Luther Rupture Religieuse

s’étend sur le temps long. C’est un processus de désenchantement du monde. Ce processus de rationalisation privilégie le recours à la technique, à la prévision mais qui entraine du coup un rejet de la croyance, qu’elle soit magiques, mystérieuse ou religieuse. Ce désenchantement du monde a un rôle déterminant dans le processus de rationalisation. Tout en faisant de la conceptualisation du concept, un grand instrument de toute connaissance scientifique parce qu’il offre une formulation abstraite qui

empoisonnements qui existent à la cour de Rome) + La proposition d'une Eglise réformée A partir de 1517, des ''réformateurs'' (à l'intérieur même de l'Eglise) proposent de réformer l'Eglise chrétienne. Les plus connu sont Calvin (un français), Luther (un moine allemand) et Henri VIII (roi d'Angleterre) + Les caractères de la Réforme chrétienne Leur projet est de revenir aux orignies du christianisme, c'est à dire se conformer à l'exemple du temps de Jésus et aux écrits bibliques en considérant

l’Eglise ». Il critique la papauté de s’enrichir par l’exercice du culte, par le biais d’une pression morale injuste exercée sur les fidèles. L’inspiration des réformateurs est en priorité théologique mais aussi politique de façon indirecte.     Martin Luther (1483-1546) :    C’est l’initiateur de la réforme qui commence par s’insurger contre les indulgences qui se fondent sur un principe blasphématoire. Il prône un retour strict au christianisme pur de Saint Paul.   -        Sur le plan moral, il

l’imprimeur-libraire lors de foires comme celles de Francfort ou de Lyon. L’apparition du livre bouleverse les conditions de transmission du savoir, élargit les publics, même si l’alphabétisation reste encore restreinte. En 20 ans, la culture médiévale religieuse et romanesque est balayée, et remplacée par les textes antiques, païens et chrétiens.   [retour exposés] L’HUMANISME L’humanisme, volonté de connaissance étendue hors des frontières, prend sa source dans toutes les influences évoquées ci-dessus

Nerval ne décrit pas la mort de sa bien aimée mais la met en valeur par l’ hyperbole et l’ oxymore dans «  El Desdichado » : «  je suis le ténébreux , le veuf, l’ inconsolé, Le Prince d’aquitaine à la tour abolie, Ma seule étoile est morte et mon luth constellé, Porte le Soleil noir de la mélancolie. » Sa supplique «  rends –moi » adressée à la cantonade prend des allures de blasphème.La mort prématurée est un leitmotiv du lyrisme. André Chénier met en valeur l’ aspect tragique d’ un destin brisé

A. Une éducation surtout religieuse A la Renaissance, l'éducation des filles au XVIème siècle est énormément basée sur la religion. Elles apprennent les travaux domestiques pour tenir la maison, ainsi que le catéchisme. Certaines suivent chez elle des cours de musique ou de dessin. La religion se transmet de mère en fille, il faudra donc que les filles, futures femmes, sachent la transmettre à leurs filles. Seules quelques femmes sortent de cette éducation religieuse qui montre encore la l'importance

guidé par Dieu), est la rupture religieuse. La première coupure religieuse était au 11ème siècle (séparation de la partie orientale et occidentale avec l’apparition de la religion orthodoxe). Et bien au 16ème il y a une nouvelle rupture avec l’apparition du protestantisme, et l’idée que pour une grande partie de l’Europe (et surtout l’Europe du nord), la domination naturelle de Dieu à travers par exemple le Pape, va disparaître. Et petit à petit ce mouvement lancé par Martin Luther, va apporter l’idée

ne connait pas le grec et l’hébreu on ne lit la bible que dans sa traduction latine. (Vulgate de Saint Jérôme). A cause des interprétations différentes de la Bible (à cause des langues) séparation de l’église en orthodoxe et catholique. En 1054 rupture définitive. 1204 4éme croisade des catholiques, partie de Venise et qui va être détourné sur Constantinople et pillage de la ville. Rancœur des orthodoxes envers les catholiques. La quasi-totalité des livres du M-A sont écrits en latin. Bible

une place à une marge de liberté qui permet la décision individuelle. Reste toutefois à l’inverse qu’il serait faux de réduire la réflexion de Weber à une forme d’individualisme radicale puisque, comme Weber le montre dans ses études de sociologie religieuse les contraintes pèsent fortement sur les décisions que prennent les individus. Si les actions sociales sont imprégnées de valeurs en contradiction, si l’Histoire est complexe et déterminée, comment le sociologue peut-il élaborer une théorie générale

une place à une marge de liberté qui permet la décision individuelle. Reste toutefois à l’inverse qu’il serait faux de réduire la réflexion de Weber à une forme d’individualisme radicale puisque, comme Weber le montre dans ses études de sociologie religieuse les contraintes pèsent fortement sur les décisions que prennent les individus. Si les actions sociales sont imprégnées de valeurs en contradiction, si l’Histoire est complexe et déterminée, comment le sociologue peut-il élaborer une théorie