Lyrisme Impersonnel

étudierons le lyrisme de Baudelaire à travers l’hommage qu’il rend à son amante, l’importance des sensations et des sentiments et la façon dont son expression est en accord avec l’univers. Dans une deuxième partie, nous analyserons l’intimité du cadre qu’il propose à travers l’intimité amoureuse, les lieux clos et l’atmosphère des fins de journées. Enfin, dans une dernière partie, nous analyserons la façon dont il évoque ses souvenirs par l’évocation et l’invocation. 1ère PARTIE – LE LYRISME Le lyrisme

les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots » Lamartine dit par ailleurs de ses vers : « Ils étaient un gémissement ou un cri de l'âme. Je cadençais ce cri ou ce gémissement ; » Ce sont les grands thèmes du lyrisme universel : la fuite du temps, l'angoisse de la mort, l'absurdité de notre destinée, notre relation avec la nature, la communication impossible avec autrui... Nous avons un exemple dans « Mignone, allons voir si la rose » de Ronsard, ou « L’Albatros

des principaux porte-paroles du romantisme avec Gérard de Nerval et Gautier. En effet, Victor Hugo prôna dans la plupart de ses textes, comme chaque romantique, la communion entre la nature et l'humanité toute entière ainsi que l'épanouissement du lyrisme personnel et la vague des passions, notions que l'on retrouvera dans les écrits de Musset lorsqu'il abordera « le mal du siècle ».Victor Hugo devint populaire grâce aux nouvelles notions qu'il imposa au théâtre, en s'affranchissant des contraintes

nommant ces travailleurs de l’ombre, ces humbles étrangers qui participent à la construction et à l’histoire de la France, qui est encore en 1955 un empire colonial. Nous nous efforcerons de cerner la nature de la force argumentative du poème entre lyrisme et dénonciation. Il conviendra alors d’étudier dans un premier temps la forme singulière de ce poème, sorte de lettre ouverte et d’hommage autant que litanie. Nous nous attacherons ensuite à la description de ces déracinés dont le poète détaille chaque

et « voyant » ou le poète engagé, sans cependant réduire un créateur à une étiquette simplificatrice.1 Lyrisme Le lyrisme, du grec : lyre, désigne, dans toutes les œuvres littéraires, l’enthousiasme, l’inspiration, l’élan des sentiments personnels, qui sont les éléments spéciaux de la poésie lyrique. La lyre étant l’instrument de musique par excellence (celui d’Apollon, puis d’Orphée), lyrisme désigne tout aussi bien, en musique, l’art du chant (vocal, mais également instrumental).

montagne, ce qui est une situation qui symbolise la distance que le poète veut mettre entre elle et lui. C. L’étude du registre lyrique De nombreux poèmes d’Alcools sont inspirés de la vie du poète, de ce fait le lyrisme est souvent présent mais la particularité du lyrisme d’Apollinaire c’est qu’il est toujours énoncé avec retenue et atténuation. 1. l’expression du « je » La figure du poète apparaît explicitement dans l’emploi du pronom « je » (v.7). sa présence est aussi sous-entendue

quotidienne, tels que La bicyclette. Ce poème décrit donc cet objet de façon méliorative, «  de proportions parfaites » et possédant «  la grâce d’une bête ». Ici, la poésie moderne fait donc totalement éclater les genres traditionnels, prônant le « lyrisme de la matière ». De nombreux poètes suivront donc cette fonction nouvelle de la poésie, tel que Guillaume Apollinaire, particulièrement dans son recueil Alcools, (1913), regroupant des poèmes représentatifs d’une époque lassée : « Qu'est-ce que cela

de la fleur • Parcours temporel : matin -> soir B. Un poème adressé à la femme aimée • Apostrophe « mignonne » terme affectif & hypocoristique (affection, célébration de la femme) • Vouvoiement -> respect • Lyrisme : 1ère personne C. La métaphore de la fleur et l’éloge de la femme • Célébration femme beauté permise avec rapprochement fleur • Image de la robe pour pétales : souligne leur beautés respectives • Beauté comme une apparition

pou avoir la bonne taille, sonorité et musicalité souhaités et arriver à trouver la beauté de la forme et du fond. On ne peut juger un poème par les mots utilisés et ce dont quoi il parle, car la beauté se trouve sur tout ce qui est musicalité, lyrisme, sensibilité du poète et transmutation de valeurs. La poésie est donc un jeu du langage. Pour exprimer la beauté le poète utilise les mots, les sonorités, le rythme. Le poète joue avec les sons. Mais quelle est l’importance donnée à chaque caratérsitique

italien, il a été importé en France par Marot. On peut aussi évoquer le courant poétique, la Pléiade qui est le regroupement de sept amis qui sont rassemblés autour des poètes Du Bellay et Ronsard dans lequel ils ont mis en avant les principes du lyrisme, les sentiments amoureux, la fuite du temps et la mythologie. Le IXXème siècle a vu apparaître la poésie romantique avec Victor Hugo, Alfred de Musset et La Martine. Il y a ensuite une rupture au niveau des thèmes, la poésie ne doit pas parler que