Lymphome

de plus en plus tôt (et peut-être trop dépisté), avec une mortalité qui reste faible. Le cancer du testicule, qui est une tumeur rare de l’homme jeune, a bénéficié de l’apport de la chimiothérapie. Description Hommes Incidence Encéphale Thyroïde Lymphomes non hodgkiniens Maladie de Hodgkin Myélome Leucémies aiguës Leucémies chroniques 2 255 1 599 5 523 787 2 445 1 657 1 856 Hommes Décès 1 688 147 2 242 127 1 393 1 447 588 Femmes Incidence 1 865 5 073 4 701 757 2 071 1 425 1 368 Femmes Décès 1 331

FEMMES Prostate Poumons Mélanomes LMNH Thyroïde CCR Autres Sein Poumons Mélanomes LMNH Thyroïde CCR Autres Figure 3. Part relative des différentes localisations cancéreuses dans l’augmentation de l’incidence des cancers en France. LMNH : lymphome malin non hodgkinien ; CCR : cancer colorectal. RÉFÉRENCES tre part. En conséquence, le principe de précaution, qui témoigne de nos insuffisances en matière d’expertise et ne devrait être qu’une disposition transitoire, comme le propose Gilles

et le nourrisson, les causes prédominantes sont les dysembryoplasies (hamartomes, dysembryomes). Les autres diagnostics à évo- Figure 1 Erythème polymorphe rares, mais elles existent : le tératome chez le nouveau-né et, à tous les âges, le lymphome, le sarcome et l’histiocytose. Les lésions linguales peuvent aussi résulter d’une pathologie auto-induite, qui reste un diagnostic d’élimination, mais auquel il faut toujours penser. Cette pathologie recouvre un large spectre, allant du mordillement

de la résistance aux infections, surtout chez les patients traités conjointement par de la cortisone. Lors de traitement prolongé à forte dose : augmentation du risque de cancer de la peau, de l'utérus, de la vulve et des cellules de l'immunité (lymphomes). ENDOXAN Indication/ mode d’action : Ce médicament est une chimiothérapie anticancéreuse apparentée aux alkylants. Il est utilisé seul ou en association avec d'autres chimiothérapies dans le traitement de nombreux cancers. A faible dose

deux uretères ou sur rein unique fonctionnel Adénome de la prostate responsable d’un globe vésical Fibrose rétro péritonéale (plus rare) Tumorales : cancer pelviens, col de l’utérus, ovaires, prostate, colon sigmoïde, tumeurs des voies excrétrices, lymphome. 4- IRA non obstructive : IRA fonctionnelle : retentissement de l’état général du patient -Etiologies : déshydratation, hypovolémie (saignement, baisse de la pression artérielle) et associé à des médicaments (AINS ++, Inhibiteur de

chronicité : F Antibiothérapie F Cholélithiase F Néphrolithiase • Conditions prédisposant à la salmonellose : F Maladies inflammatoires intestinales F Anémie hémolytique : Anémie falciforme peut entraîner une ostéomyélite F Immunosuppression F Néoplasie à Lymphome et leucémie peut entraîner une bactériémie Manifestations cliniques • Spectre clinique de l’infection F Gastro-entérite : 75% F Bactériémie : 10% F Fièvre typ hoïde : 8% F Infections locales (Os, articulations, méninges) : 5% F Porteurs chronique

bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Elle est généralement pratiquée sur des personnes souffrant de maladies sanguines (leucémies, lymphomes…) ou de certains types de cancers. Des cellules sanguines ou de la moelle osseuse leur sont prélevées avant traitement. Elles sont ensuite purifiées puis congelées. Enfin, elles leur sont réinjectées une fois la radiothérapie et/ou chimiothérapie

mais cette fois si dit majeurs. Ils sont toujours opportunistes et persistants. Il va en plus présenter des cancers : le sarcome de Kaposi (au départ on le met en évidence sur la peau avec des tâches et puis on le retrouve au niveau interne. Un lymphome : cancer au niveau du système lymphatique Trouves comme des troubles de la vue/ des problèmes de démences,… Espérance de vie supérieure à 2ans. Vie relativement « normale » grâce aux médicaments. Niveau familial/sportif/professionnel relativement

confluent. * On parle de ganglion de Troisier lorsqu’il y a une augmentation pathologique de la taille d’un ganglion sus-clavier gauche qui devient palpable. Il peut témoigner de la migration d’un cancer digestif, rénal, testiculaire, pelvien, et de lymphomes abdominaux. 2- Au niveau de l’aorte et de la VCI Lymphocentre lombo-aortique (autour de l’aorte abdominale)      Lymphocentres latéraux-aortiques Lymphocentres interaortiques Lymphocentres préaortiques Lymphocentres rétroaortiques Lymphocentres

(plus de 85 %). Ils se développent à partir destissus de revêtement interne ou externe de l’organisme : poumon, sein, peau, côlon, prostate… Les sarcomes apparaissent dans les tissus de soutien de la structure de l’organisme (os, muscles…). Les lymphomes, quant à eux, se développent à partir des cellules du système immunitaire, le plus souvent dans les ganglions lymphatiques. Les leucémies désignent les cancers nés dans la moelle osseuse, où sont fabriquées toutes les cellules du sang. Dossier