Lécole Positivisme

science (connaissance) et politique (volonté) en l’appliquant au droit. Il y a une différence entre la norme : devoir-être (“sollen”) et la proposition : être (“sein”). Il existe 2 grandes philosophies du droit : positiviste et jusnaturaliste. - Positivisme : attaché à cette distinction entre droit et science du droit. Pas de jugement de valeur. Discours neutre. Pas de construction idéologique → seulement théorique. - Jusnaturalisme : n’est pas attaché à cette distinction, et la transgresse → la science

valeurs que nous croyons être justes. La philosophie se démène avec ces questions depuis au moins Platon (-427, -347 avant JC). On peut résumer les débats de plus de 25 siècles en trois courants principaux. Le positivisme juridique La thèse On parle ici de « positivisme » parce que les valeurs sont considérées objectivement : elles sont des faits observables. Plus exactement, on observe que chaque individu a ses propres valeurs, et que les communautés, elles aussi, défendent des valeurs

phénomène observé, de prédictions et de leur test sur d’autres situations réelles. Dans la démarche empiriste et ses variantes, la connaissance scientifique est issue d’une série d’observations logiquement coordonnées (Lecourt, p. 367). Ainsi, le positivisme logique ou « physicalisme » consiste à établir un lien entre « les observations sensibles et simples » et les énoncés construits selon « un calcul logique et rigoureux » (Lecourt, p. 366). Si l’observation est décisive dans le déroulement et

HYPOTHESE REALISTE HYPOTHESE RELATIVISTE Nature du lien sujet / objet INDEPENDANCE INTERDEPENDANCE Vision du monde social DETERMINEE INTENTIONNELLE 3- Les critères de validité de la connaissance La démarcation science / non-science POSITIVISME INTERPRETATIVISME / CONSTRUCTIVISME On distingue clairement les connaissances scientifiques des connaissances non scientifiques : Volonté d’uniformisation visant à l’unicité de la science. Iles plaident pour une unité méthodologique et

rabbins. Ses études scolaires brillantes le conduisent à intégrer en 1879 l’École normale supérieure où il est amené à côtoyer Henri Bergson (philosophe) ou bien encore Jean Jaurès (homme politique). Ses lectures le conduisent à s’imprégner du positivisme d’Auguste Comte, de l’évolutionnisme d’Herbert Spencer ou de l’importance chez Renouvier de la morale dans les relations sociales. Il obtient l’agrégation de philosophie en 1882. Il écrit des articles pour la Revue philosophique. En 1885, il part

positivistes On verra tour à tour le contenu des doctrines positivistes (§1), le positivisme étatique (§2) et le positivisme sociologique (§3). §1 : Le contenu Pour les auteurs positivistes, le droit positif se justifie par lui-même, parce qu’il émane de l’Etat pour le positivisme étatique, parce qu’il correspond à l’état des mœurs pour le positivisme sociologique. §2 : Le positivisme étatique Pour le positivisme étatique, le droit n’a pas d’autre justification que d’être engendré par l’Etat

Aristote réputait de réel, D'Occam le considère nominal, conceptuelle (ce ne sont que des noms : droit positif et pas naturel ; la famille ne serait pas naturelle). Les valeurs sont celles que le législateurs veut qu'elles soient. Approche vers le positivisme. 2.La théorie moderne du droit naturel Grâce à D'Occam, apparaît dans la pensée philosophique l'idée d'individu. Chaque individu est inaliénable, sacré. Les théories du droit naturel vont continuer à prospéré mais vont trouver leur siège

individualisme alors que ce n’est pas le cas. A regarder la production sociologique, quand elle est bonne elle s’inscrit dans les deux registres. Querelles principales : - Holisme/individualisme - Expliquer/comprendre - Constructivisme/positivisme Il n’y a pas non plus de sociologues positivistes, tout est construit même pour les positivistes. La distance entre les deux est absurde car les choses construites deviennent des réalités positives. è Il faut fabriquer des faits résistants autour

notion théologique de la grâce (voir jésuitisme et jansénisme). En politique aussi le sens du mot progrès est forgé par ceux qui croient qu'une évolution sociale est vraiment possible15. Au xixe siècle, des idéologies comme le fouriérisme et le positivisme affirment que la nature humaine est améliorable en soi, et que l'on peut s'opposer à la décadence16. Au xxe siècle, les années 1930, 1940 et 1950 sont marquées par l'antimodernisme, tandis que les années 1960 et 1970 voient revenir un nouveau

? La première hypothèse est « positiviste » (on ne reconnaît que l’existence du droit positif) : le juste est le légal et rien d’autre. Est juste ce qui est permis par la loi et injuste ce qui est interdit par la loi. Cette thèse du positivisme juridique est défendue par le philosophe Hans Kelsen dans son ouvrage intitulé Théorie pure du droit (1934). Si le juste est seulement définit par la loi, il n’y a donc jamais de loi injuste et c’est une absurdité d’imaginer une telle chose car