Luca Pacioli

ressource ou un emploi. Il va de soi que la comptabilité en partie double ne résulte pas de la théorie des flux qui n’est qu’une théorie explicative. On fait remonter la pratique de la comptabilité en partie double à la Renaissance, puisqu’en 1494 Luca Pacioli exposait les principes de base dans un livre publié à Venise sous le titre de Summa de arithmetica geomitria proportioni et proportionalita dont le chapitre XI s’intitule Traité des comptes et des écritures. 1.2.2 Du pôle d’un flux au compte

ancienne : on a retrouvé des tablettes d’argile qui datent de la Mésopotamie, où les hommes écrivaient certaines dettes. Aujourd’hui la comptabilité est informatisée. Le développement de la comptabilité se doit à un moine franciscain italien appelé Luca Pacioli qui au 16ème avait fait veut de pauvreté et qui mesurait la richesse totale : c’est ce qu’on appelle la comptabilité en partie double. Ces moines développaient le commerce et le mécanisme de la partie double cachait le profit Découle de ceci toutes

temps de l’activité appelait une mesure périodique du résultat, et non pas au coup par coup. Dans un traité d’arithmétique intitulé « la summa de arithmetica, geometria, proportioni et proportionalita », publié en 1494 par le moine franciscain Luca Pacioli, figure un « Traité de comptes et des écritures » qui constitue une description complète de la méthode à partie double. En 1673, une ordonnance de Colbert impose aux commerçants de dresser un inventaire au minimum tous les deux ans, la tenue de

décrire précisément ce qu’on voit (attention au choix des mots) - rendre compte à l’oral de l’image du scientifique que le peintre donne, comment il le valorise, à quelles notions ou valeurs il l’associe. HUMANISME Jacopo di Barbari, « Portrait de Luca Pacioli » (1495) Le tableau  : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacopo_de'_Barbari Un petit article sur le moine représenté sur la toile, ami de Léonard de Vinci et mathématicien de grande renommée dans l’Italie humaniste de la fin du XVème et du début du

coûts concerne toutes les formes d’entreprise, dès lors que s’instaure une activité économique. Il est possible de repérer son apparition dès le XVe siècle : – la technique comptable d’élaboration de coûts est formalisée par un moine vénitien Luca Pacioli en 1494. – des manufactures de draperies et de laine à Florence vers 1450, une exploitation de mines d’argent et de cuivre en Autriche vers 1570, un imprimeur français à Anvers vers 1570 essaient de reconstituer la formation de leurs coûts, mais

simple. La comptabilité en partie double 18 a été sinon inventée, du moins perfectionnée et intensément employée par les marchands de Venise. Elle serait peut-être apparue vers 1340 à Gênes, mais on crédite généralement le moine mathématicien Luca Bartolomes PACIOLI (1445-1517) de sa codification dans un des premiers ouvrages sur la question (Summa de arithmetica, geometrica, proportioni et proportionalita, publié à Venise en 1494). L’ouvrage contient également la sage recommandation de ne pas aller se

– Rappel des étapes de construction du contrôle de gestion (CG) ; 2 – Les outils utilisés par le C.G. 3 – Le système de C.G. 2EME ETAPE  La technique comptable d’élaboration des coûts a été formalisée pour la 1ère fois par un moine vénitien Luca Pacioli en 1494 ;  Certaines manufactures et exploitations minières se sont lancées dans le calcul des coûts vers 1570 (mine d’argent et de cuivre en Autriche, imprimerie à Anvers en France) ;  Cette 2ème phase connaît la corrélation entre l’activité

pareilles lois se retrouvent en peinture et en sculpture : sans compter sa place en Egypte, le nombre d’or à Venise organise la surface, à Florence la perspective, et c’est un peintre, Vinci, qui illustre le De divina proportione du moine franciscain Luca Pacioli (1509); Cézanne et tant d’autres composent d’après les « lieux de l’angle droit »; et le contrepoint de la couleur ou du dessin montre en peinture et en sculpture la fécondité de la notion de thème. Mais cela reste préliminaire dans ces arts, où

celles  que  nous  connaissons  depuis  une  centaine  d’années.  La  fabrication  et  le  commerce  étaient  des  activités  intégrées  à  la  vie  familiale  de  l’artisan  ou  du  marchand.  Ce  n’est  qu’à  la  fin  du  quinzième  siècle  que  Luca  Pacioli,  le  père  de  la  comptabilité  moderne,  a  conseillé  au  marchand  de  ne  pas  mélanger  les  comptes  de  son  ménage  avec  ceux  de  son  commerce ...   Le « management » a connu ses premiers balbutiements au dix‐neuvième siècle, et s’est épanoui au vingtième

La comptabilité comme système : la comptabilité en partie double Vers la fin du 18ème siècle, le développement économique de Venise et le recours au crédit incitent les commerçants italiens à tenir une comptabilité à partie double. En 1494, Luca Pacioli assure l’essor de cette méthode en publiant son traité « Summa de arithmetica, geometrica, proportioni et proportionalita ». Il y expose les principes de la comptabilisation en partie double. Les bases de la comptabilité modernes sont lancées :