Lyrisme Modernité

formes épurées : la régénération de la société ne se fera que par le renouvellement des formes artistiques qui l’entoure. Dans une France en pleine révolution industrielle, né en réaction contre les dérives de l’industrialisation à outrance et une modernité qui coupait l'homme de la nature un nouvelle art : L’Art Nouveau dont Guimard restera un des représentant majeur. En quoi les innovations apportées par la révolution industrielle ont-elles influencées l’œuvre de Guimard ? Guimard, un artiste à

LES EXPOSITIONS UNIVERSELLES FRANCAISES AU XIXe SIECLE Introduction Le XIXe siècle en France fut un siècle de transformations, qui initia la marche vers la modernité du pays tel que nous le connaissons aujourd’hui. De 1814 à 1914, la France connaît en effet des changements profonds, à commencer par la Révolution de 1789, un héritage dont les bouleversements seront difficiles et longs à intégrer par la toute nouvelle France. Des bouleversements, le XIXe siècle en connaîtra dans tous les domaines

américain de 1936 de Charlie Chaplin, il est le dernier film de l’histoire du cinéma muet mais aussi l’un des plus célèbres. Les temps modernes dévoile l’époque de la grande dépression, là où les conditions exigées de l’industrialisation et de la modernité naissante commençaient à peser lourdement sur la grande partie de la population occidentale, le personnage de Charlot, essaie de survivre dans le monde industrialisé. Il sera intéressant dans votre travail de resituer la condition sociale de l’époque

et spécificité (classification), révolution copernicienne Autorité et doute ou méthode, déduction et induction : Descartes, Popper Physique et métaphysique, (socialisme) scientifique et utopique : Marx Passé et présent, tradition (histoire) et modernité, Querelle des Anciens et des Modernes (même si a priori une querelle littéraire et non philosophique) Analyse et synthèse (accumulation et discrimination, réductionnisme et holisme, description et prescription, synchronie et diachronie), objets

Histoire Contemporaine S6 La Modernisation et ses ambiguïtés (1945 – 1974) Introduction : ● En 1945 la nécessité de la modernité devient une évidence : on ne le discute pas, tout le monde est unanime. Jusque là cela se discutait, la modernité n’est pas une idée nouvelle mais l’idée traditionaliste a toujours, jusque là, fait contrepoids. À partir de 1945, le traditionalisme ne fait donc plus le poids. La modernisation n’est plus contestée. ● On ne date pas la fin de la nécessité

font de Paris une capitale culturelle mondiale à la belle époque ?" Nous verrons dans un premier point que Paris est une capitale de progrès et de modernité. Puis nous verrons dans un second point que Paris est une capitale de l'art reconnue dans le monde entier Tout d'abord, Paris est représentée comme une capitale de progrès et de modernité. Sous l'effet de la seconde industrialisation, la France développe de nouveaux secteurs de pointe comme l'automobile et l'aéronautique illustré par

s’intégrer, mais il reste toujours ancré dans ses positions de musulman. Il conserve sa vision autoritaire, tyrannique envers son harem. La correspondance qu’il entretient avec son chef des eunuques montre le décalage des mentalités qu’il conserve entre modernité et obscurantisme. La place de la curiosité, de l’intérêt scientifique, est omniprésente chez tous les personnages qui correspondent, ils ont soif de connaissances. Les femmes tiennent également une place importante dans les deux région : en Europe

intégrés, comme chez les militaires et notamment chez les engagés volontaires, qui pourtant semblent avoir choisi l’armée plutôt que de la subir. Pourtant c’est surtout le troisième type de suicide qualifié d’anomique qui préoccupe le sociologue. La modernité porte atteinte an sens social puisqu’elle donne lieu à de nouvelle contrainte et à de nouvelle normes auxquelles les individus ont du mal à se socialiser faute d’appuis collectifs. Ce faisant, la croyance protestante donne lieu à des pratiques

a quant à lui été assassiné à Samarcande. De manière plus global on a assisté au déclin de l’Empire ottoman à la fin du XVIIe siècle. Tous ces élément donnent l’impression que l’Islam a à partir du XII è siècle changé d’attitude par rapport à la modernité et aux mathématiques. L’Islam ne s’est-il donc pas opposé par la suite au développement des mathématiques ? Là encore la réponse n’est peut-être pas aussi simple que l’on pourrait le penser. En effet, des progrès mathématiques importants ont été

Modernité et tradition? Modernité ou tradition? Que faire de cette question, elle-même éminemment moderne? Dans le présent recueil, l'auteur tente d'avancer une réponse nuancée. Il refuse de muer les termes-clé de la question initiale - modernité et tradition - en un couple antithétique. Il se situe plutôt et délibérément dans un fragile entre-deux culturel et conceptuel permettant de découvrir, d'explorer et d'accepter aussi la mince frontière à la fois intellectuelle, morale et quotidiennement