Ma Chérie

jeunesse hitlérienne est obligatoire depuis 1939 et forme 7 000 000 de jeunes soldats. La clé de la jeunesse hitlérienne, pour aboutir à son but de créer de bons soldats, est l'endoctrinement. Grâce à ça, les jeunes adolescents apprennent alors à chérir Hitler comme leur protecteur car la jeunesse hitlérienne met en avant les atouts d'Hitler, et ses gestes de héros. C'est à partir de ce point que commence l'endoctrinement. « Adolf Hitler, vous êtes notre grand chef. Votre nom fait trembler nos

forêt » (v.49), « sapin, rocs » (v.55), « eaux » (v.56), « roseaux » (v.61). De plus, la nature est magnifiée grâce aux expressions « flots chéris » (v.6), « roches profondes » (v.9), « ondes et cieux » (v.14), « flots harmonieux » (v.16), « accents inconnus » (v.17), « rivages charmés » (v.18), « riants coteaux » (v.54) et « front d’argent » (v.59). Les adjectifs chéris, charmés et riants valorisent les lieux qui sont décrits sous un aspect agréable et positif, tandis que les adjectifs profondes et inconnus

avaient fait quelques lieues, Adieu maison. Adieu vergers, les caveaux et les planches Et sur l'étang notre bateau voilier, Notre servante avec sa coiffe blanche, Adieu vergers. Adieu aussi mon fleuve clair ovale, Adieu montagne! Adieu arbres chéris! C'est vous qui êtes ma capitale Et non Paris. L'ALBATROS DE CHARLES BAUDELAIRE Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les

n’as-tu pas entendu qu’il y a de mauvaises choses dans l’ordinateur. M : Oui , on n’a qu’a pas utiliser ces choses , c’est tout. Madame, combien? Mme : Non, avant d’acheter il faut choisir ce qu’on veut. On ne peut pas s’offrir toutes ses choses, chéri. Natsou regarde son mari d’un regard tendre et pose sa main sur celle de celui-ci. Momo retire sa main. M :Mais si on peut! On n’aura qu’a vendre la ferme, on n’a plus besoin de ça maintenant. La technologie remplace tout! Mme : On va regarder

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu’elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre Où tu la vis s’asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, 10 Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes

temps ― Le temps est décrit comme une puissance ― Le temps est dépeint comme une force destructrice DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF I. Méditation du poète sur le temps A. Évocation d’un bonheur amoureux passé 1. Champ lexical de l’amour a) « chéris » (v. 8), « adorés » (v. 14), « charmé » (v. 20), « chère » (v. 21), « les plus beaux de nos jours » (v. 26), « aimons » (2 fois) (v. 35), « amour » (v. 40), « bonheur » (v.40) àÉvocation par le poète et sa bien-aimée de leur bonheur amoureux

pouvoir échanger des confidences sur Lorenzo sans se soucier d’être entendues. Les deux femmes sont très proches de Lorenzo. Elles entretiennent une relation mère/fille. On remarque notamment une marque de respect de Marie par Catherine (« ma mère chérie », vouvoiement) et une marque d’affection de Marie pour Catherine (« noue ton voile autours de ton cou », tutoiement). Cela permet un dialogue franc. Catherine s’inquiete notamment de la sante de sa sœur/mère (« mais vous baissez la tête […]) Autant

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couleur: " La campagne même perdit à nos yeux cet attrait...Elle nous semblait déserte et sombre... " Ainsi les états d'âme de Rousseau modifient le paysage ambiant. Malgré tout, en se souvenant de Bossey, il ne pourra s'empêcher d'écrire: " ces lieux chéris ", " mon cher noyer " confirmant par ces mots que son goût pour la nature " n'a jamais pu s'éteindre ".Ce rôle de décor, témoin important des évènements de la vie de Rousseau, est également révélé lors de sa rencontre avec Mme de Warens. Par deux

quelque chose ma petite Sylvie ( rient) Jocaste : C’est vrai qu’aux réunions de parents d’élèves , on sentait qu’on était regardé .Enfin , on l’a élevé du mieux qu’on a pu . Œdipe : Mais c’est vrai, t’as raison Maman , enfin , j’veux dire chéri, enfin Maman chérie,  qu’elle a toujours été une forte tête .Mais on l’aime bien notre gogone .( veut lui faire un calin ) Antigone :J’déteste quand ils m’appellent comme ça Jocaste : C’est vrai comme le dit mon fils, enfin , j’veux dire mon mari on était