Louise Labé Sonnet

concretes. Car, si les mots ne se réfèrent à rien dans le réel, à aucune idée concrète, ils risquent d’être incompris par le lecteur. Par exemple, Mallarmé, poete initiateur de la poésie contemporaine du XIX siecle ; écrit  « le sonnet en yx » également connu sous le nom de « Sonnet allégorique de lui-meme ». Ce poème est un mystère, à l’écart, et complètement fermé pour cause d’etre incompréhensible. Mais on peut aussi observer ce phénomène, malgre qu’il soit moins complexe, chez Ponge décrivant en fait

précises dans l antiquité Greco latine mais qui n est pas une forme fixe au moment ou il est remis a l honneur en France. L élégie est un poème lyrique a tonalite triste et mélancolique avec souvent pour thèmes le malheur en amour Le sonnet La forme du sonnet est d'origine italienne. Cette forme s'impose en France au XVIème siècle, notamment grâce aux écrivains de Pléiade. Il est obligatoirement composé de deux quatrains (strophe de 4 vers) et de deux tercets (strophe de 3 vers), soit 14 vers

catholique lors des guerres de religion. Joachim du Bellay (1522-1560). Ses œuvres principales sont la Défense et Illustration de la langue française et les recueils poétiques l'Olive, les Antiquités de Rome et les Regrets. Il a été influencé par Louise Labé, sans jamais la citer. Étienne Jodelle (1532-1573) est l'auteur de la première tragédie française, Cléopâtre captive (1553) Jean-Antoine de Antoine Baïf (1532-1589) essaya d'appliquer la prosodie latine, à base de brèves et de longues, à la poésie

musique, la danse, les jardins, la lumière et l'amour. Il y’a les poésies amoureuses des poètes de la pléiade (Ronsard, de Du Bellay, De Baïf, Rémy Belleau, Etienne Jodelle, Pelletier du Mans, Pontus de Tyard) de Clément Marot, de Maurice Scève et de Louise Labé. C'est dans cette atmosphère qu'il faut situer la multiplication des châteaux dans la vallée de la Loire et la construction du château de Fontainebleau et du nouveau Louvre. * La science s'émancipe progressivement de la magie et du secret et

vocabulaire et le style de la langue française • Concilier inspiration et travail • Proposer des règles précises de versification • Refus des formes médiévales de poésie et retour aux formes antiques plus courtes : satire, élégie, épître • Seul le sonnet est repris des formes récentes Ce groupe s’appellera par la suite la Pléiade (constellation de sept étoiles, nom déjà pris par un groupe de poètes à Alexandrie au IIIème siècle av J-C). En 1565 Ronsard publie son Abrégé de l’art poétique français

exploite et réactive les richesses de la langue. * La forme privilégiée est celle du sonnet (= signifie petite chanson). Il nait en Italie au 13ème siècle. Il est utilisé par Pétrarque à partir du 15ème siècle et est introduit par Marot au 16ème siècle et mis en œuvre par les poètes de la Pléiade. Très codifié, il constitue une forme fixe de référence. Il subira des variations au cours des siècles. La forme du sonnet est constituée de 2 quatrains et de 2 tercés. Les 2 premiers s’opposent aux 2 derniers

pouvoir rentrer chez lui comme la fait Ulysse suite a son voyage jonché d'épreuve. B- Elle est le genre le plus adapté à la manifestation du Moi et de l'Autre. L'auteur par l’intermédiaire du « je » lyrique s'adresse a un tiers. Ainsi Louise Labé, dans les Sonnets cherche a confessé ses peines en parlant de l’antithèse qu'est sa vie. La douleur ainsi exprimée peut provenir d'un deuil, il s'agit alors de rappeler l'être aimé dans son souvenir, Ainsi Victor Hugo qui célèbre le souvenir de sa fille

souhaite encore point mourir. Mais, quand mes yeux je sentirai tarir, Ma voix cassée, et ma main impuissante, Et mon esprit en ce mortel séjour Ne pouvant plus montrer signe d'amante, Prierai la Mort noircir mon plus clair jour. Louise Labé, Sonnets, 1555 Un sonnet français. Rimes : qualifier leur qualité (pauvre, suffisante, riche), leur nature (féminine, masculine, vocalique, consonantique) et interpréter le sens des mots qui la portent et leur relation. • Principe d’alternance de rimes

explication des 3 poèmes ; Définition des notions en prenant appui sur les textes (soit individuellement soit par comparaison). 2. Les thèmes de la poésie lyrique. Dominante : Lecture - V. Hugo, "Oh ! je fus comme fou dans le premier moment" ; - L. Labé, "Je vis, je meurs" ; - Baudelaire, "L'ennemi". Connaître les thèmes récurrents de la poésie lyrique : le rapport du poète au monde. Lecture des poèmes ; On détermine la thématique de chacun d'eux ; Détail de la thématique d'après la lettre des

strophe organise une structure compacte composant une architecture textuelle uniforme : distique, tercet, quatrain…. élaborent une construction circonscrite et équilibrée. Quelle que soit la forme adoptée : forme fixes et régulières comme les sonnets de Louise Labé, affichant un port guindé; formes libres et ouvertes de Pierre Reverdy exhibant des disposition originales, hétéroclites et déconcertantes ; poèmes en prose qui contraignent la linéarité de la prose au sein d’un paragraphe compact et répétitif