Léon Tolstoï

lui a appris à accorder une grande importance à la maîtrise de soi, ainsi qu'à la recherche de la Vérité. De l'hindouisme et du jaïsme, il en tire les valeurs suivantes: la non-violence, le végétarisme et le pacifisme. Il est aussi inspiré par Tolstoï au niveau de la non-violence. Sa revendication pour l'égalité semble avoir été influencée par l'Islam, le Christianisme et le Judaïsme. Selon lui, comme en occident, toute société devrait être fédérale, c'est-à-dire composée de petites communautés

vergiftigt hij zich per ongeluk met planten.   Conclusion : Dus, begon hij te begrijpen dat de eenzaamheid niet ideaal voor de mens is. Hij had prettige ontmoetingen gedaan maar hij dacht alleen om in Alaska te gaan… Hij zal een boek van Tolstoï over het geluk lezen. Na zal hij begrijpen dat het gedeelde geluk belangrijk is. Voor zijn overlijden, heeft hij op een pagina van een boek geschreven : “Happiness only real when shared” (“Het geluk is alleen waar als het gedeeld is”).   Bibliographie

élevé pour la traverser et qu’il doit attendre que celle-ci redescende. Il finit par manquer de nourriture et décide de manger une sorte de plante, mais celle-ci s’avère toxique et mortel. Pendant qu’il souffre et qu’il attend sa mort, il lit Tolstoï dans lequel il écrit, juste avant sa mort, « Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé. » Une comparaison entre ce film et le prologue d’Ainsi parlait, Zarathoustra, de Nietzche est évidente. Commençons d’abord par comparer Zarathoustra qui

maîtresse. En effet, nous n'avons qu'un point de vue, celui de l'auteur, les autres personnages ne nous sont connus qu'à travers sa pensée, ce qui réduit leur champ d'action, et leur complexité morale. Ainsi dans Enfance, Adolescence, Jeunesse, de Tolstoï, nous assistons à la vie de l'écrivain, une vie presque banale qui ressemblait à toutes celles des jeunes nobles russes au dix-neuvième siècle. Sa famille n'était pas non plus hors du commun et la beauté de cette oeuvre réside justement dans cette

rééduqué, le Binoclard, fils d'un écrivain et d'une poétesse connus, cache sous son lit une valise remplie de romans étrangers. La Petite Tailleuse, Luo et le narrateur  décident de voler cette valise et y découvrent un vrai trésor. Flaubert, Hugo, Tolstoï, Dickens, Rolland, Dumas, Rousseau et, bien sûr, Balzac. Toute une littérature éminemment subversive et évidemment, absolument interdite. Ce sont selon eux de vrais chefs-d’œuvre, ils les voient ils les entendent ils les sentent…  La découverte est

torche électrique ; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts : à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, et quelques Anglais : Dickens, Kipling, Emily Brontë... - Quel éblouissement ! - Il referma la valise et, posant une main dessus, comme un chrétien prêtant serment, il me déclara : -Avec ces livres, je vais transformer la Petite

au fil du voyage se prendront d'amour ou d'amitié pour lui. Mais, aveuglé par son rêve obstiné de l'Alaska, Christopher ne comprend pas le bonheur que peut procurer l'amour de l'autre. Il en prendra conscience en lisant les lignes d'un ouvrage de Tolstoï qui décrit un bonheur parfait dans une microsociété rurale. Peu de temps avant de mourir, Christopher McCandless écrira au stylo sur une page d'un livre « Happiness only real when shared » (« Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé »). Dans

troisième jeune rééduqué, le Binoclard, fils d'un écrivain et d'une poétesse connus, cache sous son lit une valise remplie de romans étrangers. La Petite Tailleuse, Luo et Ma décident de voler cette valise et y découvrent un vrai trésor. Flaubert, Hugo, Tolstoï, Dickens, Rolland, Dumas, Rousseau et, bien sûr, Balzac. Toute une littérature éminemment subversive et évidemment, absolument interdite. La découverte est inavouable. Luo et Ma travaillent le jour et lisent la nuit... dans le plus grand secret. Il

commentaire je voudrais décrire la mort des personnages principaux dans les œuvres qui repésentent les trois grands écrivains de la littérautre de XIXe siècle. Il s’agit de Gustave Flaubert - Madame Bovary, Théodore Fontane - Effi Briest, Lev Nikolaïevitch Tolstoï - Anna Karénine. Toutes les trois femmes sont mortes à la fin de livres, je voudrais trouver les points communs et bien aussi les différences, poser quelques questions principales. Les circonstantes de la mort d’Emma, Effi et Anna se varient selon

  de  donner  à  la  langue  russe  ses  lettres  de  noblesse.   Les   auteurs   russes,   les   musiciens   russes…   lui   emboitèrent   le   pas  :   Gogol,   Dostoïevski,   Tolstoï,  Tourgueniev,  Tchekhov,  Boulgakov…    Ils   sont   influencés   par   la   littérature   réaliste   française  :   Zola,   Maupassant…   avec   une   sentiment  religieux  renforcé.