Ma Jolie Picasso

l’importance pour elle. 8. Les préoccupations des personnages, au vu de la première et de la dernière phrase, apparaissent bien différentes, voire contrastées. Si Della est préoccupée par le désir de plaire – elle souhaite que Jim la « trouve encore jolie » (l. 1) – la première préoccupation de Jim est la faim ou la gourmandise pour un plat de fête : « si tu faisais cuire les côtelettes ? » demande-t-il à Della (l. 44). Jim est plus terre à terre que Della ; la jeune femme est davantage sentimentale

Il me semble que le terme « romantique » s’applique précisément à ceux qui sont dupes de la réalité des souffrances psychologiques découlant de la technique actuelle qui s’adresse plus au produit qu’à l’homme. Le professeur McKeon a voulu, par sa jolie anecdote, interpréter mes paroles en ce sens que je serais venu aux Etats-Unis avec des idées préconçues et que, par suite, je n’y aurais pas trouvé que ce que j’attendais. Ce ne fut pas du tout le cas. Au contraire, je suis venu aux EtatsUnis comme

nous-mêmes attendions d’elle ? Une œuvre des beaux-arts peut bien avoir une fonction décorative par exemple, une fonction d’ornementation agréable pour nous-mêmes, ou notre demeure : mais est-ce cela qui fait que nous la jugeons belle (et non pas seulement jolie, agréable à voir ou à entendre, plaisante) ? On remarquera enfin que cette autonomie de la beauté à l’égard de l’usage explique que nous jugeons souvent belles des choses qui ne relèvent pas de l’art des hommes : nous pouvons juger de la beauté d’une

n'avait connu aucun problème sérieux : les disputes ne dégénéraient jamais en bagarre et les serveuses étaient respectées. La jeune femme noua son tablier et commença son service. — Salut, Ted, qu'est-ce que je te sers? 20 h 46 — Tu as une touche, ma jolie. — Qu'est-ce que tu racontes, Tammy? demanda Candice. — J'te dis que t'as une touche. Ce type bien fringue à l'extrémité du comptoir, fl n'arrête pas de te mater depuis que t'es arrivée. — Tu divagues complètement, ma vieille, répondit Candice en haussant

les leurs. 15 ma / m'a / m'as ; mon / m'ont ; ta / t'a ; ton / t'ont ma + nom ; m'a + temps composé ; mon + nom ; m'ont + temps composé ; ta + nom ; t'a + temps composé ; ton + nom ; t'ont + temps composé ; sa + nom ; ça = cela. Ma maison est jolie. Tu m'a écouté. Mon cahier est vide. Ils m'ont rendu un cahier vide. Attention aux "écrans" : pourtant et rien : Ils ne t'ont rien dit 16 mets / met m'es / m'est ; mes / mais / mai Verbes mettre au pluriel : Tu m'es précieux. (Au pluriel: tu nous

: Le capitaine de la police juridique essaye de m'encadrer pour le meurtre. "tu penses," il as chuchoté, "ce peut-être Fache as écrit ce message sur le plancher?" Sophie n'a pas même tourné. "impossible." Langdon n'était pas aussi sûr. "il semble jolie intention sur rendre me le sembler coupable. Peutêtre il a pensé qu'écrivant mon nom sur le plancher aiderait son cas?" "l'ordre de Fibonacci ? Le P.S. ? Tout le Da Vinci et symbolisme de déesse ? C' a dû être mon grand-père." Langdon a su qu'elle

le choc de l’accident passé, les deux automobilistes se sont copieusement injuriés. 4 À l’annonce de la nouvelle, l’actrice s’est évanouie. 5 Ma correspondante et moi, nous nous sommes juré de nous revoir l’année prochaine. 6 En 2010, une œuvre de Picasso s’est vendue 106,5 millions de dollars à New York. 7 Les faux papiers que l’espion s’est fabriqués sont grossièrement imités. 220 Copiez les phrases en accordant les participes passés des verbes entre parenthèses. 1 Si les Américains ne s’étaient

Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et au collège Jean-Yves Cousteau à Méry-sur-Oise (95) Jean HUBAC Professeur au lycée Jean Rostand à Mantes-la-Jolie (78) Bruno JÉGOU Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Baptiste LÉON Professeur au lycée Jean Macé à Vitry-sur-Seine (94) Sommaire THÈME 1 1 2 Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés

DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et au collège Jean-Yves Cousteau à Méry-sur-Oise (95) Jean HUBAC Professeur au lycée Jean Rostand à Mantes-la-Jolie (78) Bruno JÉGOU Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Baptiste LÉON Professeur au lycée Jean Macé à Vitry-sur-Seine (94) Sommaire THÈME 1 CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 THÈME 2 CHAPITRE 3 CHAPITRE 4 CHAPITRE 5 THÈME

attendions d’elle ? Une œuvre des beaux-arts peut bien avoir une fonction décorative par exemple, une fonction d’ornementation agréable pour nous-mêmes, ou notre demeure : mais est-ce cela qui fait que nous la jugeons belle (et non pas seulement jolie, agréable à voir ou à entendre, plaisante) ? On remarquera enfin que cette autonomie de la beauté à l’égard de l’usage explique que nous jugeons souvent belles des choses qui ne relèvent pas de l’art des hommes : nous pouvons juger de la beauté