Luc Ferry

Fiche annexe 1 : les raisons du partage colonial Document 1 : Discours de Jules Ferry, une justification de la colonisation « La forme première de la colonisation, c'est celle qui offre un asile et du travail au surcroît de population des pays pauvres ou de ceux qui renferment une population exubérante. [...] Les colonies sont, pour les pays riches, un placement en capitaux des plus avantageux [...]. La question coloniale, c'est, pour des pays voués par la nature de leur industrie à une grande

Jules FERRY ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La loi du 16 JUIN 1881 relative à la gratuite de l’enseignement primaire ------------------------------------------------- La loi du 28 mars 1882 au caractère laïque et obligatoire de l’école. » ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Discours François Hollande président de la république, hommage à Jules FERRY A

Jean Macé (1851-1896), adversaire du Second empire, il lance en 1866 un appel au rassemblement de ceux qui souhaitent contribuer à l’enseignement du peuple. De cet appel naîtra la Ligue de l’enseignement. Viennent ensuite les collaborateurs de Jules Ferry qui ont rendu possible la laïcisation de l’enseignement. Paul Bert (1833-1886), ministre de l’Instruction publique et des Cultes entre 1881 et 1882, permet l’adoption des textes fondateurs de l’école publique. Enfin, vient ceux qui réalisent la séparation

importante, l'Algérie. La Troisième République lui a donné un empire colonial, le second du monde par l'étendue et la population. Elle a ainsi montré que la France s'était relevée des désastres de 1870 et restait une grande nation. En Asie, Jules Ferry, malgré de violentes critiques, a assuré, au prix d'une guerre avec la Chine, la soumission (1885) de l'Annam et du Tonkin qui, avec la Cochinchine et le Cambodge acquis sous Napoléon III, forment l'Indochine française. En Afrique, les Français, après

attaché le nom de Jules Ferry, étant alors ministre des Affaires étrangères, donna lieu à de nombreux débats au Parlement. Un des plus célèbres eut lieu en 1885, confrontant Jules Ferry lui-même a Georges Clemenceau, député radical, républicain depuis 1876. Ce dernier alla jusqu’à accuser J.Ferry de haute trahison à lui suite de l’échec militaire de Lang Son au Tonkin. De par les discours de ces hommes politiques, nous pouvons nous demander quelles sont les arguments de Jules ferry ainsi que Georges Clemenceau

décembre 1880 : La loi Camille Sée impose à tous les départements d’entretenir d’un lycée pour filles. ● 16 juin 1881 : Première loi Ferry, sur la gratuité de l’enseignement public primaire. Les salles d’asile public deviennent libres d’accès. En cas de problèmes financiers des écoles, l’Etat se charge de rémunérer les enseignants. ● 28 mars 1882 :Deuxième loi Ferry sur l’instruction primaire laïque obligatoire. Les garçons et les filles de 6 ans à 13 ans doivent être éduqués. Ils peuvent l’être

Commentez le propos de jules Ferry du point de vue de George Clemenceau Introduction : En 1884, Face à la crise, les gouvernements sont incapables d’apporter une réponse appropriée à la question posée par Amédée Langlois sur la politique sociale. Un débat général qui réunit l’intervention de : jules Ferry, George Clémenceau, Albert de Mun et Charles Emile Freppel. Jules Ferry (1832-1893), grande figure de la république française, est un des pères fondateurs de la IIIème république. Il est surtout

1881-1882 : Lois Ferry Ecole publique gratuite, laïque et obligatoireLes lois Ferry de 1881 et 1882 rendent l’instruction primaire obligatoire pour les garçons et filles âgés de 6 à 13 ans. L’école publique est gratuite et laïque.Avant ces lois, l’enseignement primaire était encore principalement assuré par l’Eglise catholique. Pourtant, dès 1792, Condorcet proposait, dans son Rapport et projet de décret sur l’organisation générale de l’instruction publique, un système éducatif séparé de toute influence

d'opposition. Mais il existe un dégradé de nuances entre les plus intransigeants comme G. Clémenceau et les plus modérés des radicaux qui gardent des contacts avec l'Union républicaine gambettiste. En revanche, les radicaux sont totalement opposés à Ferry 2/12 qui représente à leurs yeux la réaction. Héritiers des montagnards de la Seconde République, ils aspirent à la « République démocratique et sociale ». Ils veulent modifier la constitution pour supprimer la présidence de la République et le

nation a pu rester parmi les premières en occident pendant aussi longtemps. Cette compréhension s’acquiert par l’étude et l’analyse de divers documents afin d’expliquer les événements historiques. La présente analyse porte sur le discours de Jules Ferry qu’il a fait à la Chambre d’assemblée le 28 juillet 1885. Cette analyse se fera en trois parties soient la présentation du document, l’analyse du contexte et un commentaire sur le document. Dans la présentation se trouve la description du type et de