il s’agit du meurtre d’Agamemnon dans la pièce d’Eschyle et de celui de Clytemnestre et de son amant Egisthe dans Les mouches. De plus, ces meurtres sont les conséquences d’une vengeance qui est présente dans les deux œuvres. Par ailleurs, ces deux crimes sont tous deux commis hors de la scène et sont ainsi retranscrit à travers les réactions des

l’histoire commence là où elle se termine : avec la mort de son héroïne : Maria Concepcion de los Lloros. Le narrateur du récit de la vie de cette reine de France n’est autre que son alter ego, son ami de toujours, son frère siamois à défaut d’être son amant. Maria Concepcion, fille du roi d’Espagne a très tôt l’étoffe d’une reine : à neuf ans elle en décide ainsi . Ambitieuse sans être vaniteuse, elle connaît le bonheur d’être entoureé d’un père aimant et attentif qui veillera à lui trouer un roi à la

offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant Montrait à tous les morts errant sur les rivages Le fils audacieux qui railla son front blanc. Frissonnant sous son deuil, la chaste et maigre Elvire, Près de l'époux perfide et qui fut son amant, Semblait lui réclamer un suprême sourire Où brillât la douceur de son premier serment. Tout droit dans son armure, un grand homme de pierre Se tenait à la barre