Louise Labé Sonnet

italien a. Ressemblances entre les deux sonnets
– Thème : l’Amour (Texte 1, v. 7 ; Texte 2, v. 9), personnifié dans les deux textes ; ses tourments et ses joies ; ses manifestations et son désordre. – Structure : les deux sonnets reposent sur le principe de l’opposition et de l’antithèse (éléments reliés par la conjonction de coordination et, à valeur de mais), que ce soit d’un vers à un autre ou à l’intérieur d’un même vers.
– Images et métaphores : d’un sonnet à l’autre, on retrouve la métaphore du

tout ce sens. II/ La poésie du désir, à travers l’exemple de Louise Labé. Grp important de poète regroupé sous l’appellation « l’école lyonnaise », appellation contestable, pck « école » ( règles d’arts communs, mais pas le cas, ils étaient des poètes qui ont écrit à la même période à Lyon. 1540-1550, Louise Labé, Maurice Scève. Leur poésie est avant tt l’expression du désir, (pas de l’amour). Louise Labé inverse les rôle, c’est l’homme qui devient objet de désir, et la femme

l'écriture poétique? Lectures analytiques : LA1 : "Quand vous serez bien vieille" Ronsard, sonnet XLIII, in Sonnets pour Hélène LA2 : "La chevelure", Baudelaire in Les Fleurs du Mal LA3 : "La courbe de tes yeux", Eluard in Capitale de la douleur Lectures complémentaires: - Sonnet 134, Pétrarque, in Canzionere : la force du sonnet au service du lyrisme amoureux - "Je vis, je meurs", Louise Labé : un sonnet fondé sur la figure d'opposition / héritage du poète Pétrarque - "Un hémisphère dans une chevelure"

définir la poésie…)-Marot(1496-1544) expose sa théorie sur la poésie et développe la forme du sonnet, le met à la mode-il introduit le blason (poème qui célèbre une partie du corps féminin)-influence de la poésie italienne (Pétrarque)1.L’école lyonnaise :-centre culturel(lieu de développement de l’imprimerie, proche de l’Italie)-les poètes s’y rejoignent -Maurice Scève ( La Délie=dizains), Louise Labé( Sonnets)-thèmes principaux développés :nature, amour, sentiment patriotique …(poésie fortement lyrique)2

manifestations de l’amour ? ! Supports : Une œuvre intégrale : Les Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal » (1857), Charles Baudelaire / Un groupement de textes Lectures analytiques : Groupement de textes 1. « Je vis, je meurs » Louise Labé, Sonnet 8, Elégies et Sonnet, 1555 2. « Et la mer et l’amour » Pierre de Marbeuf, Recueils de vers, 1628 3. « La Loreley » Guillaume Apollinaire, section « Rhénanes », Alcools, 1920 Une œuvre intégrale : Les Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal » 1857

Séquence 1 -Depuis qu'Amour cruel empoisonna Sonnets, 1555 Louise Labé (1524-1566) française Renaissance XVI Humanisme Poésie L'auteur est une femme, ce qui est rare pour l'époque. Sonnet en décasyllabe avec césure en 4/6 ou 6/4. Le sonnet parle des conséquences de l'entrée de l'amour dans la vie de la poétesse. Evoquation contradictoire de l'amour. Représentation de l'amour par un être orgueilleux, narcissique On part donc d'un témoignage personnel pour aboutir à un propos général

16ème siècle  Pierre de Ronsard : Activité : Poète Mouvement littéraire : La Pleiade Joachim Du Bellay : Activité : Poète Mouvement littéraire : La Pleiade Œuvre célèbre : Les Regrets : recueil de sonnet d’inspiration satirique. Louise Labé : Activité : poétesse Mouvement littéraire : L’école lyonnaise 17ème siècle Jean de la fontaine : Activité : Poète, moraliste, dramaturge et il écrit des conte Mouvement littéraire : Classicisme Œuvre célèbre : Les Fables de la

Les mouvements littéraires Repères Époque XVIe siècle Idées clés Retour à l’Antiquité ; rejet des formes et des idées du Moyen Âge Formes poétiques nouvelles (le sonnet) Auteurs clés Louise Labé, Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay  Voir chapitres : 1 2 4 L’école de Lyon La Pléiade Époque Du XVIe siècle au XVIIe siècle Idées clés Le mouvement, l’instabilité, l’inconstance, la violence, la mort Les vanités, le memento mori Auteurs clés Théodore Agrippa d’Aubigné, Pierre

« Je vis, je meurs... » Louse Labé 1556 Description de l'auteur : Louise Labé fut l'auteur de nombreux sonnets. C'était une femme très moderne pour son époque. Elle était très cultivée et a eu accès à des domaines qui étaient masculins du fait de l'éducation masculine qu'elle a reçue (équitation, maniement des armes). « je vis, je meurs...» est le poème le plus célèbre de Louise Labé, c’est le 8ème sonnet de son recueil « Elégies et sonnets ». C’est un sonnet dans la tradition pétrarquiste dont

enfants qui comptent qui s'y colle La nuit le bruire des colombes sur le toit 1 La plainte des prisons la perle des plongeurs Tout ce qui fait chanter et se taire c'est toi Et c'est toi que je chante avec le vent majeur. Louis Aragon, Amour d'Elsa, 1947. D. Sonnet 1 Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés, Ô chauds soupirs, ô larmes épandues1, Ô noires nuits vainement attendues, Ô jours luisants vainement retournés Plainte Dépensées Filets, pièges Rire, sourire Brûler