Lutte Antiterroriste

le fondateur du matérialisme dialectique historique. S'inspirant des classiques, il critique cependant le capitalisme et annonce son effondrement en prophétisant l'avènement d'une société socialiste. Karl Marx développe une philosophie basée sur la lutte des classes (exploitants et exploités) qui est le moteur de l'histoire. Karl Marx prédit la fin de la société actuelle où le capitalisme se détruira lui-même, permettant ainsi l'avènement d'un état ouvrier. Karl Marx a vécu dans la pauvreté et a

comment cette lutte de classe doit être abolie. Ensuite, sera élaborées différents aspects du communisme, . S'en suivra une certaine critique du socialisme et comment le communisme ce démarque de cet façon de pensée. Finalement, le texte se terminera avec un appel flagrant des auteurs pour inciter tout les prolétaires à s'unirent pour anéantir BOURGEOIS ET PROLÉTAIRES (I) Dès la première phrase du premier chapitre, nous avons un aperçu de ce que les auteurs vont aborder; la lutte des classes.

prolétariat. Notons cependant que bourgeoisie et prolétariat sont deux classes interdépendantes dans la mesure ou elles ont besoin l'une de l'autre pour faire fonctionner la société capitaliste. Cela n'empêche pas la lutte des classes entre bourgeoisie et prolétariat. Lutte des classes : concept marxiste désignant désignant l'affrontement économique et social voire politique entre prolétariat et bourgeoisie. L'opposition d'intérêt bourgeoisie et prolétariat est nommée par Marx. Dans ce

l’occupation de l’usine. Armés de frondes et de matraques, les jeunes travailleurs (la moyenne d’âge était de 25 ans) participèrent à plusieurs affrontements avec les CRS. Liée au soutien massif venu d’autres travailleurs de la ville, cette volonté de lutte montra clairement que des sections de la jeunesse ouvrière étaient prêtes à en découdre avec le patronat. En 1966, les salaires des travailleurs français étaient les plus bas de la CEE, les semaines de travail les plus longues (jusqu’à 52 heures

champs professionnels. Dés lors, la représentation politique ne repose plus tant sur la défense des intérêts directes des mandants mais d'avantage sur la capacité d'un mandataire à légitimité leur position pour la lutte des classes dans le champ politique. Au cours de cette lutte, il acquière un poids politique et une notoriété soit par à ses capacités mobilisatrices et fédératrices des masses soit il est légitimé par un parti, qui grâce à l'investissement du professionnel, investit en lui, et

dominée, et la bourgeoisie, classe dominante qui possède les moyens de production. Pour Karl Marx, une classe ne peut exister que si elle a conscience d'être une classe. Il considère que "l'histoire de toute société est l'histoire de la lutte des classes" et que la lutte des classes conduit à la dictature du prolétariat, étape de transition vers une société sans classes. Le sociologue Max Weber (1864-1920), qui n'attribue pas aux classes sociales le rôle historique que Karl Marx leur confère, introduit

également d’un acte non réfléchis. Les individus, au cours de l’histoire ont agi, ont adopté une ou des conduites que l’on peut qualifier de rationnel dans le sens ou le but recherché était bien précis. Ils recherchaient à s’adapter, à évoluer… La lutte des classes, est une volonté rationnelle. Le conflit en général met en présence deux acteurs (des individus ou groupes d’individus) dont les intérêts divergent. Le conflit est donc un acte rationnel des individus car il oppose deux partis qui

Synthèse La lutte des classes encore évoquée dans les années 1970 semble bien dépassée si on en juge par la faiblesse des suffrages des partis qui y font aujourd’hui référence. La définition marxiste de la classe ouvrière renvoie à un groupe social dont les membres occupent la même place dans les rapports de production, ont un mode de vie et des ressources proches et ont le sentiment d’appartenir à ce groupe. Marx parle de conscience de classe et de lutte des classes dans la société

analyser notre structure sociale. I. La notion de classe sociale semble devenue obsolète pour étudier la société française A. Les modifications structurelles de la population active B. La baisse du sentiment d'appartenance à une classe C. La lutte des classes n'est plus le moteur du changement social II. Notre structure sociale n'est pas devenue homogène pour autant A. De fortes inégalités persistent et même, se développent B. De nouveaux conflits qui réactualisent les thèses marxistes

facteurs de production. Les forces productives entrainent un rapport de domination entre les capitalistes et les prolétaires. Ici, l’individu a conscience de la classe dans laquelle il se situeaction collectives, organisation syndicale et politique et lutte des classes (moteur du changement social). Cette analyse reste fondatrice des suivantes toutes fois il semble dépassé aujourd’hui car la polarisation au tour de 2classes ne permet pas l’apparition de la classe moyenne devenue centrale dans les débats